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QUELLE POLITIQUE DE PLANING FAMILIAL POUR MADAGASCAR ?
A Madagascar, l’avortement reste sévèrement puni par la loi, quelles qu’en soient les causes. Des milliers de femmes meurent chaque année d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) réalisées de manière clandestine, dans des conditions non sécurisées. Une proposition de loi destinée à autoriser l’IVG pour motifs thérapeutiques ou en cas de viol ou d’inceste a été déposée en novembre 2021 par la députée indépendante Marie-Jeanne d’Arc Masy Goulamaly. Mais son examen, déjà repoussé une première fois au mardi 10 mai, a été retiré de l’ordre du jour sans explication.
Le mouvement pour la légalisation de l’avortement Nifin’Akanga – du nom d’une plante abortive utilisée dans les remèdes traditionnels – a appelé à une manifestation citoyenne, vendredi devant l’Assemblée nationale, à Antananarivo, pour protester. « Les femmes malgaches ne veulent plus vivre dans cette insécurité et doivent pouvoir faire un choix dont leur vie dépend », dénonce Mbolatiana Raveloarimisa, membre fondatrice du mouvement.
L’intégralité est ici :
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/05/12/madagascar-dans-chaque-famille-on-connait-au-moins-une-femme-qui-a-du-avorter_6125861_3212.html