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Santé

Le Sida, dangereux ou non à Madagascar ?

lundi 30 novembre 2015 | Léa Ratsiazo

La journée mondiale de la lutte contre le Sida sera célébrée demain 1er décembre comme chaque année. A Madagascar, cette journée mondiale est surtout consacrée à une série de sensibilisation sur cette maladie. Officiellement, moins de 1% de la population à Madagascar est séropositif, mais les malades et séropositifs qui s’ignorent sont beaucoup plus nombreux selon les responsables de la santé. La sensibilisation portant sur la prévention constitue le meilleur moyen de lutte contre le Sida. Depuis la crise de 2009 et la fin du grand programme sur le Sida financé par les bailleurs de fonds il n’y a plus de grande sensibilisation sur ce sujet. D’ailleurs, pour des raisons diverses, bon nombre de malgaches n’y croit pas beaucoup. Certains parce que ce sont les autorités étatiques qui s’impliquent, « il s’agit d’une astuce politique » selon eux. D’autres n’y croient pas parce que c’est toujours les maladies comme le paludisme ou la pneumonie qui font des ravages. Mais aussi parce que pour une bonne partie de la population, le Sida est une maladie des homosexuels et des prostitués, cela ne concerne pas les gens « normaux ».

La découverte officielle du Sida à Madagascar remonte à 1996, à cette époque les responsables ont déjà prédit une grande explosion du Sida dans la Grande Ile au cours des dix années à venir à partir de cette date comme ce fut le cas en Afrique. Mais cette grande explosion n’a pas eu lieu, heureusement. Une raison de plus qui rend sceptique la majorité des malgaches. Les charlatans en tout genre qui annoncent la découverte de remèdes contre le Sida n’ont rien arrangé. Explosion du Sida ou non, le déni est dangereux surtout pour les jeunes notamment ceux qui n’ont pas toujours accès à l’information et aux centres de santé.

Depuis la crise, il n’y a plus de grande mobilisation sur le Sida, pourtant le Sida existe bel et bien à Madagascar et même si des médicaments existent dans les pays occidentaux, les malgaches n’ont pas toujours les moyens de se faire soigner. L’adage mieux vaut prévenir que guérir prend ici tout son sens.

131 commentaires

Vos commentaires

  • 30 novembre 2015 à 09:26 | betoko (#413)

    Que sont devenus les deux messieurs malagasy qui auraient découvert une remède contre le sida , car on ne les entend plus depuis des années ?

    • 30 novembre 2015 à 09:36 | Stomato (#3476) répond à betoko

      Ils ont eu le prix Nobel de médecine délivré incognito, et depuis ils se la coule douce sur les plages des Seychelles :-)

    • 30 novembre 2015 à 09:43 | RAMAHEFARISOA Basile (#9107) répond à betoko

      - « Découvrir et mettre au point du nouveau médicament »,il ne suffit pas d’en parler.
      Vraie ou fausse leur découverte,il faut attendre !
      Malheureusement,ils ont fait couler beaucoup d’encre..
      Est-ce crédible leur découverte ?
      Il faut attendre les essais clinique.

      Basile RAMAHEFARISOA-1943
      b.ramahefarisoa@gmail.com

    • 30 novembre 2015 à 15:11 | Menalahy (#9072) répond à betoko

      Bonjour Betoko,

      Des soit disant médicaments ou thérapeutiques contre le SIDA, il y a pléthore. Juste pour se faire mousser et surtout pour s’enrichir aux dépens des malades désespérés.

    • 30 novembre 2015 à 16:14 | hrrys (#5836) répond à RAMAHEFARISOA Basile

      Il vous faudrait réfléchir avant d’écrire des âneries pareilles...si un malade est guéri , faudrait-il encore attendre votre fichu essai clinique ????

    • 1er décembre 2015 à 07:23 | Bena (#494) répond à Stomato

      officiellement, NON. car on dit toujours qu’une personne porteuse du VIH a des remèdes disponibles et peut vivre normalement comme toute autre personne. sinon, il faut ajuster les discours et les actes.

      par contre, l’Etat a besoin de l’argent des organismes internationaux pour survivre et non lutter contre le sida.

    • 1er décembre 2015 à 09:01 | Menalahy (#9072) répond à Bena

      Vous faîtes de la vulgarisation médicale qui embrouille les faits réels :

      - certaines personnes HIV+ ne développent pas les symptômes de la maladie. Ces personnes asymptomatiques, dans le jargon des spécialistes, Asymptomatiques à Long Terme [ALT], sont de l’ordre de 1% par rapport à la Population Vivant avec le HIV [PVHIV].

      - le HIV ne produit pas de remède ni de médicament dans l’organisme infecté. Le HIV est un virus qui entraîne la production d’anticorps détectable.

    • 1er décembre 2015 à 09:09 | Menalahy (#9072) répond à hrrys

      Vous êtes célèbre avec vos approximations et vos amalgames.

      Basile a raison sur toute la ligne et vus devriez avoir honte de l’attaquer à propos de tout et de n’importe quoi.

      Jusqu’à preuve du contraire, les recherches médicales ne peuvent se passer de divers stades de recherche bien encadrés par des méthodologies strictes.

      L’une de ces méthodologies passent par les essais cliniques chez l’Homme.

      Une chose que le grand public ne connait pas, c’est que la médecine fonctionne avec des statistiques. Ces statistiques proviennent des différents stades des recherches et des essais d’une molécule ou d’une thérapeutique en cours d’évaluation.

      Les essais sur les vaccins Ebola ont eu un parcours écourté à cause de l’urgence qu’on connaît, mais aucun des stades utilisés pour les tests n’ont été sautés.

      La médecine a besoin de certitude scientifiquement prouvée car c’est la santé humaine qui est en jeu. J’espère que vous comprenez au moins cela.

  • 30 novembre 2015 à 09:33 | olivier (#7062)

    « Le Sida, dangereux ou non à Madagascar ? »

    Comme disait un ancien premier ministre : « le sida , c’est une invention des vazahs »...

    Une petite pensée en passant pour toutes ces ONG qui ont dilapidé l’argent des bailleurs entre 2004 et 2008, faisant semblant de lutter contre le sida en Brousse..à coup de banderoles et autres réunions bidons sur facturées...pendant que les « vulgarisateurs » profitaient d’un droit de cuissage bien mérité !

    C’était l’bon temps ...

    • 30 novembre 2015 à 09:46 | RAMAHEFARISOA Basile (#9107) répond à olivier

      OLIVIER..le profiteur de SIDA ACTION.
      Bien joué !
      Je me doutais un peu...

    • 30 novembre 2015 à 10:46 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à olivier

      Bonjour,

      Mais la statistique alarmante sur le Sida à Madagascar était l’œuvre de RA8 qui ne recule devant rien pour avoir l’argent de la CI.

    • 30 novembre 2015 à 11:29 | olivier (#7062) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Bonjour

      Les statistiques étaient alarmantes, et le resteront..

      Ce que je veux dire ici :

      1) L’argent des bailleurs a été dilapidé Honteusement par des ONG souvent crées pour l’occasion, afin de profiter d’une manne providentielle .
      J’en ai connu plusieurs, dont les dirigeants se vantaient de détournements dans la région de Fianarantsoa..

      2) les « vulgarisateurs » desdites ONG étaient bien souvent les premiers à aller « consommer de la petite paysanne » au mépris des règles qu’ils étaient sensés faire connaitre.

      3) si même un premier ministre peut raconter de telle âneries, ne nous étonnons pas de voir la maladie gagner du terrain.

      En 2015, la plupart des paysans de ce pays n’ont pas changé de comportements sexuels :
      - nombreux partenaires
      - rapports non protégés
      - l’enfant demeure un « don de dieu »

      et je ne parlerai pas ici de l’influence des religions...

       :)

    • 30 novembre 2015 à 11:46 | Dadabe (#9116) répond à olivier

      Je ne peux qu’abonder dans votre sens. Le poids de la religion, notamment, est terrible. Rappelez-vous ce cardinal à chapeau de paille qui prétendait qu’un préservatif (oeuvre du diable) était... poreux ! Heureusement, j’ai rencontré aussi des pères jésuites (malgaches) et des religieuses catholiques (malgaches) responsables d’établissement scolaires qui tenaient un tout autre discours. Pour tout dire, un distributeur de capotes gratuites à la sortie des collèges, lycées, mairies, dispensaires, hôpitaux, églises et temples, serait une très bonne chose. Choquant de dire cela ? Non, c’est la mort par le Sida qui est choquante. C’est la transmission « aveugle » du VIH qui est choquante et même criminelle.

    • 30 novembre 2015 à 13:20 | rakoto-neutre (#8588) répond à Dadabe

      Bonjour

      En encourageant de prendre des préservatifs, pour moi, c’est de promouvoir L’ADULTERE.

    • 30 novembre 2015 à 13:53 | Isandra (#7070) répond à Dadabe

      En effet, on doit se protéger,...et utiliser le préservatif,...

      Cependant,comme les adolescents sont curieux aimant tester des nouvelles choses,...cette distribution gratuite à la sortie des établissements scolaires, pour moi, c’est une publicité malsaine,...laquelle suscite l’envie et incite, voir pousser les jeunes à faire précocement cet acte,...alors que certains préféraient attendre un peu, avant d’entrer dans cette aventure,...Elle n’a comme objectif que l’utilisation de préservatif, sans calculer les autres impacts négatifs,...les actes sexuels précoces,les prostitutions,...etc.

    • 30 novembre 2015 à 14:01 | Dadabe (#9116) répond à rakoto-neutre

      L’adultère ! Vous vivez dans quel siècle ? Chaque adulte est responsable de ses actes. Ce n’est pas une capote en plus ou en moins qui l’empêchera de tromper sa femme (ou son mari). Désolé, mais votre réflexion est inquiétante et très réactionnaire. L’usage du préservatif au sein d’un couple fidèle ne s’impose pas, autrement que comme moyen contraceptif bien sûr. Pour les personnes plus « vagabondes », l’essentiel est qu’elles se protègent et protègent leurs partenaires !

    • 30 novembre 2015 à 14:10 | Dadabe (#9116) répond à Isandra

      Je ne fais aucunement l’apologie de la débauche. Et prôner l’usage du préservatif n’a strictement rien d’une « publicité malsaine ». Vous utilisez-là un vocabulaire passéiste que je trouve particulièrement irresponsable.
      Quant aux adolescents, je l’ai déjà écrit mille fois, ici et ailleurs, ils font ce qu’ils ont à faire sans vous en demander l’autorisation ! La gratuité du préservatif, que j’appelle de tous mes voeux, n’est en rien une incitation à passer à l’acte. C’est précisément pourquoi je parle d’EDUCATION sanitaire et du rôle des éducateurs, professionnels de la santé et parents. Arrêtez de prendre les adolescents (15-25 ans, environ) pour des demeurés incapables de maîtriser leurs pulsions et s’adonnant au sexe comme des bêtes en rut !
      Enfin le problème de la prostitution est d’une autre nature. C’est l’appât du gain ou la misère sociale qui en sont les principales causes, pas la capote !

    • 30 novembre 2015 à 14:13 | Tsisdinika (#3548) répond à rakoto-neutre

      Rakoto-neutre,

      Ce terme ne veut absolument rien dire pour certaines personnes dites progressistes et modernes qui n’y voit qu’une tentative de régenter leur si chère liberté.

      Ils espèrent que c’est un bout de latex qui les mettrait à l’abri d’un mode de vie rebelle et égoïste. Dans ce monde, quand vice il y a, on ne cherche guère à toucher à la personne elle-même mais on essaie d’améliorer son « comportement ». Pourtant, il y a des limites.

      Pourquoi a-t-on fini par légiférer contre le tagabisme par exemple ? Parce qu’on ne peut pas mettre un condom sur les poumons des fumeurs passifs. Donc on était obligé de s’attaquer à la personne même du fumeur et pas juste son comportement. Évidemment, cette recette « restrictive de liberté » ne pourrait marcher en ce qui concerne la sexualité d’où la nécessité d’une action en profondeur, donc pas du tout épidermique, comme le serait, encore une fois, cette seconde peau en latex.

      On ne peut pas raisonner une dangeureuse chenille pour qu’elle arrête de bouffer tout ce qu’elle trouve et qu’elle ne diffuse plus ses piquants ou son venin. Seule la métamorphose en un être beau et inoffensif qu’est le papillon constitue la solution pérenne.

    • 30 novembre 2015 à 14:15 | Tsisdinika (#3548) répond à Tsisdinika

      ...les mettrait à l’abri DES CONSÉQUENCES d’un mode de vie rebelle et égoïste...

    • 30 novembre 2015 à 15:22 | Menalahy (#9072) répond à Dadabe

      Bonjour Dadabe,

      Votre idée est une fausse-bonne idée pour Madagasikara : essayez de mettre un distributeur devant une pharmacie ou une école et vous allez avoir :

      - une levée de bouclier des bigots, des grenouilles de bénitier précédés par les évêques hostiles à toute prévention (cf la dernière lettre des évêques africains et malagasy d’une stupidité sans fonds),

      - un acte de vandalisme de ce distributeur par tous ceux qui ne respectent pas les biens communs.

      - sans compter les jeunes filles qui vont utiliser le condom comme moyen de prévention d’une grossesse non souhaitée pour mieux continuer à faire leur business avec les touristes à euros ou à dollars. Mais, lç c’et déjà un moindre mal.

      Une question à nous poser est : comment lutter contre le SIDA si des médecins lancent une campagne contre la vaccination anti-poliomyélite ?

      Certains diront que je confonds deux combats : lutte contre le SIDA et lutte contre la poliomyélite, pourtant, c’est le même combat : le combat contre des fléaux endémiques.

      http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/lutte-contre-la-polio-les-medecins-se-remettent-en-cause-49385/

    • 30 novembre 2015 à 15:38 | rakoto-neutre (#8588) répond à Dadabe

      Vous conseillez donc pour tous ces jeunes les capottes.
      Pour moi, il faut qu’ils ne prennent jamais ces choses-là, c’est comme sucer un bonbon ou un chocolat avec son emballage. Le mieux pour les jeunes, je les conseille de ne pas faire très tôt du rapport sexuel.

    • 30 novembre 2015 à 15:50 | Isandra (#7070) répond à Dadabe

      Ce genre de discours d’un permissif qui rend la société dans la dérive sans balise,...Bien sûr, il faut responsabiliser les jeunes, tout en pensant qu’ils sont novices,...manquent d’expérience, et que leur capacité de discernement est encore faible,...du coup, il faut mettre une direction et une balise,...

