Le président malgache, Andry Rajoelina est actuellement en Guinée-Bissau pour une durée de trois jours. Dans le cadre de cette « visite d’Etat », il entend renforcer la coopération avec le pays du président Umaro Sissoco Embaló. Reste tout simplement à savoir qu’est-ce que Madagascar peut espérer de cette collaboration « sud-sud » que les proches du régime ont scandée ces derniers jours.
La Guinée-Bissau, riche en ressources naturelles certes, mais elle est confrontée à des défis économiques, comme Madagascar d’ailleurs. Ce pays de l’Afrique de l’Ouest pourrait en effet trouver en Madagascar un partenaire idéal pour renforcer ses échanges commerciaux. Les discussions récentes entre les responsables gouvernementaux des deux nations ont mis en lumière le potentiel d’un accès élargi aux marchés de chaque pays. « L’augmentation des échanges de produits locaux pourrait stimuler nos économies et offrir de nouvelles opportunités aux entreprises », a déclaré un officiel malgache lors d’une conférence sur le développement international.
L’agriculture, pilier de l’économie malgache, pourrait également bénéficier d’un échange de savoir-faire avec la Guinée-Bissau. Les deux pays ont des conditions climatiques et des sols variés, ce qui offre un terrain fertile pour l’échange de pratiques agricoles. Des séminaires et des programmes de formation pourraient être mis en place pour partager des techniques sur des cultures adaptées, ce qui pourrait considérablement améliorer la productivité agricole et la sécurité alimentaire dans les deux pays.
Le secteur du tourisme est un autre domaine clé pour la coopération. Madagascar, célèbre pour sa biodiversité unique, et la Guinée-Bissau, connue pour ses plages et sa culture, pourraient promouvoir des échanges touristiques, permettant à leurs citoyens de découvrir les richesses de l’autre. Des initiatives pour favoriser les investissements dans le secteur touristique pourraient transformer les paysages économiques des deux nations.
Avec l’accent mondial croissant sur le développement durable, Madagascar et la Guinée-Bissau ont également l’occasion de travailler ensemble sur des initiatives environnementales. La lutte contre le changement climatique et la gestion durable des ressources naturelles sont des préoccupations majeures pour les deux pays insulaires. En unissant leurs forces, ils pourraient développer des projets communs pour préserver leurs environnements fragiles et promouvoir des pratiques durables.
Une coopération avec la Guinée-Bissau pourrait par ailleurs sortir un peu Madagascar de son concon tissé par les organisations des pays de l’Afrique de l’Est et du Sud, ainsi que la coopération régionale de l’océan Indien, à savoir COMESA, SADC et la COI qui n’ont pas vraiment profité à la Grande île.
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Vos commentaires
Si les coopérations DEJA conclues avec COMESA, SADC, COI n’ ont accouché de rien à la hauteur des ronds de jambes budgétivores de leurs initiateurs, persistent et signent : comment espérez-vous qu’ avec un autre « coopérant » cela va etre plus productif ?
Pas encore intégré que les memes causes produisent les memes effets et particulièrement avec la Guinée Bissau ???
Toujours des grands « maux » lutte contre le climat, initiatives environnementales, tourisme, développement durable & blabla & blabla ...
Quand allez vous cesser de vous masturber avec tous ces mots fourre tout à la mode et enfin prendre le taureau par les cornes sans attendre Pierre, Paul ou Jacques pour vous sortir les doigts de là ou ça refoule ?
Pays sous développés unissez-vous l’ objectif n’ en sera que plus grand ...
Jipo,
Ne parlez pas de choses que vous ne connaissez pas.
🤪🤪🤪🤪🤪🤪🤪
Boudiou !
Attention les boloky sont des fontaines de connaissance !
Vous autres ne réfléchissez pas ou n’êtes pas assez intelligents (???)
Et surtout, il ne faut jamais oublier que leur babakoto bac-3 est le génie bâtisseur du siècle !!! rien qu’à voir le colisee digne de cinecitta !
LOL !!!!!
Voilà pourquoi ils écrivent beaucoup de non sens ou ne comprennent pas ce qui est écrit !
