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Société

Le développement perdu de vue

lundi 22 avril 2013 | Andrianjohary Noroelisoa

Madagasikara est loin d’atteindre les objectifs du troisième millénaire pour le développement. Des objectifs, qui selon le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), devaient être atteints en 2015.

Ces objectifs se mesurent par le niveau de vie de la population. Il s’agissait – et il s’agit toujours – premièrement, de scolariser tous les enfants ; ensuite d’œuvrer pour l’égalité des sexes et l’indépendance des femmes. La maîtrise de l’expansion et la réduction de la progression de certaines maladies, dont le paludisme, la tuberculose et le VIH/SIDA figurent aussi dans ces objectifs à atteindre, de même que la possibilité pour tout le monde d’accéder à l’eau potable.

Le Programme des Nations-Unies pour le Développement déclare ainsi Madagasikara incapable d’atteindre ces objectifs du troisième millénaire. Le domaine sanitaire, surtout, connaît une forte régression. Si 0,3% de la population malagasy portait le VIH/SIDA en 2008, 1% de la population le porte actuellement. La scolarité affiche, de son côté, un chiffre qui n’arrive pas à progresser. 60% des enfants malagasy qui devraient aller à l’école primaire n’y vont pas, surtout dans les zones rurales. Seulement 20% de la population ont accès à l’eau potable.

Ces facteurs déterminent la pauvreté de Madagasikara. Ils s’impriment gravement dans le quotidien de chaque Malagasy.

10 commentaires

Vos commentaires

  • 22 avril 2013 à 08:22 | betoko (#413)

    Tout est relatif , à écouter le reportage de RFI de ce matin , qui concerne un village pas loin de Tana . C’est vrai qu’il y a des déscolarisations , mais d’ici 2015 beaucoup de choses peuvent changer à Madagascar , en se basant sur nos matières premiéres déjà

    • 22 avril 2013 à 09:36 | Isandra (#7070) répond à betoko

      A condition que les saboteurs, perturbateur voire mercenaires politiques soient maîtrisés, ou carrément éliminés politiquement, de préférence avec les voleurs, spoliateurs.

    • 22 avril 2013 à 10:21 | Radepy (#7163) répond à betoko

      Ry betokotany, notre territoire et son développement se limite à Analamanga, depuis quelques décennies.
      Les chiffres indiqués sont minimisés par INSTAT, l’état des lieux est encore plus accablant. Par exemple, seulement 15% de la population malagasy a accès à l’eau potable, au lieu de 20% indiqués.
      Je ne suis pas certain qu’en 2015, le pays aura changé ... malgré nos matières premières (mangetaheta eo ambon’ny lakana ...).
      La situation continu à se dégrader ... il se dit encore ouvert à toutes négociations comme l’agencement des scrutins et la RETOUCHE des institutions ... pendant que l’insécurité et la pauvreté sont à notre porte.

      Mais, entre-temps, j’espère que ce seront nos criquets qui nous sortirons de cette crise ... comme en 1995-1996 (le saviez-vous ?). Hi hi hi vous ne le saviez pas, n’est-ce pas ? Eh oui, l’Etat malagasy en ce temps-là, n’avait plus les moyens de les combattre, ce qui a précipité les élections ...

  • 22 avril 2013 à 10:33 | plus qu’hier et moins que demain (#6149)

    Bonjour et Bonne journée à tous.

    Quel développement ?

    Le développement est une notion dynamique mais pas statique en ce sens qu’il ne peut pas être atteint par la volonté d’un seul pays face à la mondialisation.
    De toute façon les indicateurs du PNUD ne sont pas aussi innocents que çà en ignorant les promesses d’aide au développement non tenues par les pays avancés eux-mêmes et en mettant le poids de l’échec sur la volonté politique du pays évalué. On trouve facilement des milliards d’USD/d’EURO pour financer des guerres partout dans le monde mais on a du mal à boucler des financements symboliques pour des opérations de développement.

    • 22 avril 2013 à 10:47 | Rakotoasitera Fidy (#2760) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Diantre !!
      Madagasikara est ’TOUJOURS’ un pays sous développé

      Qui l’eut cru ??

      Et qui croirait qu’un ’dieu’ ou une ’déeese’ ferait en cinq ans ce qui n’a pas été fait en cinquante ans ???