      Tous les éducateurs doivent collaborer, fixer un seul objectif, diminuer la propagation de ce virus, et ne doivent pas négliger aucune alternative,...

      L’utilisation de préservatif n’est pas la seule solution pour éviter cette maladie,...pourtant,en écoutant ces distributeurs,nous avons l’impression qu’ils ne sont là que pour promouvoir ce produit comme si ils étaient en train de lancer un produit commercial,...

    • 30 novembre 2015 à 15:55 | Menalahy (#9072) répond à rakoto-neutre

      Vous pourriez aussi (peut-être) y rajouter un encouragement clair à l’homosexualité et à la prostitution puisque la morale vient brouiller le message sanitaire.

    • 30 novembre 2015 à 16:00 | rakoto-neutre (#8588) répond à Tsisdinika

      Bien sûr que oui, aujourd’hui la technologie moderne, la médecine révolutionnaire équipéz d’un matériel hypersophistiiqué cherchent à parer toutes les maladies de cet globe maudit par LE SIDA. Et l’homme cherche toujours une solution ou un remède pour assouvir son désir et permettez-moi d’affirmer que le siida a freiné beaucoup de choses honteuses pour l’humanité, l’homose)ualité, lesbienne. ; ; ; qui ne sont d’après moi naturel du tout.
      Vous avez déjap vu un chat qui baise un autre chat, ? c’est RIDICULE HEIN !!!

    • 30 novembre 2015 à 16:08 | rakoto-neutre (#8588) répond à Menalahy

      Mais ces choses absurdes ET QUI ME POUSSENT A VOMIR, ne sont pas à l’origine du SIDA ?
      EST-CE NATUREL ? JE N’ÊN CROIS PAS.
      C’EST L’OEUVRE DU DIABLE.

    • 30 novembre 2015 à 16:19 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      Ils incitent plutôt les jeunes à consommer ce produit(capote,...),...au lieu de se focaliser sur leur lutte,...

    • 30 novembre 2015 à 16:19 | Menalahy (#9072) répond à Menalahy

      J’ai oublié que le SIDA est (peut-être) une des armes de la « juiverie mondiale » pour accélérer son projet de domination.

      Ce ne sont pas les théories complotistes et conspirationnistes qui manquent au sujet diu SIDA :

      - le HIV aurait été créé pour éradiquer les Africains trop nombreux,
      - le HIV n’est pas la cause du SIDA,
      - les oranges sanguines contiendraient le virus HIV,
      - pour guérir le SIDA, l’Alzheimer, le cancer et tutti quanti, il faut prendre de la vitamine D3 à une dose de 15 000 UI/jour (dixit un neurochirurgien à la retraite et qui vend des compléments alimentaires),
      - etc, etc.

    • 30 novembre 2015 à 16:29 | Menalahy (#9072) répond à Isandra

      Vous croyez que les adolescents attendent la distribution gratuite (ou pas) de condom pour passer à l’acte ?

      Quels sont les sujets de discussion préférés de la majorité des gens ? Le sexe, le sexe et l’argent.

      Il y a toujours une allusion au sexe, par ci, par là. Les commentaires des djeuns sur l’allure d’une jeune fille qui passe en disent long.

      Je ne dis pas que ces djeuns sont des obsédés sexuels mais que la vie sexuelle et le plaisir qu’on en tire leur taraude le cerveau et le reste.

      Si vous avez un fils en âge de se masturber, appliquez-lui la bonne vieille méthode des mains attachées. Surveillez ses draps et son linge intime pour traquer « les cartes de France ».

      Quant à votre fille : interdiction de monter à bicyclette et faîtes attention si jamais elle se frotte une cuisse contre une autre car elle est en train de « jouer de la mandoline » !

    • 30 novembre 2015 à 16:37 | Tsisdinika (#3548) répond à Menalahy

      Menalahy,

      Si nous devions adopter une approche disons holistique au Sida, on découvrira sans peine que cette maladie n’a pas une origine sanitaire mais bel et bien morale. Des rapports sexuels contre-nature et/ou extra-conjugal (c’est à dire l’immoralité sexuelle, terme passéiste et désuet pour certains), l’usage de seringues d’héroïne en groupe ont été les premiers terrains qui ont fortement contribué à la transmission et la prévalence du virus.

      En traitant le problème sous l’angle uniquement sanitaire, c’est aussi efficace que cautère sur jambe de bois. En effet, est-il raisonnable de jouer avec sa vie en faisant confiance à quelques microns de latex pour satisfaire une envie irrepressible de trente secondes (c’est Marc Lavoine qui l’a dit, pas moi hein) ?

    • 30 novembre 2015 à 17:35 | Dadabe (#9116) répond à rakoto-neutre

      J’admets que les conneries fleurissent sur ce forum. Qu’y faire ? Mais sur un sujet qui concerne essentiellement les jeunes et qui évoque une maladie MORTELLE, je trouve votre humour non seulement déplacé mais dégueulasse. Allez sucer ailleurs vos bonbons, vieux débris sans dents ! Je comprends que tout cela ne soit plus de votre âge mais vos propos sont ceux d’un malade mental ou d’un criminel. Au choix.

    • 30 novembre 2015 à 17:51 | Dadabe (#9116) répond à Menalahy

      Bonjour Menalahy,

      Je vous sens en pleine forme. Quant à moi, je reviens à l’instant (un petit quart d’heure) d’une belle promenade pédestre en sous-bois. Calme, détente et air frais (un peu frisquet même). Bref, je rallume mon ordi et je tombe sur une série d’horreurs, de préjugés, de conneries profondes, de lâcheté invraisemblable, d’intolérance moyenâgeuse... J’aurais dû rester dans mes sous-bois, finalement. Cela dit, vous avez oublié les francs-maçons. C’est pas sympa !
      Bien à vous.

    • 30 novembre 2015 à 17:55 | Isandra (#7070) répond à Menalahy

      Méfiez-vous de l’apparence,...cet étude très édifiante nous affirme que les choses ne se passent pas comme nous les adultes nous y attendons :

      http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/pour-les-adolescents-l-amour-passe-avant-le-sexe-7778196277

      En effet, pour eux, parler ou voir c’est une chose,...mais passer à l’acte, c’est une autre,

      Je ne suis pas contre qu’on facilite l’obtention du préservatif, par exemple, vente en « libre service »,...mais, je suis un peu sceptique sur sa pertinence, c’est sur le fait qu’on les distribue gratuitement à la sortie des écoles,...du fait qu’en quelque sorte, cette méthode a caractère incitatif, non seulement à l’utilisation, mais aussi pour passer à l’acte.

      Imaginons un jeune de 14 ans, qui pensait attendre un peu avant d’entrer dans cette aventure, il a reçu une boite de préservatif. Il va de soi que cela suscite des questions dans sa tête, que faire de ces capotes ? Ranger dans le tiroir ? Il se dit, ils ne sont pas distribués pour être rangés, mais à utiliser ? Là, il commence à penser à l’utiliser, le désir, lorsqu’il a conçu, pousse à passer l’acte,...surtout, quand une occasion se présente. Cependant, cette situation ne pourrait pas se présenter sans cette distribution,...

    • 30 novembre 2015 à 19:39 | Dadabe (#9116) répond à Isandra

      Arrêtez de penser à la place des adolescents. Je n’ai pas parlé des « écoles » mais des « collèges », « lycées » etc... Mon propos vise les 15-25 ans (de la puberté au désir de fonder un couple stable...) et je n’oblige personne à passer à l’acte. Un gamin qui ne sait pas quoi faire d’une capote s’amuse à en faire une « bombe d’eau » ou, déjà un peu grand, l’essaye en cachette pour se masturber. Et alors ? Vous préférez qu’il se masturbe sans capote ? De toutes façons, il fera ce qu’il a envie de faire, sans vous en parler !
      Vos craintes sont celles d’une personne réactionnaire et moralisatrice. Il n’existe certes pas d’enquête précise mais il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que les rapports sexuels précoces sont nombreux chez les filles et les garçons de Madagascar. Pourtant, on ne distribue pas encore les capotes à la sortie des cours... Alors, d’où vous vient cette « peur » d’une incitation à la débauche ? Et croyez bien que je n’ai rien contre la morale, l’apprentissage du bien vivre ensemble, la connaissance de son corps et le respect de celui des autres. Mais quand la nature se réveille... Arrêtez un peu de vouloir castrer tout le monde ! Cela s’est toujours fait dans les régimes dictatoriaux, en particulier communistes. C’est une vision morbide du monde.

    • 30 novembre 2015 à 20:08 | Isandra (#7070) répond à Dadabe

      Avec cette distribution gratuite, vous ne les obligezones, mais vous les incitez et poussez à consommer ces capotes, comme si vous lancez un produit commercial, alors que l’objectif principal de ce projet, c’est plutôt de limiter la propagation de ce virus, mais non pas de commercialiser ce produit. Là-dessus, l’objectif est complètement dévie.

    • 30 novembre 2015 à 20:09 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      Vous ne les obligez pas,...

    • 30 novembre 2015 à 21:01 | Rahasimbery (#8396) répond à Dadabe

      De tout temps et en tous lieux, il y a toujours eu une corrélation entre le statut social des individus et l’accès à la sexualité (implicitement le plaisir sexuel). Les puissants, les riches, les rois détenaient le privilège de la fréquence et de l’abondance. Si avant l’époque moderne, les sociétés traditionnelles régulaient les mariages (les règles matrimoniales= partage et circulation des femmes entre les groupes sociaux garantissant une relative sécurité sexuelle) , à l’heure d’aujourd’hui, dans nombre de sociétés acquises aux valeurs modernes (occidentales et libérales) , à l’échelle des individus, c’est le pouvoir d’achat qui le détermine et l’effet montre des conséquences inattendues à l’échelle des groupes : l’insécurité sexuelle pour les pauvres et une tendance homogamique chez les riches. En d’autres termes, l’accès à la sexualité reste et restera toujours inégalitaire tant que la loi de l’offre et de la demande régit les rapports interhumains.
      Quant à la sexualité des adolescents et des jeunes de moins de 25 ans, elle est beaucoup plus altruiste car la logique des corps (hormones, découverte de la puissance sexuelle via le plaire etc.) précède la logique socio-économique. De plus, des critères d’ordre affinitif (les beaux yeux, il joue de la guitare, manja be Saholy) entrent en jeu dans les possibles combinaisons. Mais passé certain âge, la logique dominante de la société donne le tempo : la sexualité a un coût

    • 1er décembre 2015 à 09:17 | Menalahy (#9072) répond à Dadabe

      Ces prélats cacochymes nous interdisent de nous épanouir dans une vie sexuelle harmonieuse mais ils ne s’interdisent pas de déflorer des jeunes filles prépubères ni de transformer les fesses des jeunes garçons en jardins de Sodome.

    • 1er décembre 2015 à 09:39 | Menalahy (#9072) répond à rakoto-neutre

      - Il est vrai que c’est malheureux de débuter sa vie sexuelle par une protection avec un condom, mais les temps ont changé et le danger guette à tous les coins de rue : il faut se protéger.

      - Pour les personnes ayant connu la période « sans condom », il est difficile de comprendre que les sensations ne sont pas amoindries par ce fin capuchon en latex ou en une autre matière pour les allergiques au latex.

      Les condoms sont très fins, actuellement, et ça devient une ’seconde peau".

      - Ne pas oublier le lubrifiant adéquat (pas de matière grasse).

      - Ne pas transformer le lit en champ opératoire, non plus !

      - Ne pas se fier à la bonne mine du/de la partenaire sans tomber dans l’hypocondrie.

      - La pose du condom s’apprend car quelquefois, le garçon déroule le condom en entier puis l’enfile sur le membre turgescent alors qu’il faut le dérouler progressivement tout en laissant un petit espace qui recueillera l’éjaculat.

    • 1er décembre 2015 à 09:43 | Menalahy (#9072) répond à rakoto-neutre

      Ah bon ? L’émergence du HIV a freiné l’homosexualité masculine et le lesbianisme ?

      Pourriez-vous me citer votre source SVP ?

      Connaissez-vous les Bonobo ?

    • 1er décembre 2015 à 09:50 | Menalahy (#9072) répond à rakoto-neutre

      Ca y est, on y est : c’est l’homosexualité, en particulier la sodomie, n’ayaons pas peur des mots car nous sommes entre adultes, qui est à l’origine (la cause, l’étiologie) du HIV, donc du SIDA.

      Le Pr Luc Montagnier et les autres chercheurs ayant travaillé et travaillant encore sur le HIV et ses variantes, ont gaspillé leur tempes et l’argent des recherches médicales.

      Ca fait plaisir qu’en 2015, on lit encore des inepties comme les vôtres.

      Ah et puis, y mêler le Diable : quelle finesse d’esprit scientifuqe.

      N’oubliez pas la juiverie et sa domination mondiale.

      Tiens, Ramatoa Racynt, vous n’êtes pas dans les parages pour nous sortir un document comploto-conspirationniste ? Car ça existe sur le Net.

    • 1er décembre 2015 à 10:04 | Menalahy (#9072) répond à Dadabe

      Bonjoru Dadabe,

      Je n’ai pas pu vous répondre hier. Je le fais maintenant.

      Là, on tourne en rond comme lorsque ce sujet est apparu en sous-sujet du genre et de la parité discuté ici, il y a quelques mois de cela.

      Je constate que les avis et les mentalités n’ont pas évolués malgré les discussions, parfois vives.

      Il y a une personne qui a mis de l’eau dans son vin : Turping. J’espère qu’il ne sortira pas ses copiés-collés.

      Quand on mélange la morale puritaine à un sujet de société, les discussions sont biaisées d’avance. Et même la superstition s’y mêle.

    • 1er décembre 2015 à 10:31 | Menalahy (#9072) répond à Tsisdinika

      Lol, vous êtes un éjaculateur précoce, je vois ! Ca se soigne, vous savez ?

      Concernant l’origine, la cause, l’étiologie du SIDA, je vous renvoie à un de mes posts adressé à Rakoto-neutre.

      Je m’en tiens aux certitudes scientifiques car je reste sur le plan sanitaire qui ne se mêle pas de morale, de religion mais d’éthique médical.

      Je n’imagine pas un médecin (il en existe malheureusement à mon goût) qui met en avance sa morale avant de soigner un patient.

      Non seulement, il va « mal soigner » son patient, mais, en plus, il risque de se retrouver devant le conseil de discipline.

      Vous qualifiez certaines pratiques sexuelles de « contre-nature », ce qui sous-entend déjà une prise de position morale, (un jugement), là où la liberté individuelle est de mise car la vie sexuelle se passe en privé et non en public, sauf en cas de dérangement mental. Mais avouez que ce n’est pas tous les jours que vous entendez ou voyez que des personnes ont eu une relation sexuelle à Analakely ou place de la Gare.

