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MACRON SUPERSTAR À LA TRIBUNE DE L’ONU !
Le discours d’Emmanuel Macron à l’ONU a été "l’un des plus fermes d’un président de la République française", selon un géopoliticien
Pour Frédéric Encel, maître de conférences à Sciences-Po, "les choses ont été clarifiées" sur la position de la France "vis-à-vis de Moscou".
Article rédigé par
franceinfo
Radio France
Publié le 20/09/2022 22:38
Mis à jour le 21/09/2022 07:01
Emmanuel Macron à la tribune de l’Assemblée Générale des Nations Unies, le 20 septembre 2022. (LUDOVIC MARIN / AFP)
Emmanuel Macron à la tribune de l’Assemblée Générale des Nations Unies, le 20 septembre 2022. (LUDOVIC MARIN / AFP)
"On a assisté à l’un des discours les plus fermes d’un point de vue historique d’un président de la République française à l’Assemblée générale des Nations unies", a affirmé mardi 20 septembre sur franceinfo Frédéric Encel, maître de conférences à Sciences-Po, docteur en géopolitique, alors que le chef de l’Etat a accusé, à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, la Russie d’avoir provoqué un "retour des impérialismes" en ayant envahi l’Ukraine fin février.
Emmanuel Macron a notamment "clarifié les choses" vis-à-vis de certains Etats. Mais Frédéric Encel "doute" que cela suffise à infléchir leurs positions.
franceinfo : Est-ce que le discours d’Emmanuel Macron a été clair ?
Frédéric Encel : Je pense que l’on a assisté à l’un des discours les plus fermes, non seulement d’un point de vue historique d’un président de la République française à l’Assemblée générale des Nations unies devant 192 autres Etats, et d’autre part, cela a été le discours le plus ferme depuis l’invasion russe en Ukraine. Et je pense que cette fermeté, dans le ton et sur le fond, était aussi liée à un certain nombre d’accusations d’États, et notamment d’Etats d’Europe orientale, trouvant jusqu’à présent l’Elysée insuffisamment ferme vis-à-vis de Moscou. Donc je pense que les choses ont été clarifiées.
Quels pays étaient dans le viseur du président de la République, en dehors de la Russie ?
Ce sont ces Etats qui se sont abstenus à plusieurs reprises à l’Assemblée générale, où un Etat compte pour une voix. Et on a bien vu qu’à partir du 24 février et à plusieurs reprises, que la Russie était extrêmement seule. Quatre États seulement avaient voté pour elle, mais plusieurs dizaines d’autres s’étaient abstenus. Et je pense qu’une partie importante du discours d’Emmanuel Macron a porté sur le choix nécessaire de ces États entre ce qu’il a appelé de manière extrêmement manichéenne, mais juste au regard de la situation, la paix et la guerre.