Le plus important aussi d’avoir des amis Africains, c’est le lobbying dans cette mondialisation et nouvel ordre mondial.
En cas de litige ou conflit, par exemple, aucun pays ne vote en votre faveur, si vous n’avez pas d’amis, en revanche, vos amis vous soutiennent si vous en avez beaucoup.
Qui sait si ce genre de relation pourrait résoudre cette affaire des îles éparses ???
Îles éparses, îles éparses ! Cédric vazaha poltron n’ose même plus en parler à Macron. Les îles éparses lui appartiennent déjà... Cédric est vazaha, il a les 8 cms.
Izao ilay fikaramana : MANODIN-DRESAKA MBA TSY HIRESAHANA NY TENA OLANA MISY.
Guinee- Bissau ?
Rien que des delires incessantes...
Quels echanges dans le domaine Agricole au juste ?
Savoir-faire ? Recherche developpement ?... Ou la famine et la malnutrition ?
Rien, rien du tout, zero pointe !
A moins que quelque part, on veut y planquer les butins et prebendes...
https://www.lefigaro.fr/international/2009/03/17/01003-20090317ARTFIG00041--bissau-le-naufrage-du-narco-etat-guineen-.php
Bonjour Kartell,
C est un pays a risques multiples le Guinee- Bissau, voire meme dangereux, mais pourquoi alors y faire une visite d Etat ?
Compagnonage avec le cartel ou quoi ?
Recuperer la mise ?
Securiser les profits des pillages ?
Realiser une mission au profit de ses commanditaires de l hexagone ?
Hello, Vohitra,
Il semblerait que ces deux pays avec l’Angola aient bien mordu au « pisse-mémé »qu’ainsi, notre « invité d’honneur » veuille développer ce fonds de commerce en matière de poudre de perlimpinpin, mais, dans d’autres domaines de la santé..
C’est, en tous cas, le leitmotiv invoqué pour expliquer ses placements qui n’ont rien à voir avec le hasard, d’autant que passer de l’anonymat le plus total, hier, pour être accueilli avec tous les honneurs d’un chef d’état, aujourd’hui, ne peut que réjouir un égo, en souffrance aux jeux olympiques…
Évidement, toute ressemblance ou autre association relèverait de la pure fiction ou presque…
On notera, néanmoins, que ces deux états n’ont pas la démocratie en ligne de mire, mais, dans celle de la ligne de tir …
C"est la ballade des pieds nickelés
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Titre vert et vaches laitiere importers par le calife...
Dans la Region du Vakinankaratra, un echec cuisant de l implantation en milieu paysan...
Elles ne mangent plus que des restes de foin de la derniere recolte... Pas d ensilage ni de concentre ni de provendes ni de soja... Le pire, Elles sont gerees dans les exploitations encore visibles de la meme maniere et pratique comme les zebus ! Une prophylaxie zootechnique plus que deplorable...
Oui, de l herbe seche dans les tanety...
Et la plupart des exploitants avaient quitte les lieux... En emmenant les vaches on ne sait pas ou...
Pas de lait... Il n y a plus que la viande qui reste...
Vous avez entièrement raison de souligner l’échec cuisant de cette implantation grotesque de vaches laitières qui n’ont pas leurs places dans un milieu agricole qui n’est pas adapté à ce type d’élevage dans sa version « industrielle » !..
On en est arrivés au stade de la maltraitance animale que j’ai pu constaté, voici quelques années passées, aux alentours d’Ambositra.
C’était un élevage d’une dizaine de vaches laitières, d’une maigreur cadavérique, beuglant fréquemment pour réclamer du fourrage, composé de branches feuillues, lors de mon passage, éclair..
On peut se demander la véritable qualité d’un tel lait, lorsqu’il est obtenu dans la souffrance de ces animaux !..
Qui osera dénoncer cela et pourquoi ce silence complice des ONG, si nombreuses pour les gens et quasi-inexistantes pour les animaux, en général ?..
Comment un DJ jiolahimboto qui a grandi dans le quartier de Besarety pouvait-il savoir et comprendre les conditions nécessaires qu’il faut pour élever des vaches laitières ?