      Que vous vous abstenez de certaines pratiques sexuelles qui vous « dégoûtent » ou qui sont contraires à votre morale, je n’en vois pas l’inconvénient.

      Je ne vais pas vous obliger à manger de la choucroute si vous n’êtes pas fan de la cuisine alsacienne ou allemande.

      Mais vous n’avez aucun droit pour interdire à ceux qui le désirent, d’agrémenter leur vie sexuelle de diverses fantaisies qui les empêchent de tomber dans la routine. Tant que ça se passe entre adultes consentants et tant que l’intégrité physique de l’autre est respectée.

      J’apprécie le ravitoto sy henankisoa, mais je ne me vois pas en manger tous les jours non plus, il y aura saturation rapide de mes papilles. Je change aussi d’eau minérale et de vin pour éviter cette saturation papillaire.

      Nous sommes convaincus que la position dite du missionnaire est la positions « naturelle » alors qu’anthropologiquement, ce n’est pas vrai : la colonisation est allée jusque dans nos lits. Le comble.

    • 1er décembre 2015 à 10:53 | Menalahy (#9072) répond à Isandra

      Encore une fois, ne nous mettons pas à la place de nos adolescents.

      En voulant les protéger, nous les sur-protégeons et nous obtenons le résultat inverse à ce que nous attendions.

      A force de cacher les organes sexuelles et de considérer le sexe comme un tabou absolu, nous entourons les organes sexuels et l’acte sexuel d’un mystère que l’imagination des adolescents tenteront de percer à leur façon (*).

      Quel est donc l’expression malagasy pour désigner la relation sexuelle ? Manao vetaveta. Parfois, le verbe « manao/hanao » suffit pour évoquer l’acte sexuel.

      Pas besoin d’être grand clerc pour y déceler le poids de la morale puritaine dominante.

      Il ne s’agit pas d’être permissif mais d’être compréhensif par rapport à la santé sexuelle contemporaine et par rapport aux questionnements de nos adolescents.

      Il ne s’agit pas de coller à la mentalité « open mind » qui préconise un nouveau libéralisme sexuel mais de donner aux organes sexuels et aux relations sexuelles la place qu’ils devraient occuper dans la vie et le développement d’un individu.

      Il y a de la place entre le tout interdit et le tout permissif. Tout est question de dosage.

      (*) Des études sérieuses ont montré que les adolescents qui possèdent un smartphone ont des photos dites sexy sur la mémoire de leur smartphone. Ces photos ne sont pas toujours des photos porno mais le plus souvent des photos de personnes légèrement vêtues dans des positions suggestives.

      De plus, combien d’adolescents ayant une connexion internet (ordinateur, tablette, smartphone) ont déjà visualisé des films porno ? Le problème, c’est qu’ils considèrent les « exploits » visionnés comme la réalité. Or, il n’en est rien et ces adolescentes risquent de mal rater leur entrée dans la vie sexuelle.

      Est-ce cela que nous voulons avec notre morale et nos interdits d’un autre temps ?

    • 1er décembre 2015 à 11:15 | Tsisdinika (#3548)

      « L’éthologie, c’est à dire l’étude des comportements animaliers, a depuis longtemps démontré que l’homosexualité était une pratique tout à fait courante dans le monde animal. Quelque 450 espèces de vertébrés ont des rapports sexuels et érotiques entre individus du même sexe. »

      Je croyais que ce qui faisait de nous des hommes c’est justement de pouvoir s’élever au dessus des comportements et instincs animaliers. Il est par exemple courant qu’une femelle tue ou abandonne les plus faibles parmi une portée qu’elle a mise bas, ou bien que les petits requins s’entredévorent in utero. Nous n’allons pas faire de même parce que cela se pratique dans le monde animal, n’est-ce pas ? On est un animal ou on l’est pas. Quant aux « rapports érotiques » entre individus du même sexe, c’est pousser l’anthropomorphisme un peu loin. À ma connaissance, ces « rapports sexuels » entre même sexe, par exemple chez les bonobo, sont destinés à asseoir une relation de domination et pour gérer les conflits. Mais quand il s’agit de procréer lorsqu’ arrive la période de reproduction, ces singes savent très bien comment faire. Ils n’adoptent pas. Mais bon, quand on veut absolument justifier l’injustifiable... Il a y également les phénomènes d’hermaphrodisme ou de transsexualisme dictés par l’environnement comme chez la dorade, le mérou, les crocodiles. Le but reste la perpétuation de l’espèce mais il n’y a qu’un pas que certains ont déjà allègrement franchi pour justifier leur « désorientation sexuelle » et faire croire au précédent naturel. Si on est réduit à invoquer le secours du mode de vie animal pour pouvoir vivre en tant qu’homme, c’est qu’on est tombé bien bas.

      Homophobe. Voilà un terme commode et mainstream pour jeter l’opprobre sur quelqu’un qui pense différement. Maintenant, on risque même une condamnation pénale en France ou autres pays progressistes si on est reconnu coupable de cette « phobie ». La grosse manip. C’est le pédéraste qui a un problème d’identité et c’est celui qui reprend son comportement qui est accusé d’être malade. Mais quel monde ! On ne peut être anti-homosexualité (contre la pratique, pas la personne) sans être taxé d’homophobe. Curieux quand même le choix des mots. Tout ce qui est phobie est à proscrire : islamophobie, francophobie, etc. Mais ce qui est anti est toléré, voire accepté comme étant un choix et un droit : anti-nucléaire, anti-mondialisation... antisémite (?)

    • 1er décembre 2015 à 11:22 | Tsisdinika (#3548)

      « L’éthologie, c’est à dire l’étude des comportements animaliers, a depuis longtemps démontré que l’homosexualité était une pratique tout à fait courante dans le monde animal. Quelque 450 espèces de vertébrés ont des rapports sexuels et érotiques entre individus du même sexe. »

      Je croyais que ce qui faisait de nous des hommes c’est justement de pouvoir s’élever au dessus des comportements et instincs animaliers. Il est par exemple courant qu’une femelle tue ou abandonne les plus faibles parmi une portée qu’elle a mise bas, ou bien que les petits requins s’entredévorent in utero. Nous n’allons pas faire de même parce que cela se pratique dans le monde animal, n’est-ce pas ? On est un animal ou on l’est pas. Quant aux « rapports érotiques » entre individus du même sexe, c’est pousser l’anthropomorphisme un peu loin. À ma connaissance, ces « rapports sexuels » entre même sexe, par exemple chez les bonobo, sont destinés à asseoir une relation de domination et pour gérer les conflits. Mais quand il s’agit de procréer lorsqu’ arrive la période de reproduction, ces singes savent très bien comment faire. Ils n’adoptent pas. Mais bon, quand on veut absolument justifier l’injustifiable... Il a y également les phénomènes d’hermaphrodisme ou de transsexualisme dictés par l’environnement comme chez la dorade, le mérou, les crocodiles. Le but reste la perpétuation de l’espèce mais il n’y a qu’un pas que certains ont déjà allègrement franchi pour justifier leur « désorientation sexuelle » et faire croire au précédent naturel. Si on est réduit à invoquer le secours du mode de vie animal pour pouvoir vivre en tant qu’homme, c’est qu’on est tombé bien bas.

      Homophobe. Voilà un terme commode et mainstream pour jeter l’opprobre sur quelqu’un qui pense différement. Maintenant, on risque même une condamnation pénale en France ou autres pays progressistes si on est reconnu coupable de cette « phobie ». La grosse manip. C’est le pédéraste qui a un problème d’identité et c’est celui qui reprend son comportement qui est accusé d’être malade. Mais quel monde ! On ne peut être anti-homosexualité (contre la pratique, pas la personne) sans être taxé d’homophobe. Curieux quand même le choix des mots. Tout ce qui est phobie est à proscrire : islamophobie, francophobie, etc. Mais ce qui est anti est toléré, voire accepté comme étant un choix et un droit : anti-nucléaire, anti-mondialisation... antisémite (?)

    • 1er décembre 2015 à 11:24 | Tsisdinika (#3548)

      « L’éthologie, c’est à dire l’étude des comportements animaliers, a depuis longtemps démontré que l’homosexualité était une pratique tout à fait courante dans le monde animal. Quelque 450 espèces de vertébrés ont des rapports sexuels et érotiques entre individus du même sexe. »

      Je croyais que ce qui faisait de nous des hommes c’est justement de pouvoir s’élever au dessus des comportements et instincs animaliers. Il est par exemple courant qu’une femelle tue ou abandonne les plus faibles parmi une portée qu’elle a mise bas, ou bien que les petits requins s’entredévorent in utero. Nous n’allons pas faire de même parce que cela se pratique dans le monde animal, n’est-ce pas ? On est un animal ou on l’est pas. Quant aux « rapports érotiques » entre individus du même sexe, c’est pousser l’anthropomorphisme un peu loin. À ma connaissance, ces « rapports sexuels » entre même sexe, par exemple chez les bonobo, sont destinés à asseoir une relation de domination et pour gérer les conflits. Mais quand il s’agit de procréer lorsqu’ arrive la période de reproduction, ces singes savent très bien comment faire. Ils n’adoptent pas. Mais bon, quand on veut absolument justifier l’injustifiable... Il a y également les phénomènes d’hermaphrodisme ou de transsexualisme dictés par l’environnement comme chez la dorade, le mérou, les crocodiles. Le but reste la perpétuation de l’espèce mais il n’y a qu’un pas que certains ont déjà allègrement franchi pour justifier leur « désorientation sexuelle » et faire croire au précédent naturel. Si on est réduit à invoquer le secours du mode de vie animal pour pouvoir vivre en tant qu’homme, c’est qu’on est tombé bien bas.

      Homophobe. Voilà un terme commode et mainstream pour jeter l’opprobre sur quelqu’un qui pense différement. Maintenant, on risque même une condamnation pénale en France ou autres pays progressistes si on est reconnu coupable de cette « phobie ». La grosse manip. C’est l’homosexuel qui a un problème d’identité et c’est celui qui reprend son comportement qui est accusé d’être malade. Mais quel monde ! On ne peut être anti-homosexualité (contre la pratique, pas la personne) sans être taxé d’homophobe. Curieux quand même le choix des mots. Tout ce qui est phobie est à proscrire : islamophobie, francophobie, etc. Mais ce qui est anti est toléré, voire accepté comme étant un choix et un droit : anti-nucléaire, anti-mondialisation... antisémite (?)

    • 1er décembre 2015 à 12:45 | Tsisdinika (#3548) répond à Menalahy

      Menalahy, bonjour.

      Je vois que vous ne connaissez pas la chanson de Marc Lavoine à laquelle je me suis référé, l’Amour de 30 secondes. Ou bien ai-je mal saisi votre second degré ? Mais merci quand même, mon éjaculation précoce et moi, on est très bien comme on est !

      Vous raisonnez en général en tant que médecin et scientifique, avec des opinions bien tranchées et des théories bien léchées pour défendre vos positions. Ce qui fait que cela fait désordre quand vous vous essayez à des analogies hasardeuses qui convoquent ravitoto, vin... et missionnaire. Reprenez-vous que diantre !

      La médicine a, si je ne m’abuse, pour mission de soigner en premier lieu, et de prévenir (par l’éducation, la prophylaxie ou que sais-je encore) dans un deuxième temps. Pourtant, la science et la médicine jusqu’à présent restent impuissantes pour éradiquer le VIH. 1 à 0, la balle au centre. Mais le match n’est pas fini. Reste la prévention. L’approche dite scientifique s’emploie, en pure perte, à sensibiliser sur les « comportements à risques » et à proposer des « protections » bien aléatoires qui cautionnent et pérennisent une certaine irresponsabilité. Pro-life ou pro-sex ? Question déplacée. Echec sur toute la ligne également.

      En face, la « morale », que vous exécrez sans pouvoir faire mieux qu’elle, vise quant à elle à faire prendre conscience de l’existence d’une alternative non superficielle. Pour venir à bout de tout problème quasi insurmontable, la morale se persuade qu’il faut s’y attaquer par la racine (root cause). Une ronce ne peut produire des pommes. Pour en avoir, il faut replanter un pommier en lieu et place. Difficile quand il est dans l’air du siècle de laisser agir l’individu comme il l’entend. Les hormones, les fantaisies sont pourtant des bons serviteurs mais des mauvais maîtres.

      À chacun sa sagesse.

    • 1er décembre 2015 à 13:16 | Tsisdinika (#3548) répond à Menalahy

      Je vous recopie ma réaction au post de dadabe ci-haut que le modérateur Tribune a semble-t-il censuré pour je ne sais quelle raison.

      « L’éthologie, c’est à dire l’étude des comportements animaliers, a depuis longtemps démontré que l’homosexualité était une pratique tout à fait courante dans le monde animal. Quelque 450 espèces de vertébrés ont des rapports sexuels et érotiques entre individus du même sexe. »

      Je croyais que ce qui faisait de nous des hommes c’est justement de pouvoir s’élever au dessus des comportements et instincs animaliers. Il est par exemple courant qu’une femelle tue ou abandonne les plus faibles parmi une portée qu’elle a mise bas, ou bien que les petits requins s’entredévorent in utero. Nous n’allons pas faire de même parce que cela se pratique dans le monde animal, n’est-ce pas ? On est un animal ou on l’est pas. Quant aux « rapports érotiques » entre individus du même sexe, c’est pousser l’anthropomorphisme un peu loin. À ma connaissance, ces « rapports sexuels » entre même sexe, par exemple chez les bonobo, sont destinés à asseoir une relation de domination et pour gérer les conflits. Mais quand il s’agit de procréer lorsqu’ arrive la période de reproduction, ces singes savent très bien comment faire. Ils n’adoptent pas. Mais bon, quand on veut absolument justifier l’injustifiable... Il a y également les phénomènes d’hermaphrodisme ou de transsexualisme dictés par l’environnement comme chez la dorade, le mérou, les crocodiles. Le but reste la perpétuation de l’espèce mais il n’y a qu’un pas que certains ont déjà allègrement franchi pour justifier leur « désorientation sexuelle » et faire croire au précédent naturel. Si on est réduit à invoquer le secours du mode de vie animal pour pouvoir vivre en tant qu’homme, c’est qu’on est tombé bien bas.