      Mais gardons quand mème le sourire

      betoko ne nous dit t’il pas que d’ici 2015 il y aura des miracles

      Halleluia !!

    • 22 avril 2013 à 15:42 | Stomato (#3476) répond à plus qu'hier et moins que demain

      >>De toute façon les indicateurs du PNUD ne sont pas aussi innocents que çà en ignorant les promesses d’aide au développement non tenues par les pays avancés eux-mêmes et en mettant le poids de l’échec sur la volonté politique du pays évalué. <<

      Ho Hé ! Réveillez vous ! Il est vrai que vous n’êtes jamais allé dans une banque pour obtenir un prêt...
      Quand vous obtenez un crédit, vous êtes tenu de rembourser les échéances.
      Un pays endetté se doit au minimum de respecter l’organisme prêteur, même si les conditions du prêt sont jugées dures.
      Souvent l’obtention d’un nouveau prêt est conditionné aux termes du précédent... D’ou des "promesses" non tenues.

      >>On trouve facilement des milliards d’USD/d’EURO pour financer des guerres partout dans le monde mais on a du mal à boucler des financements symboliques pour des opérations de développement.<<

      Une guerre financée rapporte aux fournisseurs de machines de guerre.
      Un financement de mesures de développement est rarement remboursé.

      Madagascar en est un exemple. Les sommes consenties pour l’amélioration de routes servent à acheter des avions de luxe, ou des AK47 au lieu de M16 ou de FAMAS !
      Et depuis longtemps les dépenses pour l’armée Malagasy sont plus importantes que celles pour les actions de développement.
      Qui, dites qui va vouloir entrer en guerre contre Madagascar ?
      Il est certain que la majorité des Malagasy se rendraient immédiatement aux force ennemies, jute pour avoir à manger.

    • 22 avril 2013 à 17:25 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Stomato

      Bonjour,

      Classement des principaux États donateurs

      En chiffres absolus, le premier pays donateur en 2011 était les États-Unis avec 30,7 milliards de dollars ie. 0,2 % de leur Revenu national brut (RNB), devant l’Allemagne (14,5 Mds, 0,4 %), le Royaume-Uni (13,7 Mds, 0,56 %), la France (13,0 Mds, 0,46 %) et le Japon (10,6 Mds, 0,18 %)6.
      Comme on le voit, si l’on calcule l’aide publique au développement en pourcentage du revenu national brut de chaque État (de manière à tenir compte de la somme des richesses produites en un an dans l’État), la situation est fort différente, et l’aide publique au développement des États-Unis (0,2 %) se révèle une des plus faibles de tous les pays membres de l’OCDE, loin derrière la moyenne des autres pays (0,46 %)7.
      Il faut néanmoins nuancer cette affirmation car l’aide publique au développement n’est pas le seul flux d’aide. Les flux d’aides privées, en particulier des fondations, sont vraiment considérables, en particulier aux États-Unis.

      Répartition

      L’agriculture ne représente que 5 % de l’aide publique au développement, loin derrière les dispensaires, les écoles ou les routes 8.

      Efficacité
      Détournement

      L’aide publique au développement fait l’objet de nombreux détournements, notamment dans les pays dans le système français de la Françafrique, où l’essentiel de ces fonds sert à l’enrichissement personnel des dictateurs-présidents et à rembourser les dettes accumulées. La dette est un des principaux mécanismes par lesquels une nouvelle forme de colonisation s’opère au détriment des pays en développement9. Pour cette raison, certains militent pour l’annulation de la dette des pays du tiers-monde, qu’ils considère comme étant une dette odieuse pour l’essentiel.

      Remarques

      Il est difficile d’évaluer exactement l’effet de l’aide publique au développement sur l’amélioration de la situation dans les pays aidés. Les pays les moins avancés (PMA) ne disposent souvent pas des instruments statistiques permettant d’obtenir des indicateurs satisfaisants. Certains spécialistes remettent en cause l’aide publique au développement sous sa forme actuelle.

      Selon l’ONU

      Les Nations unies estiment que le montant de l’APD devrait doubler afin de remplir les huit Objectifs du millénaire pour le développement10. Les pays développés devraient consacrer 0,7 % de leur revenu national brut à l’aide publique au développement. Seuls quelques pays de l’Europe du nord (le Danemark, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas et la Suède) suivent actuellement cette recommandation.