Cet individu qui a grandi jiolahimboto à Besarety croit
que le plant de riz donne des grains arrivés à maturité deux ans après le temps des semailles
que les omby vositra se reproduisent
que le coton de Tuléar et le coton de Tuléar sont uniquement du coton !
C’est un homme qui lit MT et tombe sur cette annonce : Promis quatre fois, toujours pas eau ni d’électricité.
Après les présentations d’usage, il interroge son #7070 préféré . ’Pouvez-vous m’expliquer ?
La #7070 lui répond : ’C’est très simple ! La première fois c’est un avocat qui l’a dit. Parole parole !
La deuxième fois, c’est un musicien qui l’a annoncé, des chansons c’est tout ce que nous avons eu.
La troisième fois, c’est un communiste qui a parlé. Des promesses, des promesses...
Et la quatrième fois, c’est un ?? qui l’a dit et là, on l’a eu dans le *** !
On n’a jamais parlé de la Guinée Bissau à Madagascar , à part l’assassinat d’Amilcar Cabral , par la Police de Lisbonne ,l’un des premiers Dirigeants Africains qui a lutté pour l’Indépendance de son Pays.
Ses successeurs n’ont fait de mieux que faire « dégringoler » leur Pays dans un dédale de frustrations qui a fait la réputation de nos frères Africains , et de nous mêmes . Ils se sont ces derniers temps « spécialisés » dans le trafic de stupéfiants , où les Cartels Sud Américains se sont engouffrés , en traçant un nouvel itinéraire .
La question qui se pose est :
Pourquoi ce brusque intérêt pour ce Pays , alors que nous avons tout prêt , l’île Maurice ou bien le Rwanda , comme modèle de développement ?
Et si nous voulons aller plus au Nord , le Sénégal ou le Ghana n’ont ils pas des arguments à nous proposer ?
Bref , cette nouvelle stratégie n’a rien de compréhensif pour le commun des mortels , et comme le disait Isandra , ne parlons pas des choses qui nous dépassent .
Car avec leurs pragmatismes , peut être que le développement de la Grande île viendra de la ...Guinée Bissau . Obrigado !
Et si le dirigeant du troisieme pays le plus pauvre au monde aurait l intention de faire un investissement direct A l etranger ?
Il y avait quelques mois deja, on avait pu decouvrir dans la cale d un navire ancre a Toamasina une quantite importante de coke...
Un Al Capone ne laisse rien au hasard...
Je n’ai rien contre sur le principe de « rapprochement » de Madagascar avec un pays comme la Guinée-Bissau mais la lecture de l’article me pose certains problèmes !.
Je sais que les « petites mains » aiment les comparaisons, mais comment comparer et surtout rapprocher des pays aussi différents ?!.
Quelques remarques :
– Guinée-Bissau, moins de 2 millions d’habitants. Madagascar, près de 30 millions !.
– Guinée-Bissau, 36 125 km2. Madagascar, 587 041 km2
– Etc, etc.......
La seule « chose » qui rapproche ces deux pays c’est, leur taux de ...... corruption !.
Plus de 85% pour Madagascar et plus de 96% pour la Guinée-Bissau !.
Avec de tels taux de corruption, on peut se poser des questions sur l’efficacité d’un « partenariat » (post de 11:51), pour « régler » le cas des Iles Eparses !.😜🤣
C’est peut-être la raison de la visite du filaho gasy (Il souhaite, peut-être, prendre des leçons, pour se rapprocher du taux de la Guinée !.😜).
A noter : Actuellement, en Guinée-Bissau, la majorité des produits alimentaires sont « importés » !. Notamment le riz !. Environ 60 000tonnes/an au début des années 2000 !.
Madagascar a-t-elle les moyens d’exporter du riz en Guinée-Bissau ?.
Désolé, Mandimbisoa, mais j’ai du mal à voir comment « Ce pays de l’Afrique de l’Ouest pourrait en effet trouver en Madagascar un partenaire idéal pour renforcer ses échanges commerciaux. » ?!.
Vous pourrez, Mandimbisoa, me répondre (comme la « petite main du jour » l’a fait à Jipo), que :
« Je parle de choses que je ne connais pas ».
@+🕊