      Homophobe. Voilà un terme commode et mainstream pour jeter l’opprobre sur quelqu’un qui pense différement. Maintenant, on risque même une condamnation pénale en France ou autres pays progressistes si on est reconnu coupable de cette « phobie ». La grosse manip. C’est l’homose.xuel qui a un problème d’identité et c’est celui qui reprend son comportement qui est accusé d’être malade. Mais quel monde ! On ne peut être anti-ho.mo.sexualité (contre la pratique, pas la personne) sans être taxé d’homo.phobe. Curieux quand même le choix des mots. Tout ce qui est phobie est à proscrire : islamo.phobie, franco.phobie, etc. Mais ce qui est anti est toléré, voire accepté comme étant un choix et un droit : anti-nucléaire, anti-mondialisation... anti.sémite (?)

    • 1er décembre 2015 à 14:52 | Menalahy (#9072) répond à Tsisdinika

      Puisque vous opposez l’animalité de l’humanité, est-ce que l’Homme ne doit pas séparer la sexualité destinée à la perpétuation de l’espèce (chez l’animal) de la sexualité destinée à procurer du plaisr sans idée de perpétuation de l’espèce ?

      Votre posture qui consisterait à condamner l’acte homosexuel et non la personne homosexuelle est-elle le fruit de votre éthique personnelle ou issue de la morale chrétienne qui prétend (j’écris bien, prétend) haïr et condamner le péché et non le pécheur ?

      Ce n’est qu’une posture qui cache un mal-être devant la condamnation d’un être humain car vous ne voyez pas le péché avant le pécheur : quand vous et les chrétiens prononcez une condamnation, vous condamnez d’abord le pécheur que vous voyez avant de condamner le péché que vous lui fa^tes porter.

      Arrêter de vous cacher derrière de beaux principes qui sont inaccessibles au commun des mortels, dont vous en premier lieu.

    • 1er décembre 2015 à 16:09 | Menalahy (#9072) répond à Tsisdinika

      Désolé si vous n’avez pas compris mon humour ; je ne connais pas cette chanson car je suis plutôt Alain Bashung, Etienne Daho.

      Sur ce forum, je raisonne d’abord en citoyen avant de porter une autre casquette. C’est pour ça que j’ai parlé de ravitoto sy henakisoa. Tout comme vous, plus bas dans votre post, utilisez l’exemple de la ronce et du pommier.

      Ce sont des illustrations et non des « analogies hasardeuses ». Il ne faut pas oublier que, sur ce forum, nous nous adressons à un public large et varié.

      La médecine n’a gagné aucune guerre ni aucune bataille. Il serait présomptueux de dire que la médecine a vaincu telle ou telle maladie. C’est du moins mon opinion personnelle car le médecin se trouve toujours face à la résurgence d’anciennes maladies (bénignes ou non) et à l’émergence de nouvelles maladies comme le SIDA.

      Le médecin est donc un soldat, pour utiliser un terme guerrier conforme à l’ambiance actuelle, qui est aux avant postes pour traquer et combattre ces ennemis du genre humain.

      Des maladies comme la rougeole, la tuberculose, la varicelle, etc, ne provoquent plus des hécatombes quand la médecine n’avait aucun moyen de lutte. Toutefois, des foyers de résistance persistent et la vigilance est de mise.

      La médecine est/doit être préventive avant d’être réparatrice (guérison). C’est parce qu’on ne met pas l’accent sur la prévention que les maladies persistent : les maladies cardio-vasculaires peuvent diminuer si certaines préventions sont appliquées par tout un chacun.

      La médecine n’intervient, hélas, que lorsque les dégâts apparaissent.

      Concernant le HIV, même si la bataille n’est pas encore gagnée, des progrès considérables ont été faits grâce à la persévérance des équipes de recherche, grâce aussi à la collaboration des patients HIV+, grâce au travail d’équipes multidisciplinaires.

      Les nouveaux antirétroviraux donnent des résultats satisfaisants car les patients HIV+ ont une espérance de vie améliorée (20 ans par rapport aux premiers traitements), les effets secondaires sont quasi-inexistants, les prises sont espacées alors qu’au tout début, le patient devait s’équiper de réveils ’plusieurs) pour ne pas oublier les heures de prise de ses médicaments.

      Je connais des patients HIV+ décédés au début de l’épidémie. Je connais aussi des personnes HIV+ qui vivent « normalement » actuellement.

      C’est une petite victoire mais il faut s’en réjouir car nous sommes devant un ennemi qui a la faculté de muter rapidement et parce que sa voie de pénétration relève surtout de voies intimes (sang, sperme). Eros et Thanatos se trouvent simultanément dans le HIV.

      Les dernières statistiques de l’ONUSIDA montrent que le taux d’infection a baissé de 35%. Ce n’est pas encore ce qu’il faut atteindre mais c’est déjà pas mal, à mon avis.

      C’est pour cela que les messages de prévention doivent continuer. Ces messages doivent être adaptés aux populations cibles sinon ils n’atteindront pas leur but. Si le taux d’infection a baissé dans la population homosexuelle, c’est parce que les messages étaient bien ciblés et aussi parce que cette population s’est prise en charge.

      C’est avec des discours comme le vôtre que les populations bisexuelles et hétérosexuelles ont vu leur taux d’infection augmenter de façon alarmante.

      N’oublions pas que nous travaillons avec de l’humain, donc avec un « matériel fluctuant » (veuillez me pardonner l’utilisation de cette expression qui n’est que la mienne et non celle de mes confrères).

      « Matériel fluctuant » car ses opinions et ses comportements changent sans qu’on puisse les prévoir (fluctuance). « Matériel fluctuant » qui peut être saturé, à un moment donné, par des messages devenus « banaux ». Cela a été le cas quand la tri et puis la quadrithérapie est arrivée : les gens ont cru que le SIDA a été vaincu et le relâchement s’est installé.

      Ce fut aussi le cas quand les jeunes homosexuels se sont crus protégés par le fait que c’est la génération précédente qui est la plus infectée et donc, logiquement, leur génération est indemne de HIV. Certains ont cru qu’il suffisait de ne pas voir de relation sexuelle avec des personnes plus âgées pour être protégé du HIV. Mais ce fut un leurre car il suffit que quelques jeunes sortent de ce cercle vertueux puis retournent à ce cercle vertueux pour que la contamination entre jeunes se fassent.

      Je ne milite pas pour la « débauche » ou une sexualité débridée car la mentalité « open mind » a ses limites. Je milite pour une sexualité maîtrisée et responsable. Que ceux qui pratiquent le vagabondage sexuel se prennent en main pour que les MST et le HIV ne continuent pas à décimer la population, y compris les victimes collatérales (enfants, épouses, partenaires, …).

      Est-ce trop demander ?

    • 1er décembre 2015 à 18:26 | Tsisdinika (#3548) répond à Menalahy

      La sexualité animale et la sexualité humaine sont déjà deux choses différentes. Voilà où je voulais en venir avec dadabe quant il s’est aventuré à faire un parallèle pour prouver que l’homosexualité humaine n’est pas contre-nature. À ma connaissance, il n’y a ni viol ni prostitution dans la pratique sexuelle animale et de l’autre côté, les humains de sexe féminin ne produisent pas de phéromones lorsqu’elles sont « lonaka » pour s’offrir au premier venu ; mais elles peuvent avoir des « migraines » !

      Je ne me cache pas du tout derrière des grands principes et des postures comme vous l’affirmez. Ce sont des règles de vie pour moi et non des litanies dominicales. Et puis, je n’ai nullement besoin de condamner qui que ce soit parce tout le monde finira par passer à la caisse pour régler tout ce qu’il a pris sur les étagères de la vie. L’amour chrétien consiste à aider la personne asservie par l’assouvissement de ses désirs et ses envies (homosexualité, prostitution, pédophilie, zoophilie, etc.), à prendre conscience qu’elle va droit dans le mur. Pour cela, il faut la convaincre de la nature mauvaise et perverse de la transgression dans laquelle elle s’engage parce qu’en agissant ainsi, elle se fait du tort à elle-même et aux autres.

      Vous monterez sur vos grands chevaux si vous voulez et jeterez l’anathème sur les bondieuseries de grenouilles de bénitier bigotes d’un autre siècle, et le monde entier ou presque vous soutiendra, mais vous encouragerez les « brebis égarées » à s’engouffrer dans une voie sans issue dans laquelle vous-même vous tournez en rond en se demandant peut-être pourquoi vous êtes sur Terre.

    • 1er décembre 2015 à 19:35 | Menalahy (#9072) répond à Tsisdinika

      N’ai-je pas dissocié la sexualité animale de la sexualité humaine ? C’est vous qui maintenez la sexualité humaine dans son animalité en la cantonnant dans le domaine de la procréation uniquement et en refusant que cette sexualité humaine s’est affranchie de sa finalité première (la procréation pour la survie et la perpétuation de l’espèce humaine) sans renier cette finalité première mais en y rajoutant une autre finalité qui est le plaisir de l’acte sexuel.

      Relisez-vous et relisez-moi SVP avant de me répondre.

      Vous mélangez sans vergogne homosexualité, pédophilie, zoophilie, prostitution comme si ces formes de la sexualité étaient à mettre sur le même plan en tant qu’expressions de la sexualité humaine.

      Sous l’angle moral, vous pouvez les mettre sur le même plan pour les condamner selon votre jugement et celui du Christianisme.

      Mais sur le plan de l’éthique sexuelle, vous faîtes des amalgames qui persistent encore de nos jours !
      -  Homosexualité masculine = pédophilie,
      -  Prostitution => entrée des maladies. Un forumeur a même accusé la prostitution d’être la cause de l’insécurité et du terrorisme !

      « Votre amour chrétien » existe peut-être à votre niveau, mais je ne le vois pas dans la réalité de la vie chrétienne des autres participants à ce beau discours dominical. Alors, épargnez-moi ces beaux principes car je suis aussi théologien et je l’avais déjà écrit ici.

      Je ne sais pas qui de nous deux jette l’anathème sur une partie de la population en âge de vivre sa sexualité (je parle des homosexuels, car c’est là que se trouve l’un de vos « coincements » majeurs).

      J’essaie d’expliquer que l’homosexualité n’est ni une déviance sexuelle, ni une perversion (au sens freudien du terme) et encore moins une « abomination » (sauf devant YHWH et ses nervis).

      Dans le cadre des MST et du SIDA, j’essaie d’expliquer qu’il faut une sexualité responsable car les temps ont changé pour tout le monde sauf pour ceux qui pratiquent la fidélité sexuelle (ou l’abstinence). Mais vu que l’Homme peut circuler sur toute la planète avec une facilité déconcertante et vu que les moyens pour trouver un partenaire (de vie ou d’un soir) ont été démultipliés avec les NTIC (encore une invention du Diable puisque www = 666 en chiffres hébraïques), il est peut-être temps de se prémunir contre ces bobos qui peuvent être mortels.

      PS1. Quand j’ai tenu le mêm discours, ici même, je me suis fait traité de tous les noms. Un des forumeurs, le plus agressif et le plus obtus, a posé comme condition à une discussion avec moi de lui dire si je suis homosexuel ou non.

      Bien entendu, les pavés sont tombés mais j’en suis sorti indemne et non comme ce pauvre Stephan devenu St Etienne !

      PS2. Si je soutenais la thèse de l’utilité sociale des prostituées, je recevrais, à coup sûr, de nouveaux gros pavés mais je vous assure que ce serait peine perdu car je saurais m’en tirer sans égratignure.

    • 2 décembre 2015 à 10:07 | Tsisdinika (#3548) répond à Menalahy

      À mon tour de vous recommander de bien me relire avant de réagir à chaud.

      1- J’ai expressement écrit que je repondais aux opinions de dadabe qui cherchait des justifications de la pratique homosexuelle en invoquant l’existence de cas similaires dans le règne animal. Par ailleurs, pour ce que est de l’aspect plaisir de la sexualité, il ne peut être dissocié de la finalité procréatrice parce qu’ils forment un tout cohérent (un package si vous voulez). Toute sexualité destinée à assouvir une pulsion, et que vous le vouliez ou non, l’homosexualité en fait partie tout comme la pédophilie, la zoophilie, la masturbation ou l’onanisme (qui n’est pas synonyme de masturbation contrairement aux définitions courantes), est une sexualité sélective égoïste qui est renforcée de nos jours par la mentalité dominante du « self-service » : je prends ce que j’aime et je délaisse ce qui me plait pas. Moi j’appelle cela du « retail morality ».

      2- Vous semblez être de ceux qui pense que la morale doit se cantonner au strict cadre des quatre murs d’un lieu de culte et que les chrétiens sont libres de condamner ce qu’ils veulent du moment que cela reste privé.

      3- Je ne suis pas théologien. Je trouve que c’est un terme vide de sens. La religion et la théologie pour moi sont des tentatives de l’homme de mettre le Divin en boîte. Avoir un diplôme ou un titre ecclesiastique ne signifie pas qu’on est proche de Dieu ou qu’on connait ses pensées. Par contre j’ai une relation vivante Père-fils avec le Dieu que je sers et je connais sa Parole. Si vous voulez débattre Bible en main, vous m’obligerez.

      4- Je n’ai aucun doute que votre philosophie de vie se résume à « l’Homme est son propre dieu » et vous ne cherchez pas plus loin sur le pourquoi du libre arbitre. Le « self-service » encore une fois.

      5- Vous avez quatre enfants. Si, statistiquement l’un est destiné à devenir homo et un(e) autre prostitué(e), vous n’y verriez donc aucun inconvénient et vous les aideriez à vivre pleinement leur personnalité ou leur « utilité sociale » en restant intransigeant uniquement sur votre point fort, la santé, et vous laisseriez de côté la morale. C’était pas une question donc inutile de répondre.

      6- Inutile de traiter les autres d’agressif et surtout d’obtu parce que du point de vue de cet autre forumeur, reconnaissez que vous l’êtes tout autant. L’invective facile n’ajoute aucun avantage mais diminue l’estime de soi.

    • 2 décembre 2015 à 13:44 | Menalahy (#9072) répond à Tsisdinika

      Bonjour Tsisdinika,

      -  1) J’ai bien lu que vous m’avez fait un copié-collé de votre réponse à Dadabe. Vos posts sont publics et non privés. Par conséquent, quelle différence entre une réponse Dadabe ou à un autre forumeur ? Là, il ya un hiatus que je n’arrive pas à saisir.

      -  Le « package sexuel » de départ, pour toutes les espèces vivantes (règnes animal et végétal) comprend le volet procréation/perpétuation de l’espèce et le volet plaisir.

      -  L’espèce Homme a différencié ces deux volets et il en est arrivé à dissocier les deux. Les relations sexuelles ne sont plus destinées à la procréation/perpétuation de l’espèce mais aussi à l’obtention/satisfaction du plaisir. .