      Selon les ONG

      Les organisations non gouvernementales (ONG) insistent sur l’importance de l’aide publique au développement et militent pour le respect des recommandations onusiennes11. Elles soulignent toutefois qu’une partie importante de cette aide n’a pas de portée effective : les annulations de dette, par exemple, gonflent les chiffres de l’APD de sommes qui de toute manière n’auraient jamais été remboursées par les pays débiteurs. Cette affirmation cependant n’est pas toujours vraie. Ainsi, les cours des matières premières peuvent augmenter rapidement, et améliorer les revenus d’un État aidé ; de même, un remboursement n’est pas forcément une somme en devises
      (Source Wikipédia)

    • 22 avril 2013 à 17:35 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Stomato

      La France

      Opérateur pivot du dispositif français d’aide publique au développement, l’Agence française de développement intervient sur les cinq continents pour la réduction de la pauvreté, le financement de la croissance économique et la protection des biens publics mondiaux. Elle inscrit ses actions dans le cadre des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), notamment en Afrique qui reçoit plus de 50 % de ses financements [réf. nécessaire]. L’appui à la croissance économique et au développement est un axe majeur d’intervention de l’AFD.
      Par ailleurs, l’AFD prend en compte les défis communs qui concernent désormais autant les pays du Sud que les pays du Nord : préservation des ressources naturelles, protection de l’environnement, maîtrise des épidémies, stabilité politique et financière.
      L’AFD s’attache aussi à soutenir l’intégration de l’Outre-mer dans de vastes ensembles régionaux, facteur essentiel pour une croissance durable. L’AFD soutient l’ouverture de ces territoires à leur environnement direct et encourage la coopération régionale.
      Depuis quelques années, des accords de gestion concertée des flux migratoires et de codéveloppement ont conditionné l’aide au développement à la prise de mesures par les États du Sud visant à restreindre l’émigration. Le lien entre gestion des flux migratoires et codéveloppement a ainsi été dénoncé par la Cimade, qui affirmait, en 2008, dans son analyse du rapport de la Commission Mazeaud sur le cadre constitutionnel de la nouvelle politique d’immigration, que : « Le développement est un droit reconnu par les Nations-Unies et ne saurait faire l’objet de conditionnalité quelle qu’elle soit. Conditionner l’aide publique au développement au contrôle des flux migratoires constitue un chantage d’autant plus inacceptable que certaines politiques économiques et commerciales européennes sont loin d’être neutres sur les phénomènes migratoires. »14
      L’APD française a augmenté de 0,01 point en 2008, pour atteindre 0,39 %15.

      Déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide au développement

      La Déclaration de Paris comprend cinq principes autour desquels sont articulés les engagements pris conjointement par les donateurs et les pays partenaires en matière d’efficacité de l’aide :
      1. Appropriation : Les pays partenaires exercent une réelle maîtrise sur leurs politiques et stratégies de développement et assurent la coordination de l’action à l’appui du développement.
      2. Alignement : Les donneurs font reposer l’ensemble de leur soutien sur les stratégies nationales de développement, les institutions et les procédures des pays partenaires. Dans la continuité du principe d’appropriation, l’alignement demande que les pays bénéficiaires soient les véritables acteurs de leur développement.
      3. Harmonisation : Les actions des donneurs sont mieux harmonisées et plus transparentes, et permettent une plus grande efficacité collective. Il s’agit de réduire la complexité des procédures d’octroi et de gestion de l’APD.
      4. Gestion axée sur les résultats : Les ressources sont gérées et le processus de décision amélioré en vue d’obtenir des résultats.
      5. Responsabilité mutuelle : Les donneurs et les pays partenaires sont responsables des résultats obtenus en matière de développement. Ce principe entend concrétiser un lien réel de partenariat entre les bailleurs de fond et les pays bénéficiaires.
      Dans le cadre de ses principes, la Déclaration de Paris prévoit dans son paragraphe 38 que les pays partenaires s’engagent à « progresser dans la mise en place d’institutions et de structures de gouvernance propres à assurer une bonne gestion des affaires publiques et à garantir à leur population protection sécurité et accès équitable aux services sociaux de base ».