      -  Je vais me risquer à une « analogie hasardeuse » en prenant aussi le « volet nourriture ». Dans l’espèce animale, se nourrir est essentiel car sans un corps bien nourri, l’animal ne peut pas se défendre contre ses prédateurs et ne pourra pas accomplir ce pour quoi il existe : perpétuer son espèce.

      -  Chez l’homme, le « volet nourriture » a aussi été dissocié en deux « nourriture pour maintenir le corps en bonne santé » et « nourriture pour le plaisir ». Vous-même, ne mangez-vous pas du tsakitsaky (qui dit bien son nom) pour le plaisir gustatif et non pour donner des forces à votre corps ? Les friandises (avec ou sans leur enveloppe ^o ^), les en-cas, les goûters ne sont-ils pas là pour nous procurer avant tut du plaisir ?

      -  Une autre « analogie hasardeuse » (je suis hardi ou iconoclaste, c’est selon) : le vêtement. Fonction primaire : protéger contre les agressions climatiques (chaud, froid, humidité, …). Secondairement, pour cacher la nudité. Mais, encore une fois, l’Homme, espèce « évoluée » a accolé à cette fonction primaire du vêtement, une fonction secondaire devenue la plus visible ; fonction décorative.

      -  Encore une fois, vous faîtes un méli-mélo entre plusieurs « comportements sexuels » que vous classez sous le terme générique de « sexualité sélective égoïste ».

      -  Je passe sur la définition de l’onanisme car celle qui est retenue ne correspond pas à l’histoire d’Onan : là vous avez raison et nous sommes sur la même longueur d’onde (concernant la définition et non les rasions qui ont poussé Onan à pratiquer le coïtus interruptus).

      -  Je ne mets pas l’homosexualité et la masturbation sur le même plan que la pédophilie ou la zoophilie.

      -  La masturbation a aussi ses raisons d’être : solitude, absence de partenaire sexuel(le), etc. Je ne vois pas pourquoi il y aurait encore une condamnation médico-religieuse par rapport à la masturbation étant donné que tous les maux dont on l’a affublée ne sont que des mensonges issus de l’idéologie procréatrice et d’une morale religieuse qui refuse la notion de plaisir.

      -  L’homosexualité est, une autre expression de la sexualité car avant le plaisir sexuel, il y a une attirance psychologique et intellectuelle avec une personne du même sexe (de l’autre sexe pour l’hétérosexuel : encore une analogie hasardeuse de ma part). La notion de pulsion « sexuelle » n’est pas de mise dans l’homosexualité car je définis une pulsion comme un désir irrépressible qui abolit le libre-arbitre de l’individu.

      -  Ce qui n’est pas le cas du pédophile et/ou du zoophile qui ne cherche qu’à assouvir sa « pulsion sexuelle » au détriment de l’objet de son désir.

      De tous/toutes les homosexuel(le) s que je connais, je n’en connais pas un(e) seul(e) qui, à la vue de l’objet de son désir, se jetterait dessus sans vergogne et sans respect de l’autre. Si vous en connaissez, faîtes-moi signe, je ferai mea culpa.

      -  Ce qui dérange, c’est l’homosexualité masculine car l’éjaculat est considéré comme sacré. Encore un héritage de l’idéologie procréatrice du temps où il fallait des guerriers pour protéger sa tribu.

      -  Ce qui dérange dans l’homosexualité, c’est la prétendue pratique de la sodomie comme si tous les homosexuels mâles pratiquaient ou ne pratiquaient que la sodomie. Si c’était le cas, qui pratiqueraient la sodomie sur les homosexuels sinon les hétérosexuels ? Or cela sous-entendrait que les hétérosexuels seraient des homosexuels en puissance ? Et on tourne en rond !

      - L’homosexualité féminine soulève moins de répulsion et de tollé car la Femme est « seulement » la réceptrice du sacré éjaculat fécondateur.

    • 2 décembre 2015 à 15:39 | Menalahy (#9072) répond à Menalahy

      -  2) La morale religieuse (chrétienne ou autre) est binaire et, par-là, réductrice : d’un côté le « licite » (halal), de l’autre côté « l’interdit » (haram). J’utilise à dessein les deux mots (halal et haram) car ils illustrent l’actualité que nous vivons.
      Cette morale religieuse s’occupe ou s’arroge le droit de s’occuper de tout, même de ce qui n’est pas de son domaine : le privé.

      C’est bien cette pensée binaire qui oppose le halal du haram qui est la cause de la radicalisation de cette jeunesse déboussolée qui se jette dans les bras d’imams salafistes quiétistes (fondamentalistes non violents) ou d’adultes qui embrassent un évangélisme radical pro-life capables d’actes de violence contre les homosexuels et contre l’avortement thérapeutique ?

      -  3) Quand j’ai parlé de mes études de théologie, ce qui me confère le titre de théologien car il faut bien appeler les choses par leur nom pour éviter les malentendus, ce n’était pas pour me poser en « savant ou en « sachant » de la « chose religieuse ».

      -  C’était pour vous dire que les discours plus ou moins alambiqués pour habiller tel ou tel point de la doctrine religieuse ne me sont pas inconnus. Donc, inutile de me raconter des sornettes sur l’amour du prochain, le pardon des péchés et autres principes nobles mais qui restent de vains mots enfermés dans les livres saints.

      -  Si vous vivez une relation harmonieuse avec Dieu et que vous respectez les principes fondateurs de votre religion, je vous félicite car peut-être bénéficieriez-vous du privilège d’Elie qui est monté au Ciel sur un Char de feu.

      Vous êtes le deuxième à témoigner sur ce forum de cette relation harmonieuse avec la Religion et de respecter stricto sensu ses principes. J’attends impatiemment le troisième témoignage.

      -  Si vous avez encore besoin de la Bible comme béquille pour « justifier » Votre Foi et Vos Pratiques, c’est que vous n’êtes pas encore arrivé au stade du chrétien adulte qui témoigne de Sa Foi et de Son Respect des Principes Divins UNIQUEMENT avec ses propres mots et avec des preuves matériels.

      -  4) FAUX : ma philosophie n’est pas « l’Homme est son propre dieu ». Dieu n’est pas l’objet de mes recherches car je ne cherche aucun Dieu ni en moi ni en dehors de moi. Je laisse Dieu là où Il est d’après les écrits religieux, c’est-à-dire au Ciel ou dans les Cieux (c’est selon). Je trouve qu’Il y est très bien et que l’Homme doit rester à sa place, sur Terre.

      -  5) Ma femme et moi ne nous occupons pas uniquement de la santé physique de nos enfants. Nous nous occupons aussi de leur santé mentale (épisode malheureuse de notre retour au pays). Nous faisons ce qui est notre possible pour que chacun d’entre eux se développe selon sa personnalité et non selon ce que nous attendons d’eux. J’avais écrit que mes enfants ne m’appartiennent pas mais j’ai le devoir de leur procurer ce dont ils ont besoin.

      -  Si l’un ou plusieurs de mes enfants devait/devaient être homosexuel(s), je n’en ferai pas une maladie car je respecterai son/leur choix tout comme je le ferai si l’un d’eux voulaient embrasser (ou pas) la carrière de son/leur père (rêve des gens de ma profession) mais je ne forcerai ni ne modulerai son/leur choix de quelque manière que ce soit. Ils feront les études de leur choix. Mon unique rôle consistera à les avertir quant aux difficultés à affronter dans telle ou telle étude et à leur inculquer la notion d’effort pour parvenir à la réalisation de leur projet professionnel.

      Mes parents disaient à mes frères et sœurs que l’héritage qu’ils nous laisseraient sont leur éducation et les études qu’ils nous paieraient. Je ferai de même avec mes enfants.

      -  Si l’un d’eux devait être homosexuel, je le/la favoriserai plus que les autres afin qu’il (ou elle) puisse éviter les embûches de la stigmatisation et de l’ostracisme. Je l’aiderai le plus et le mieux possible car cela fait partie de mon rôle de père. Je connais les difficultés vécues par les jeunes homosexuel(le)s au point que certains ne voient que le suicide comme échappatoire à la stigmatisation et à l’ostracisme. Je connais aussi les désarrois de ces jeunes que leurs parents mettent dehors à l’annonce ou à la découverte de l’homosexualité de leur enfant. Je ne vais pas imiter ceux que je combats, tout de même : je suis un être cohérent dans mes démarches ou, du moins, je m’y essaie.

      -  Quant à l’éventualité que l’un ou l’une d’entre eux choisirait la voie de la prostitution, ce n’est pas du même niveau que l’homosexualité qui n’est pas un choix mais un « subi » tandis que la prostitution est un choix (forcé ou pas) de l’individu.

      -  6) Je n’ai pas été le seul à avoir traité ce forumeur d’agressif et d’obtus. Il faudrait y mettre aussi ceux qui lui sont tombés dessus au point qu’il a fait mea culpa.

      -  En vous écrivant, je n’élève pas la voix, je ne crie pas, je ne suis pas fâché car je suis ici pour exprimer mes idées et non pour convaincre quiconque d’adhérer à ma chapelle.

      Mon style est parfois sarcastique, incisif et je reconnais que mon humour est assez noir au point que mes propos pourraient être interprétés comme insultants.

      Par contre, ceux qui m’attaquent pour le plaisir de me voir à terre (et il y en a et je ne suis pas le seul à subir ces assauts), j’ai le droit de les invectiver et de leur réserver mes volées de bois vert.

      Je suis ouvert à toutes les discussions mais il faut éviter les attaques justifiées par la rancœur ou d’autres motivations obscures.

  • 30 novembre 2015 à 09:36 | Dadabe (#9116)

    Allons, on va encore m’accuser d’en vouloir à Léa Ratsiazo mais qu’est-ce que ce titre ? « Le Sida, dangereux ou non à Madagascar ? ». Le SIDA (plus exactement la contamination et la transmission du virus VIH) est DAN-GE-REUX !
    Pas de point d’interrogation : quelques dizaines de millions de morts sur la planète en témoignent, le VIH TUE !!!! En particulier dans les pays pauvres, comme Madagascar, ou la trithérapie (qui permet de retarder et même de faire croire à une éradication du virus chez la personne contaminée) est quasiment impossible pour des raisons pécuniaires. Quant aux personnes parfois contaminées depuis plusieurs années, parfois aussi à leur insu, et qui développent le SIDA, il n’y a malheureusement qu’une issue fatale : la MORT.
    Raison pour laquelle ce titre me semble inutilement provocateur certains esprits faibles pouvant comprendre qu’à Madagascar (pas ailleurs, non, à Madagascar !) le SIDA n’est pas dangereux... Sacré bon dieu ! Le poids des mots existe !

    • 30 novembre 2015 à 09:41 | Dadabe (#9116) répond à Dadabe

      PS - Les premiers commentaires que je viens de lire me prouvent au moins une chose : quel que soit le sujet (et celui-ci concerne la jeunesse d’où qu’elle soit), les cons sont toujours prêts, comme de braves petits scouts de la bêtise universelle. La politique, les débats économiques, les « tu penses ceci » et moi « je pense cela », les injures etc... ne tuent pas. Le SIDA si. Pourriez-vous, chers forumistes, faire un tout petit effort ? Et sortez couverts !!!!

    • 30 novembre 2015 à 10:29 | betoko (#413) répond à Dadabe

      Modérateur vient de censurer mon post . Je disais Dadabe est séropositif en revenant d’Antsirabe et il ne le savait pas . J’ai pas besoin d’apporter des preuves car les rumeurs suffisent largement

    • 30 novembre 2015 à 11:00 | Dadabe (#9116) répond à betoko

      Surtout, ne change rien. Ta connerie est finalement rassurante.

    • 30 novembre 2015 à 11:03 | DIPLOMAT (#846) répond à betoko

      Pueril,

      T’es un misérable Betoko.

      Comme tu ne sais pas te distinguer de part la qualité de tes interventions, tu n’as plus recours qu’à des propos diffamants et d’une bassesse pitoyable .

      Au fond , je te plein Betoko. t’es vraiment une raclure .

    • 30 novembre 2015 à 11:04 | DIPLOMAT (#846) répond à DIPLOMAT

      Lire : Je te plains Betoko...
      Chacun aura corrigé .Merci

    • 30 novembre 2015 à 11:09 | Dadabe (#9116) répond à DIPLOMAT

      Merci Diplomat... Mais le cas Betoko est désespéré. Ce qui me semble moralement grave, c’est de profiter d’un sujet comme le Sida (important d’en parler !) pour dire des âneries. Ici, avec le VIH, on touche à ce qui fait le sel de la vie, surtout chez les jeunes : la SEXUALITE. Evidemment, chez Betoko, le mot sexualité est un gros mot et ne peut qu’inspirer des commentaires vulgaires. Qu’y faire ? Même les putes ne veulent plus de lui, il faut bien qu’il s’occupe avec sa petite retraite et son petit forfait internet.

    • 30 novembre 2015 à 11:11 | betoko (#413) répond à Dadabe

      Et LES TIENNES tu ne les as pas vu ? Tu n’arrives même pas à assumer tes conneries en te basant sur des rumeurs ,je fais abstraction de tes insultes et je te rends la monnaie de ta pièce . Tant que tu n’arrives pas à nous apporter des preuves concernant tes accusations gratuites , je ne te lâcherai pas

    • 30 novembre 2015 à 11:21 | betoko (#413) répond à DIPLOMAT

      Libre à toi de m’insulter , mais c’est comme de l’eau qui coule sur le dos d’un canard ou des feuille de songe . Si quelqu’un t’accuse de quelque chose , faudrait que cette personne t’apporte une ou des preuves si non , c’est comme dans les pays au régime dictatorial , sans parler de diffamation .
      Selon ce monsieur Dadabe , Andry Rajoelina avait ( pas aurait) amassé une fortune quand il était président de la transition et il les avait mis dans des banques en France .Donc cela voulait dire que ce Dadabe connait le numéro de compte d’Andry Rajoelina et aussi le montant de son soit disant fortune Je veux bien le croire , mais qu’il nous apporte des preuves . Jusqu’ à ce jour , il est incapable de nous les apporter

    • 30 novembre 2015 à 11:26 | Dadabe (#9116) répond à betoko

      Ne lâche pas, Betoko, ne lâche pas. La vie d’un petit retraité n’est pas toujours très drôle... Amuse toi, bonhomme. Mais, pour ton coeur, je te conseille d’aller faire une petite marche. C’est bon, ça la marche. Et puis, un petit dictionnaire ou un correcteur orthographique... Non ? Pas la peine ? Pas grave. Avec toi, rien n’est grave. Tu es juste insignifiant.

    • 30 novembre 2015 à 11:29 | Dadabe (#9116) répond à betoko

      Je n’ai jamais parlé de banques en FRANCE, ni de numéro de compte... Faut arrêter de boire, Betoko.

    • 30 novembre 2015 à 11:42 | DIPLOMAT (#846) répond à betoko

      Betoko,

      Je réitère : Puéril

      Une question pour toi .
      Sais tu où s’est établit ton Rajoelina depuis Septembre ? pourquoi ?
      Craindrait il quelque chose ? Pourquoi cet exil forcé dans les jupes de sa seconde mère patrie ?

      La vérité est simple : Rajoelina SAIT que le peuple exigera des comptes tôt où tard. Concernant sa prise du pouvoir , et sur sa gestion calamiteuse du pays. Voila la vérité .

    • 30 novembre 2015 à 23:22 | DIPLOMAT (#846) répond à Dadabe

      ... une chèvre ou une brebis... peut-être pour l’aider.
      En espérant qu’elles soient aussi myope que lui ! Qu’en pensez vous ?

    • 1er décembre 2015 à 10:56 | Menalahy (#9072) répond à betoko

      Traiter quelqu’un de séropositif n’est plus une insulte, Betoko. Il faut mettre à jour votre logiciel.

  • 30 novembre 2015 à 10:41 | plus qu’hier et moins que demain (#6149)

    Assalaamo alaikoum

    Vu le contenu, je préfère lire un titre comme ceci : « Le Sida, profitable ou non pour Madagascar ».
    Concernant la profitabilité les réfugiés Syriens et autres rapportent gros pour la Turquie qui obtient non seulement le beurre (main basse sur les richesses des pays en guerre) et l’argent du beurre (3milliards d’EUR de l’UE) mais également la vendeuse (l’adhésion à l’UE qui se profile à l’horizon) : A qui profite le crime ?

    Plus catholique et plus Chrétien que le Pape François, tu mens.
    Le Pape a compris qu’il est grand temps de joindre l’acte/la foi à la parole contrairement à d’autres pays et personnes qui se disent chrétien en faisant fi de l’enseignement du christ : Ils croyaient tromper Dieu et le Christ mais ils ne font que tromper eux-mêmes sans le savoir.
    Il n’est plus seulement le successeur de Saint Pierre mais également le Christ ressuscité revenu sur terre : Qui dit mieux ?
    Issa Ibn Mariam (Jésus fils de Marie) sera fier de lui : Il n’y a de Dieu qu’un seul Dieu et Mohammed est son esclave/messager (la profession de foi pour devenir musulman).

    • 30 novembre 2015 à 11:04 | Dadabe (#9116) répond à plus qu'hier et moins que demain

      La psychiatrie a fait des progrès et il existe désormais des traitements ambulatoires. Un petit cachet le matin et, hop !, tu redeviens normal durant quelques heures. Tu devrais essayer.
      Pour le reste, tu crois ce que tu veux mais tu te tais ! Fais gaffe, ton dieu te lis...

    • 30 novembre 2015 à 11:14 | Dadabe (#9116) répond à Dadabe

      Te lit, pas te lis... Sorry.

    • 30 novembre 2015 à 12:17 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Dadabe

      « 83 Désirent-ils une autre religion que celle de Dieu, alors que tout ce qui est dans les cieux et sur la terre se soumet à lui, de gré ou de force et qu’ils seront ramenés vers lui ?
      84 Dis :
      « Nous croyons en Dieu ;
      à ce qui nous a été révélé ;
      à ce qui a été révélé
      à Abraham, à Ismaël, à Isaac, à Jacob et aux tribus ;
      à ce qui a été donné à Moïse, à Jésus, aux prophètes de la part de leur Seigneur.
      Nous n’avons pas de préférence pour l’un d’entre eux : nous sommes soumis à Dieu ».
      Le culte de celui qui recherche une religion en dehors de l’Islam n’est pas accepté.
      Cet homme sera, dans la vie future, au nombre de ceux qui ont tout perdu. » CORAN sourate III La famille de Imran.

      Ce verset fait de l’Islam une assurance multirisque pour la vie sur terre et pour l’au-delà.
      Qui parlera mieux de sa sœur ou de son frère, l’ainé(e) ou la cadette (le cadet) ?
      La cadette (le cadet) bien sûr et toujours avec fierté et en bien, c’est pareil pour les messagers de Dieu concernant la religion.

    • 30 novembre 2015 à 12:21 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Il ne vous a pas oublié non plus DADABE même si vous ne lisez pas ses versets.

    • 30 novembre 2015 à 12:30 | Rahasimbery (#8396) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Ta gueule petit virus !

    • 30 novembre 2015 à 13:01 | Dadabe (#9116) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Pauvre illuminé ! Le Coran, je l’ai lu, pauvre pomme. Tout comme l’Ancien et le Nouveau Testament et quelques penseurs venus d’Inde ou de Chine. Mais je reste, du moins dans la sphère publique (c’est le cas ici), un farouche laïque. Ton dieu tu en fais ce que tu veux mais, surtout, qu’il me lâche ! Et n’oublie pas de prendre tes cachets. Ok ?

    • 30 novembre 2015 à 13:02 | Stomato (#3476) répond à plus qu'hier et moins que demain

      >>Ce verset fait de l’Islam une assurance multirisque pour la vie sur terre et pour l’au-delà. <<

      Oui, cela a été particulièrement vrai pour les musulmans de Paris la semaine dernière.
      Et vous allez prétendre ici que les musulmans n’avaient rien à voir avec ceux qui ont validé cette assurance mort certaine !
      Vous êtes soumis à de croyances rétrogrades pas à celles du Dieu unique des trois religions monothéistes !

    • 30 novembre 2015 à 13:02 | Rahasimbery (#8396) répond à Rahasimbery

      Cachez-vous derrière la barbe de Muhammad ! Vous n’avez plus la décence et le courage d’être des nôtres. Combien vous ont-ils payé ?

    • 30 novembre 2015 à 14:06 | Isandra (#7070) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Cependant,

      « Nous connaissons bien celui qui a déclaré : C’est à moi qu’il appartient de faire justice ; c’est moi qui rendrai à chacun son dû, et encore : Le Seigneur jugera son peuple ». Hebreux 10:30.

      Ce n’est pas à nous de faire la justice, ni forcer quelqu’un à faire ceci ou à faire cela, par rapport a Dieu...parce que cela lui appartient,...Tous les vrais serviteurs de Dieu doivent le respecter....

    • 30 novembre 2015 à 14:28 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Rahasimbery

      A l’image de Ponce Pilate, le christ s’en est déjà lavé les mains des cas de ses pseudo-disciples de votre espèce :

      « 115 Dieu :
      « O Jésus, fils de Marie !
      Est-ce toi qui as dit aux hommes :
      « Prenez, moi et ma mère, pour deux divinités, en dessous de Dieu ? »
      Jésus dit :
      « Gloire à toi !
      Il ne m’appartient pas de déclarer ce que je n’ai pas le droit de dire.
      Tu l’aurais su, si je l’avais dit.
      Tu sais ce qui est en moi,
      et je ne sais ce qui est en toi.
      Toi, en vérité, tu connais parfaitement
      Les mystères incommunicables.
      117Je ne leur ai dit
      Que ce que tu m’as ordonné de dire :
      « Adorez Dieu, mon seigneur et votre seigneur ! »
      J’ai été contre eux un témoin, aussi longtemps que je suis resté avec eux,
      Et quand tu m’as rappelé auprès de toi,
      C’est toi qui les observais, car tu es témoin de toute chose.
      118 Si tu les châties …
      Ils sont vraiment tes serviteurs.
      Si tu leur pardonnes…
      Tu es, en vérité, le Puissant, le Juste ».
      119 Dieu dit :
      « Voilà le Jour où la sincérité des justes leur sera profitable :
      Ils demeureront, à tout jamais immortels, au milieu de Jardins où coulent les ruisseaux »
      Dieu est satisfait d’eux ;
      Ils sont satisfaits de lui :
      Voilà le bonheur sans limites ! » CORAN sourate V La table servie.

    • 30 novembre 2015 à 15:17 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Dadabe

      Combien de fois on a écrit ici que le CORAN est un livre à méditer mais pas à lire et dans votre il serait mieux de le lire sept fois du début jusqu’à la fin pour que vous puissiez en tirer une petite lumière de la connaissance/de l’enseignement qui s’y trouve.

    • 30 novembre 2015 à 15:27 | Menalahy (#9072) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Aleikoum salam,

      Le dossier de la Turquie pour rentrer dans l’UE est congelé pour longtemps. Ce n’est pas parce que les Européens ont besoin de la Turquie actuellement, que ce dossier va être rouvert incessamment-sous peu !

      Ne rêvez pas trop fort, vous risquez de vous rendormir dans un cauchemar.

    • 30 novembre 2015 à 15:38 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Menalahy

      Sans oublier évidemment que l’empire ottoman (la rêve de grandeur de la Turquie) pouvait refaire surface avec ces milliards d’EUR de l’UE et des milliards de USD des USA au nom de son appartenance à l’OTAN. Si la RUSSIE riposte à la mort de son pilote, ce sera une guerre nucléaire devant la consternation des Européens et l’encouragement des Américains à l’endroit de ce pays de se défendre de toute violation de son espace aérien : Attention danger.

    • 30 novembre 2015 à 18:14 | Dadabe (#9116) répond à plus qu'hier et moins que demain

      En tant que musulman tu es un casse-couilles de première mais en tant que prévisionniste géostratégique, alors là, tu bats des records. Le Guiness book t’attend !

  • 30 novembre 2015 à 12:05 | Rahasimbery (#8396)

    Un virus plus nocif que le sida : le discours mimétique.

    « Le problème malgache est d’abord et avant tout un problème lié à la mentalité exécrable des politiciens non moins exécrables, et tant que celle-ci ne changera pas (ou mieux, tant qu’on ne changera pas les politiciens), le statu quo sera de mise pour bien longtemps encore » nous écrit Ndimby. Voilà un exemple révélateur d’un type d’analyse qui a pris le dessus sur toutes les autres approches de notre réalité politique : la plus banale et la plus lourde de sens. En cela, il reprend mot pour mot ce que le commun des Malagasy _ ces grévistes qu’il aime tant _ réclame déjà. En tout état de cause, leur cri me paraît légitime au vu de ce qu’on leur a fait subir depuis des années. Cependant, la responsabilité des intellectuels aux prises avec cette « mentalité » est tout autre chose ; ce terme appelé à la rescousse d’une critique politique est trivial car en réduisant la question du pouvoir à la seule dimension psychologique, c’est la politique en tant que phénomène social complexe qui est neutralisée.

    « Changer la mentalité » ne peut faire l’impasse d’une grille de lecture dont l’axe de réflexion appelle des prémisses nuisibles à notre reconstruction. Ont eu lieu dans notre Histoire des tentatives d’explications psychologiques et elles n’ont jamais été anodines : Jean-Baptiste Piolet crut circonscrire « l’âme malgache » afin de favoriser l’œuvre bienfaisante de la mission catholique et coloniale ; une cinquantaine d’années plus tard, Octave Mannoni dans sa « psychologie de la colonisation » justifia (sans jamais l’avouer) cette dernière par la « structure dépendante », donc « infantile » de la personnalité malagasy. Ce faisant, il propageait probablement au sein de l’élite intellectuelle malagasy de l’époque (les années 50,60) le concept viral « d’infériorité » inoculé et transmis jusqu’à nos jours.

    Il ne s’agit ici d’intenter un procès à la psychologie et aux sciences humaines d’une manière générale mais il est plus qu’urgent d’interroger notre attitude à l’égard de ces « savoirs » : D’où viennent-ils ? Comment nous les approprions-nous ? Sommes-nous critique à leur encontre ? La première question s’adresse directement aux historiens. Leur revient la tâche impérieuse de trouver leur origine, de les dater, de les répertorier et de les hiérarchiser. La seconde concerne le domaine éducatif : apprendre, connaître, digérer, trier, appliquer, créer et transmettre. La troisième contrôle en permanence la validité du « savoir » en le soumettant à l’expérimentation et en mesurant son degré de nuisance : Une mère psychiatre répondant à une question existentielle (qui suis-je ?) de son fils de 15 ans ne devrait pas l’inciter à lire Mannoni et à plus forte raison, tous les auteurs adeptes des formules généralistes « les Malgaches sont… ». Un professeur n’inaugure pas son cours par une assertion « non moins exécrable » de la sorte « les Malgaches sont pauvres », un journaliste n’élabore pas son papier avec un canevas de type « mentalité, femme violée parce que belle ou quelques Malgaches sont barbares parce que… »

    Actuellement, tout cela ne représente que des perspectives lointaines. Le questionnaire susdit en tant que système possible et non le seul, rencontre de nombreux écueils. L’échec de ces « travaux académiques » illustre un fait singulier occupant tout le terrain de la connaissance à Madagascar. Leurs conclusions, si tant est qu’elles soient empiriquement « valides », n’impactent pas le réel et le pourquoi d’un tel constat se trouve être le plus grand absent des problématiques. La raison en est que notre milieu universitaire ne recèle guère de tradition critique. Nos chercheurs dans leur grande majorité acceptent comme « fondés » des méthodes et des corpus n’ayant pas passé aux cribles de leurs propres critères de validation (ces critères existent-ils ?). La situation désastreuse qui en résulte génère des normes de réflexions ignorées et bien souvent écartées par la frange dominante de l’intelligentsia : une dépendance exclusive aux critères exogènes, une culture du prêt-à-penser généralisée, un mimétisme absolu et enfin, la plus mortelle, le dénigrement des productions littéraires et artistiques nationales. Du gratin, les plus qualifiés, à ceux qui n’ont mis qu’un pied à l’université, le désastre sourd, sévit. Sous le vernis de l’expertise technique en réalité se dessinent une profonde désorganisation et une impotence collective. Cela se manifeste par la reconnaissance accordée à la « vertu magique » du savoir au détriment de l’efficacité, de la justesse, de l’innovation et du partage. Ipso facto, le statut des intellectuels reflète d’avantage un état conforme à des règles a priori et d’autant plus excentrées qu’à des principes éprouvés, prouvés et approuvés. Nos diplômes incarnent en fait un « titre magique » donnant un accès partiel à l’imprenable Olympe (même au royaume des dieux, la hiérarchie s’impose), et force est de constater que le statu quo aussi est de rigueur au sein de notre « élite intellectuelle ».