      (Source Wikipédia)

  • 22 avril 2013 à 11:31 | RAMAHEFARISOA Basile (#6111)

    C’est amusant de lire les objectifs du PNUD mais l’échec des politiques d’ajustement structurel de la Banque Mondiale est toujours masqué par des différents rapports.
    En 1995,
    "Programmes d’ajustement structurel (-RAS-) qui conditionnaient l’accès au crédit
    - à une rédiction des dépenses de l’Etat,
    - à la privatisation,y compris de certains services publics,
    - à l’ouverture des marchés,
    avaient provoqué des effets sociaux négatifs et de caractère non-démocratique de leur imposition.
    Les politiques de la Banque Mondiale ont largement contribué
    - à fragiliser les groupes sociaux les plus vulnérables,
    - accroître les distances sociale et la « PAUIVRETE »
    - et à aggraver certains problèmes d’ordre macro-économique.
    Des politiques précipitées de libéralisation commerciale et financière ont systématiquement affaiblit la capacité productive des pays appliquant les politiques de la Banque Mondiale et ont accru leur incapacité à engendrer de l’emploi.
    La « PAUVRETE » s’es amplifiée à cause des taux prohibitifs des « services essentiels ».
    1-Les problèmes de libéralisation,la diminution des aides publiques et l’affaiblissement de la demande des biens et des services locaux ont dévasté les industries des pays bénéficiaires des prêts de la Banque Mondiale,« PARTICULIEREMENT » les petites et moyennes entreprises qui fournissent la « majeure partie de l’emploi ».
    Elles ne peuvent concurrencer le flot des « IMPORTATIONS »,souvent susidiées,ni se permettre d’accéder au crédit,devenu trop élevé,ce qui favorise la « SPECULATION » au dépmens de la « PRODUCTION ».
    La valeur des biens de consommation « IMPORTES »,durant une période,fut multipliée par 06 (-six-).
    Les ventes des produits industriels locaux chutèrent de 40%
    L’ouverture « indiscriminée » des marchés détruit la possibilité d’un développement réel des entreprises nationale.
    1% des importateurs monopolisèrent 70% des fonds disponibles,alors que 95% d’entre eux n’eurent pas accès qu’à 14 % du crédit.
    Plus de 2/3 des petites et moyennes entreprises n’ont pu obtenir de crédit,à cause du niveau trop élevé des taux d’intérêts et de l’impossibilité de satsifaire aux exigences des institutions bancaires pour l’obtention d’un prêt.
    BREF,
    - le résultat de ces politiques fut
    - une concentration des capacités financières dans les grandes entreprises,surtout urbaines,
    - l’encouragement à la « SPECULATION » et à l’investissement dans des « ACTIVITES NON PRODUCTRICES ».
    PAR AILLEURS,LA DIMINUATION DES CONTROLES PUBLICS A AFFAIBLI L’ACTION DE L’ETAT.
    2-Les réformes structurelles et sectorielles,imposées par la Banque Mondiale dans les secteurs agicole et minier,ont gravement
    - altéré la « VIABILITE » des petits paysans,
    - diminué la sécurité alimentaire,
    - et endommagé l’environnement.
    L’importation des aliments à bon marché,la suppresion des subsides à la production agricole,le retrait de l’Etat des activités de support technique,financier et commercial et l’accent mis sur l’EXPORTATION,ont accentué la « MARGINALISATION » des petits fermiers et ont forcé ces derniers à surexploiter les ressources naturelles,suite à la concentration des terres pour les cultures d’exportation à grand échelle qui ont pour effet l’abadon de la production d’aliments pour la consommation locale,ce qui amènera les petits agriculteurs à suexploter les terres de qualité marginale.
    LA CAUSE IMPORTANTE DE L’INSECURITE ALIMENTAIRE FUT LA FAIBLE PRODUCTIVITE ?LIEE AUX POLITIQUES DE REFORMES,qui ont réduit les interventions de l’Etat en faveur des services d’extention et les aides à la production.
    Les petits paysans ne peuvent jouir des fruits de la culture d’exportation,car ils ne possèdent pas suffisament de terres et parce que les prix des « INTRATS » augmentent considérablement.
    L’INEGALITE DE REVENUS ENTRE LES REGIONS A EXACERBE LES INEGALITES DEJA EXISTANTES.
    La libéralisation,la dérégulation et la privatisationdu secteur minier,ont accentué l’érosion de l’environnement et diminué la fertilité des terres de nombreux petits fermiers et des populations autochtones .
    3-Des problèmes de « maero-niveau » ont aussi accompagné les échecs locaux des programmes d’ajustements structurels.
    bon nombre des avantages,attendus dans le domaine de l’efficacité et de la compétitivité,par le biais de la « PRIVATISATION »,de la « FLEXIBILITE DU TRAVAIL »,n’ont pas vu le jour.
    La libéralisation du commerce a fait augmenter les déficits des comptes courants que la « DETTE EXTERIEURE »,en raison de l’effet mécanique des EXPORTATIONS sur le "TYPE DES IMPORTATIONS,sous le régime d’ajustement structurel.
    L’accroissement de la présence et du pouvoir des entreprises « TRANSNATIONALES »,souvent les « PREMIERES BENEFICIAIRES » de ces politiques,ont sévèremment diminué la « SOUVERAINETE ECONOMIQUE DE NOMBREUX PAYS »,de même que la capacité de leurs « GOUVERNEMENTS » à répondre par priorité,
    - aux besoins économiques et sociaux de leur propre « POPULATION »
    L’INTRANGIGEANCE DES ACTEURS INTERNATIONAUX DE CES POLITIQUES (-PAS=) accroît
    - la pauvreté,
    - l’in&galité
    ’et l’insécurité (-alimentaire-) dans le MONDE.