    Quand bien même rétorquerait-t-on qu’il est des « savoirs universels », encore faut-il que tout soit mis en œuvre pour les vérifier. Il serait en effet absurde de les rejeter sous prétexte que ce n’est pas nous qui les avons produits et d’autant plus bête encore de les avaler sans rechigner. Ainsi, la critique, tout en assurant une « scientificité » provisoire à ces derniers, en même temps, annule toute attitude « magico-passive » à leur égard. La passivité consiste à acquiescer une conception réplétive du savoir ; le but n’étant pas la maîtrise et la créativité, le sujet connaissant se trouve être engagé dans un jeu où il n’est qu’un réceptacle parmi d’autres en attente de contenu dont il peine à soupçonner le pouvoir d’aliénation. Est magique toute opération visant à rendre systématiquement occulte l’origine des connaissances. De surcroît, nul n’est besoin de la divulguer et encore plus, de l’examiner. Seul l’effet spectaculaire que procure le tour importe : ça fonctionne, on y croit ; un fonctionnalisme mystique hypnotisant l’esprit des profanes. Le prestidigitateur, par sa formation, perpétue la pratique en reproduisant ledit mysticisme. D’un côté, il s’inscrit à un ordre établi au sein du microcosme des initiés _ dont le summum est ailleurs, le mythique occident _ et de l’autre, sa science lui garantit un privilège quasi divin et ne peut se distribuer que de façon sélective et parcimonieuse. (Économisme du savoir : Sao dia ataon’ny olona tohatra fiakarana ; élitisme irrationnel et soumis : mazana ny Vazaha, ny Sinoa ; psychologisme culpabilisant : la mentalité, la personnalité, l’identité des Malgaches, leur barbarie ; juridisme miraculeux : il suffit d’appliquer à la lettre les lois car elles sont universellement bonnes ; il serait curieux d’étudier ces …ismes). Pour ne pas subir les caprices de ces êtres surnaturels censés incarner la source du savoir, il n’y a qu’une seule alternative : la critique radicale.

    S’approprier le savoir (connaître), c’est lui donner un visage familier et humain (démystifier) que l’on peut à tout moment écarter, interpeller (critiquer). C’est aussi le naturaliser quitte à passer pour ingrat aux yeux de ses inventeurs (nuance entre la gratitude et la soumission). C’est lui poser des bases solides sur lesquelles seront bâties les recherches (expérimenter). Et enfin, c’est le diriger vers un usage bénéfique pour la société (s’engager). Plus le savoir survit à la critique, plus il est proche et estimable. Et inversement, plus celle-ci l’effarouche, plus il est faible, aliénant et dangereux. Quand le savoir cesse de questionner ses principes directeurs, il trébuche, perd toute visée réelle et peut basculer à tout moment dans le domaine de la crédulité. Dans la pratique, la pensée critique tout en s’octroyant une possibilité d’erreur tente de décrire parfaitement les phénomènes afin d’en soulever une vérité, tandis que la crédulité est une adhésion aveugle à une vérité révélée. Bien que dans certains cas, le penseur et le crédule puissent détenir accidentellement la même vérité, leurs attitudes divergent cependant quant au rapport aux savoirs, _ à leurs sources _ et au cheminement intellectuel nécessaire à leur compréhension et à leur production. La prudence, la méthode, la retenue pour le premier, la prescription, la morale, et le jugement hâtif pour le second.

    Non qu’il faille imaginer un penseur dénué de toute conscience morale _ parce qu’il vit avec et au milieu des siens qu’il se soucie naturellement de ce que « marina, tsara, soa, hendry, rariny, hitsiny » peuvent bien signifier _ mais qu’il estime juste de distinguer le savoir du devoir. En d’autres termes, l’expression de sa connaissance est le moment où il montre la conduite à tenir dans le processus du savoir et où il évalue le prix de celui-ci dans son usage éventuel. Aussi, elle engage inévitablement sa responsabilité sociale ; ce par quoi est fondé ce qu’il sait et ce pourquoi il doit ou non se retenir de le prescrire socialement. La critique en tant qu’un art du discernement est la seule amène de construire et l’éthique du penseur et le cadre cognitif dans lequel il évolue.
    Là se situe le paradoxe, les Malagasy les plus brillants que j’ai pu entendre adoptent encore l’attitude propre au crédule : l’application prescriptive et impulsive des connaissances acquises. En cela, ils ne dépassent guère le stade des apprentis et des étudiants ayant récemment décroché le graal, leur diplôme ; trop heureux d’avoir retranscrit sur leur copie les leçons nouvellement apprises par cœur, à force de les répéter tout au long de leur vie, ils finissent par en croire la teneur. Lors d’une conférence portant sur l’économie, à la question adressée à un intellectuel malgache « selon vous, pourquoi à l’inverse des autres pays africains, l’économie de Madagascar tarde à décoller ? » Après la logorrhée habituelle sur le développement durable, la globalisation économique et le « typiquement malgache », celui-ci trancha sur un ton de confidence que le « fort métissage et la multitude des races » composant la population y freinent le progrès économique. Par ailleurs, l’étude en l’occurrence concluait de façon intéressante à une « crise de confiance » ceignant les acteurs politiques et plus spécifiquement l’élite économique malgache mais notre trublion ne l’entendait pas de cette oreille. L’assistance était majoritairement européenne et universitaire. Un esprit saillant aurait pu y déceler une digression si l’on jugeait par le sujet traité mais personne ne trouva mot à redire. L’événement se déroulait à Paris : les chercheurs français actuels se permettent-ils de faire une lecture raciale de leur économie ? Laissons à chacun le soin de réfléchir à cette question car nous risquons à notre tour de nous y égarer.

    Aza mitratreva ry namako, réfléchis avant de parler mon cher ami, auraient pu lui conseiller les anciens. D’une part, la parole y était perçue comme une fonction pourvoyeuse de sagesse et de bienfaits sociaux et d’autre part, la réflexion en marquant une pause _ l’aspect pédagogique, la temporalité du savoir _ fut le véritable rempart à la bêtise. A la condition, bien sûr, qu’il y eût un accord tacite sur ce que chacun entendait par « bêtise ». Mais depuis, beaucoup d’eaux ont coulé sous le pont. Pire, le pont s’est écroulé et dans sa chute, il a entrainé toute une flopée de Malagasy n’ayant pour témoin que leur propre dérive. L’emprise qu’exerce cette culture (à) de la dérive sur l’ensemble de la population est si puissante que tout leur espoir se résume à la quête tragique du salut (l’ailleurs). Chez les intellectuels, la pensée salutaire _ un des visages de la magie _ vit en vase clos. En adoptant la stratégie d’évitement, en minimisant le rôle des rapports de force sociaux et internationaux, en refusant toute idée d’altérité, de briser les chaînes de l’Histoire, elle renforce et légitime le politiquement correct c’est-à-dire, ce qui convient d’être dit, admis, publié avec le quotient de la vérité scientifique (la rationalité, la structure, la barbarie et la civilisation, la tradition et la modernité etc.) sans qu’une voix puisse en contester le contenu et qu’une nouvelle alternative en soit proposée. Dès lors, cette posture les maintient dans le giron de la pensée dominante ; elle leur procure un confort dans l’environnement magique et les effets en sont les plus néfastes : la censure et à tous égards, l’autocensure. Chez le reste des Malagasy, le succès qu’affichent les religions du salut, le bannissement et ce, au nom du « pain quotidien » de toute considération intellectuelle du champ politique, la logique partisane contre les idées militantes, les propagandes salutaires des gourous, la personnalisation du destin national, le méli-mélo idéologique en sont les preuves flagrantes…

    • 30 novembre 2015 à 13:11 | Dadabe (#9116) répond à Rahasimbery

      Ouf ! Quelle diarrhée ! Dans « L’Art poétique » (1674), Nicolas Boileau-Despréaux prévenait pourtant : « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement »... Mais, évidemment, c’était autrefois.

    • 30 novembre 2015 à 13:28 | Rahasimbery (#8396) répond à Dadabe

      La diarrhée, je ne connais pas. Le riz est mon alimentation de base. Cela dit, si tu aimes le cassoulet, le vin et par-dessus tout le pain, j’en tiendrai pas rigueur. J’ai encore la décence de me dire qu’il y a un seuil entre moi et les cultures étrangères. Je suppose que ta réflexion est d’ordre stylistique ; même à ce niveau quelques questions s’imposent, quels sont les critères de jugement et d’où viennent-ils et dans quel but ?

    • 30 novembre 2015 à 13:43 | Dadabe (#9116) répond à Rahasimbery

      « Changer la mentalité ne peut faire l’impasse d’une grille de lecture dont l’axe de réflexion appelle des prémisses nuisibles à notre reconstruction »...
      Ce n’est qu’un court extrait d’un trop long message (mais si cela t’amuse...). Naturellement (mis à part que je ne bois pas de vin et que je n’aime pas le cassoulet), ma réflexion n’est absolument pas « d’ordre stylistique ». A l’époque de ma maîtrise de philosophie, j’aurais eu une sale note avec ce genre de délire. Mais, une fois encore, libre à chacun de souffrir de diarrhées « psycho-machin-chose ». Pourvu qu’elle ne soient pas chroniques. Bonne digestion.

    • 30 novembre 2015 à 14:12 | Rahasimbery (#8396) répond à Dadabe

      Prends donc de la hauteur, l’air y est plus pur. Monde de chérubins et de Dieu le père. Au-dessus de la diarrhée, il y a pire : la cécité chronique et mentale.

  • 30 novembre 2015 à 12:27 | Rahasimbery (#8396)

    Spliff,
    C’est une certitude. L’instauration de la République gardera toujours ce goût amer d’une institution héritée et non acquise par la lutte ou créée par nécessité. C’est pour cela d’ailleurs que nous sommes désemparés face au paternalisme français, « Nous vous avons tant (tout) légué et voilà ce que vous en avez fait et où vous en êtes. » La sentence que cache cette phrase a-t-elle fait l’objet d’un examen approfondi par nos penseurs ? Non, au contraire, ils l’ont adoubée comme un axiome autour duquel devrait tourner la pensée Malagasy. Nos républicains, ceux qui ne juraient que par ses principes, n’osaient pointer la véritable contradiction de cette époque, à savoir, la connivence entre le républicanisme et le colonialisme. D’un, on ne peut affirmer que tous les hommes sont égaux, frères et libres, et de deux, qu’en même temps, les autres sont inférieurs ou barbares parce qu’ils sont différents. La « mission civilisatrice » en était le trait d’union. Il fallait une caution intellectuelle pour justifier l’injustifiable. Le pouvoir colonial l’avait rendu possible.
    Bon gré mal gré, quelques commentateurs tirent encore leur argumentaire politique de ces éléments de langage. Somme toute, nous avons ingéré, digéré, puis, relayé cet injustifiable jusqu’à en faire la norme avec laquelle nous évaluons le monde. Il est d’autant plus étonnant d’observer la manière systématique dont nous nous l’affligeons. Pendant que certains endossent volontiers le statut de « doux Malgache, semi-évolué », de « pauvre », pour aussitôt implorer une main salutaire afin de les en extraire, d’autres accusent leurs compatriotes de tous les noms, sauvages, sous-développés, paresseux, et voici le meilleur que j’ai entendu de la bouche d’une notable censée représenter la culture, « brûleurs de livres ».
    Qu’y a-t-il de si particulier dans cette posture sinon que le salut vient toujours d’ailleurs et que fatalement, rien ne peut pousser ici et maintenant, faute d’engrais, de moyens, de compétence, d’intelligence etc. L’état de délabrement est tel, que le fait d’être Malagasy à lui tout seul, déjà, constitue un facteur d’exclusion : Izay Gasy ve ! Formule envoûtante des femmes de petite vertu en mal d’exotisme ; Vita Gasy, le critère esthétique des plumitifs masochistes ; les Gasy sont…Automutilation quotidienne. Et là, je rejoins ce que vous avez écrit plus haut « on est réduit à jouer les pseudos virtuoses des concepts occidentaux, ce qui mécaniquement occidentalise notre actualité tout en nous gardant du côté esclave de celle-ci…Et nous voilà donc aujourd’hui en train d’aller chercher des solutions importées à des problèmes importés desquels nos conceptions historiques nous protégeaient déjà un siècle auparavant… »
    Cela dit, je rebondis sur le dernier point que vous avez soulevé. De quoi « nos conceptions historiques » nous ont-elles protégés ? Ne sommes-nous pas Chrétiens, n’avons-nous pas essuyé une défaite ? La colonisation a eu bien lieu ; l’occidentalisation et la mondialisation façonnent, rythment notre actualité à leur manière sans que nous ayons le dernier mot. Je comprends que cela puisse être douloureux pour l’amour propre d’un peuple, parce qu’il a perdu sa souveraineté (l’affirmation de sa singularité, de son plein pouvoir, sa croyance, son autodétermination, sa confiance etc.) mais les événements ont parlé et advienne que pourra. J’éprouve néanmoins une profonde exaspération face aux abdications des « élites cognitives », comme vous le dîtes si bien, devant cette situation. Ce serait faire preuve d’une malhonnêteté intellectuelle de juger qu’elles manquent de culture, en revanche, bien que leur probité laisse à désirer car quelques-uns vendraient pères et mères pour un titre honorifique, personne n’a souligné leur désertion du « pouvoir ».
    S’il y avait une adéquation parfaite entre le savoir et le pouvoir, nous serions le peuple le plus heureux de la terre. « Qui sait, peut » est un mythe tenace chez nous. On l’injecte à grande dose dans les frêles esprits de nos écoliers. Ils grandissent dans l’idée que l’acquisition du « savoir » leur assurera un « pouvoir » certain sur leur avenir et que 1+1=2 leur ouvrira la porte du bonheur sans le moindre souci de « performer leur propre quotidien » en pesant par exemple leur propre récolte, en anticipant leur production future. Et quand vient l’heure cruciale de la délibération, la désillusion est grande ; dans le meilleur des cas, si tant est qu’ils trouvent un métier y correspondant, ce savoir leur octroie un « statut » mou, situé entre la sécurité et la débrouillardise ; la grande majorité cependant, ce gâchis phénoménal, plongée dans une frustration innommable, nourrit une haine à l’endroit du méchant « système » c.-à-d., le pays dans son ensemble ; Anémié, mortifère, stérile, leur savoir ne discerne plus, il est incapable d’innover et veut tout aplatir sur son passage. Et ouf, v’là qu’arrive encore une fois ce mythe, agissant comme un sauf conduit, une lumière au bout, il leur sert de planche de salut ; « Ailleurs, je serais un bon comptable. Ailleurs, mon savoir serait reconnu… » Au-delà de son aspect géographique, l’ailleurs, en donnant sens à leur vie, acquiert une dimension existentielle. Si bien que la qualité de l’existence ne se mesure plus en fonction de son pouvoir réel « = sa capacité de changer, d’agir, de transformer, de bien juger, de défendre, de frapper, d’aimer, d’haïr etc. » mais se trouve être déterminée essentiellement par la fuite et l’abandon de soi.
    - Ailleurs : l’homme providentiel, l’ange bénéfique, l’islam, la banque mondiale, le FMI, la France, Philibert, Didier, Albert, Marc, Andry, Hery, l’Etat de droit, la monarchie, la démocratie…
    - Ici et maintenant : L’anus terrestre, le degré 0 de l’évolution, l’impuissance, la réaction.
    - Voici l’équation de notre actualité :
    (Le mythe + Le statut + l’impouvoir +la haine de soi+le mythe)=Ailleurs.
    Il n’y a qu’une seule façon de la résoudre. L’indifférence, l’ignorance, l’oubli, le souci de soi, du quotidien, de ses parents, de ses compatriotes…la bienveillance, la confiance.