  • 23 avril 2013 à 04:54 | NY OMALY NO MIVERINA (#1059)

    De quel développement ?

    Celà dépend de la définition de « développement » et du domaine concerné :
    - démographique,
    - économique,
    - social,
    - politique (M/car a bien pu vivre ou survivre avec le système en place ...),
    - ...

    C’est une notion très relative.
    Développement par rapport à quoi et à qui ?
    - à un pays (qui a sa spécificité, ...)
    - à une phase économique ou politique ...
    - à une nation qui a ses us et coutumes, une identité ...
    - à sa situation géographique avec sa faune et sa flore ...
    - ...

    Comme la situation politique à M/car, les experts de la C.I. peuvent toujours prévoir, diagnostiquer ... et sont conscients des aléas. Ils peuvent toujours émettre des avis « sous réserve » évidemment.
    Tellement y a de paramètres à prendre en compte qu’ils pondent des constats selon des normes ... Et quelles normes et quels critères ?
    RESULTAT : Même avec La Chine, la Russie, le Quatar, le Mali, La Corée du Nord, ... Ils n’ont rien vu, rien prévu ...

    Le développement à M/car n’est jamais perdu de vue rien qu’avec sa démographie positive qui stimule des investissements en tout domaine.
    Celà ne dépend que de notre conception socio-économico-politique et non d’un(e) Président(e) sans ambitions poltiiques au service de l’intérêt général.

    ’faut d’abord résoudre ce problème ( de meneur ou constructeur de régime politique) car ces millions d’enfants vont arriver sur le marché de l’emploi, de demandes de logements, de consommations, de services... qui vont booster, qu’on le veuille ou non, les investissements, l’économie, ...

    Passons de Ravalomanana et de Rajoelina ... Ne parlons plus d’eux !
    Ils ne se présentent pas et c’est déjà pas mal ...

    D’ici 2017 ou 2018, on peut bien les oublier (sans oublier que Ravalomanana n’existe plus « physiquement » depuis 2009 !!! Ses appels de son portable ne seront qu’un vieux souvenir ! ... Rien à voir avec les appels du Général de Gaulle depuis Londres dans les années 1939-1945 !!!).
    Avec le développement exponentiel, Ravalomanana et Rajoelina risquent d’être obsolètes en 2017 ...

    Ce dont je suis sûr, le (ou la) futur(e) Président(e) de M/car aura beaucoup à faire : de la capacité de travail, de l’écoute, de la compétence et de l’intégrité.

    Le développement à M/car n’est pas perdu de vue ! Même pas en berne !
    Plutôt en attente d’une éclosion prolifique et d’une explosion ... (avec la jeunesse de la population).

    Quelle horreur de lire l’uchronie de M Basile Ramahefarisoa et sa bande !
    La différence :
    - M Basile Ramahefarisoa connaît tout le monde,
    - Moi, tout le monde me connaît, discrètement (sans frime !).

    Veloma !

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