    Pour répondre à votre question, l’enjeu n’est plus de savoir si mon cœur balance à gauche ou à droite ou que la République m’est préférable à la monarchie et que sais-je encore, j’estime que ces dualismes nous contraignent à adopter une posture molle, un certain type de langage : Le pouvoir « institutionnel », comme seule forme du pouvoir, nous met dans une position d’attente ; la « réaction » qui en résulte ; le jardin en friche faute de bras. Je viens d’en faire la démonstration. Au grand dam de l’ici à réinventer, l’ailleurs s’est rendu indispensable.
    Cordialement.
    PS : La meilleure façon de nuire à un peuple, c’est de l’acculer dans un coin où il ne peut que « réagir ». Si la mayonnaise prend, sans rajouter des œufs, il suffit juste de l’observer s’autodétruire ou de jouer l’arbitre en temps opportun, quand les intérêts tiers sont en danger.

    • 30 novembre 2015 à 13:15 | Dadabe (#9116) répond à Rahasimbery

      Je me demande si tu n’es pas plus nocif qu’un discours mimétique... Je réfléchis. Faut voir...

    • 30 novembre 2015 à 13:35 | Turping (#1235) répond à Rahasimbery

      L’adage se reposant sur le concept préventif et sensibilisation de la population quant aux attitudes à prendre sont les meilleures solutions.
      Plutôt des mesures éducatives leur expliquant le mode de contamination .Le Sida ne touche que les homos et les prostituées mais aussi les gens normaux vulnérables, les accros du sexe,les actes d’adultère sans prendre le minimum de précautions avec les habitudes,coutumes et us,en disant« cela n’arrive qu’aux autres »alors que le fléau à déjà touché la mondialisation du domaine économique et la santé. Le gouvernement, les partenaires de la vie socio-economique locale,régionale ne doivent pas rester insensibles face à ce fléau d’autant plus que la prise en charge,les coûts pour les soins ne sont pas à la portée de tout le monde alors que le paludisme faisant encore de nombreuses victimes à Madagascar.
      Je ne vais pas rentrer sur les aspects etymologi ques ni sur le processus de contamination ,de réplications virales,les récepteurs ,etc..

      Si le Sida n’a été connu qu’en 1996 à Madagascar,alors que dans les années 1920,l’essor des pays africain et les chantiers de la colonisation ont permis au virus de sortir des bois

      La consommation des chimpanzés y compris ceux qui étaient malades comme sources de la contamination du VIH par les africains,...avec les prostituées de Léopoldville le VIH trouve une autoroute pour explorer le monde d’hôte en hôte.
      À Douala,au Cameroun ,le premier Européen est infecté en 1961.Il s’appelle Arvid Darré Noé,.Un jeune marin norvégien de 15ans.Il meurt 10ans plus tard en emportant le secret du SIDA (syndrome immuno-deficit acquis).Les signes :douleurs articulaires,lymphoïdes, multiples infections pulmonaires,syndrome de Kaposi,.Il à transmis à fille cadette la maladie car il n’pa communiqué que tardivement ses mésaventures ...
      Conclusion:le SIDA peut toucher n’importe qui.Donc,la meilleure prévention c’est l’habitude à prendre,la conduite ,le respect familial(d’adultère dans la religion chrétienne est condamnable sans faire de prosélytisme).
      Amen

      .

    • 30 novembre 2015 à 14:05 | Rahasimbery (#8396) répond à Turping

      Tout ce que vous dites est incontestable. Je vois que vous connaissez le sujet et on a grandement besoin de toutes les compétences. Maintenant, du point de vue des statistiques, je ne minimise pas pour autant le ravage du sida, je crois que le paludisme et la malnutrition tuent plus de personnes à Madagascar. Voyez que dès nous mettons en perspective tout sujet concernant notre cher pays, un constat amer en ressort : une impuissance viscérale quant aux résolutions des problèmes.

    • 30 novembre 2015 à 14:20 | Dadabe (#9116) répond à Rahasimbery

      Sur ce point, je suis d’accord avec vous. Le paludisme tue plus que le Sida à Madagascar. La malnutrition, elle, n’est pas une maladie mais la conséquence d’une impuissance économique et sociale (donc politique) à nourrir un peuple. Mais paludisme, Sida, choléra, peste bubonique, lèpre etc, etc, sont autant de fléaux qu’il faut combattre sans les opposer statistiquement les uns aux autres. Et c’est là qu’on retrouve la fameuse et criminelle impuissance des politiciens malgaches.

    • 30 novembre 2015 à 18:04 | Turping (#1235) répond à Rahasimbery

      Rebonjour ,
      Incontestablement,le paludisme et la malnutrition tuent davantage à Madagascar que le SIDA y compris le MST(maladie sexuellement transmissible),le syphilis ,etc.
      Le mimétisme comme vous l’avez souligné, l’inaction gouvernementale successive reste déplorable ,très insuffisante si le sort et le bien être de la population gasy ne dépend que des associations caritatives, ONG,.....
      Cordialement.

      .

  • 30 novembre 2015 à 13:13 | leclercq (#4410)

    Bonjour
    Il y a plus dangereux voire même mortel pour le peuple que le sida à Madagascar , d’abord les politiciens et bien sûr les forces armées qui sont soi-disant de l’ordre .

    • 30 novembre 2015 à 13:35 | Dadabe (#9116) répond à leclercq

      Arrêtez de tout confondre ! Les politiciens, les militaires sont dangereux. Ok. Mais, ici, on parle du Sida et plus précisément du virus du VIH. Le Sida est mortel, soit. Le VIH, lui, peut être « under control » comme on dit dans les pays riches (la détection de la séropositivité, la trithérapie, le préservatif etc, etc). Mais à Madagascar, pays pauvre, particulièrement mal éduqué dans le domaine sanitaire et soumis aux croyances les plus réactionnaires (rassurez-vous, j’englobe toutes les religions pour ne pas faire de jaloux), le problème est crucial, tout comme il l’est, par exemple, dans l’ensemble des pays africains.
      Madagascar a certes une chance sur ce problème, une seule : son insularité. Cette insularité a évidemment protégé le pays d’une trop rapide progression des contaminations (contaminations « aveugles » puisque dans la majorité des cas le contaminateur et le contaminé - masculin ou féminin peu importe - ignorent la présence du virus). Mais cette insularité n’est pas une garantie absolue, pas plus que le fait de prêcher l’abstinence chez des jeunes dont la vitalité déborde.
      LA SOLUTION : la CAPOTE !!! Tout le reste n’est que bondieuseries, bla-bla-bla et petite morale de merde. Merci aux adultes responsables et notamment aux infirmiers et infirmières (laïcs ou religieux), aux médecins (du domaine publique ou libéral), aux enseignants et aux parents (!) d’oser parler aux jeunes filles et aux jeunes hommes de Madagascar. Il y va de leur vie ! Et c’est particulièrement scandaleux de voir le prix des préservatifs en pharmacie (j’en sais quelque chose, j’achète des boîtes pour mon plus jeune fils étudiant - 21 ans depuis 10 jours - et une santé de fer avec un intérêt avoué et même un peu envahissant pour les jeunes filles (ça, c’est l’opinion du dada qui joue aussi un peu au « vieux con », histoire que son fils adoré le rassure d’un « mais non, mais non, tu n’es pas si vieux que cela... »).

    • 30 novembre 2015 à 14:51 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Dadabe

      Les agnostiques comme DADABE ne parviendraient jamais à voir la lune qu’on leurs montre à travers les doigts (comme Jipo), les écrits comme Léa Ratsiazo, la parole (comme moi), la philosophie (comme RAHASIMBERY) et la chanson (comme Mme Leclerc) parce qu’ils veulent confiner le monde à leurs royautés de borgne aux pays des aveugles.

      A l’heure du NTIC, ils suivent encore et toujours la vision des anciens qui se sont contentés seulement du peu de connaissance que le monde d’alors leurs offrait.

      En roulant en TGV, ils croient dur comme fer que ce sont les arbres et les maisons environnantes qui se déplacent à la vitesse grand V : Attention à la chute en ayant la tête qui tourne voire en faisant des acrobaties devant les portières et les vitres non bloqués.

    • 30 novembre 2015 à 15:08 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Sans oublier évidemment la poésie (comme KAIKILAY, JANGOBO et Isandra), la rhétorique (comme son alter égo Saint-Jo), l’éloquence (comme Menalahy) et la douceur (comme Mihaino).

    • 30 novembre 2015 à 15:18 | Dadabe (#9116) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Toi aussi tu devrais cesser de fumer. La moquette c’est mauvais pour toi. Je suis sûr que ta maman te l’a déjà répété mille fois et qu’Allah n’est pas content ! Vilain garçon.

    • 30 novembre 2015 à 15:18 | Rahasimbery (#8396) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Mahita volana alohan’ny alika. Tenin-drazana mifono fahendrena lehibe.

    • 30 novembre 2015 à 15:20 | Rahasimbery (#8396) répond à Rahasimbery

      alohan’ny mpamosavy

    • 30 novembre 2015 à 15:25 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Dadabe

      Je crois que j’ai touché là où ca fait mal : Sans rancune et mes respects DADABE.

    • 30 novembre 2015 à 15:29 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Rahasimbery

      Sao dia fohy loatra ity fehezan-teninao r’ingahy Andriana RAHASIMBERY ka tsy haharesy lahatra ny mpamaky : Asa fa ianao ihany no tompon-teny farany ?
      Trarantitra fa ny diavolan-kolava ary ny kilalao mbola ho ela !

    • 30 novembre 2015 à 15:53 | leclercq (#4410) répond à Dadabe

      N’empêche qu’à l’heure actuelle les politiciens et autres militaires eux font autant de ravage que le sida !!! dans ce pays je vous cite , les pauvres sont mal éduqués etc etc, la faute à qui d’après vous ??? je vous rappelle qu’ il fut un temps où des dispensaires existaient et c’étaient ces fameux pauvres surtout qui les fréquentaient ,mais aujourd’hui , qu’est ce qu’il en est ??? ah pardon , azafady ry Dadabé, miala tsiny indrindra aho car encore une fois je confonds tout !!!

    • 30 novembre 2015 à 16:32 | Rahasimbery (#8396) répond à Rahasimbery

      Ny alika sy ny mpamosavy

      Ny teny fohy ve no manahirana ny sainao sa ny hevitra fonosiny ? Tsy mikasa ny handresy lahatra anao aho ry andro tsy fata-piandohana sy tsy fata-piaviana. Manentana anao mafy dia mafy io finoana vaovao tianao aely eraky Madagasikara io ary mazava fa mitondra ny fanahinao ao amin’ny fahajambana. Nilaza ianao etsy ambony hoe : tsy ampy fahalalana ny Ntaolo. Jamba ianao. Nefa volana no nalainao ohatra. Iza no manondro ny volana ? Ny andriamanitrao angamba. Jamba ianao...Hoy ny razana hoe, mahita volana alohan’ny alika. Fa nahoana ? Satria miaina any ivelany izy ireo. Noho izany dia fantany ny sehatry ny alina. Misy hevitra ambadika io ohabolana io ; Iza no mandihy ery ambony fasana rehefa latsaka ny masoandro, lafatra ny haizim-pito ? Ny mpamosavy. Anatra ho antsika taranaka am-jafy izany. Ny olon-dratsy no mataho-masoandro sy tia milalao savy. Ny olona feno fahendrena sy tia havana ary madio fo no akaikin-Janahary (ilay masoandro)

      Eo no misaraka ny lalantsika. Sady tsy mihinan-kena tsy fantara anarana aho no tsy manompo andriamanitra tsy fanta-piaviana(indrindra ilay antsoina hoe Allah, bibin’ny arabo io, alika manondro volana)

      Mankasitraka. Raha mila fanampiana ianao dia mitodiha any amin’ny olon-kendry fa tsy ny olon-kalika toy ireo vahiny hanajanaka ny saintsika.

    • 30 novembre 2015 à 16:45 | Saint-Jo (#8511) répond à plus qu'hier et moins que demain

      plus qu’hier et moins que demain !

      Que connaissait votre prophète,
      et que connaissez-vous, vous-même et vos coreligionnaires,
      à propos
      du quantum mechanics et du physical state of outer space,
      ainsi que de l’état physique de tout le monde intermédiaire entre ces deux dimensions ?

      Et vous croyez naïvement que tout ça n’est que de la rhétorique ?
      C’est ce que vos maîtres musulmans vous ont appris ?

      Vous ne soupçonnez même pas que vos maîtres vous maintiennent à ce niveau d’ignorance absolue pour mieux vous dominer, mieux vous exploiter et mieux vous utiliser à leur avantage ?

      Tout ce que écrivez sur ce forum à propos de vos croyances n’est que des « on dit »,
      dont vous-même n’avez pas été témoin direct,
      mais qui ont été raconté oralement ou par écrit par des personnes
      dont le niveau des connaissances scientifiques avoisine le zéro absolu.

      Les seules choses qui me convainquent sont uniquement celles qui sont perceptibles par mes cinq sens, vérifiables partout, à tout instant, dans les mêmes conditions d’expérimentation.

      Alors les balivernes de vos coreligionnaires, gardez-les pour vous et pour ceux qui sont faibles d’esprit.

      Désolé ! mais je vous avais déjà dit clairement de ne pas m’interpeller à propos de vos histoires de superstition.
      Apparemment, comme tous les esprits bornés, vous avez du mal à respecter les autres et à rester à votre place !

      Vraiment désolé d’avoir dû vous parler aussi durement !
      Et sincèrement j’espère qu’à l’avenir vous ne me feriez plus perdre mon temps avec vos stupides croyances !

    • 30 novembre 2015 à 17:09 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Rahasimbery

      Mba fantatrao ve avy aiza no nahazoan’ny malagasy ny anaran’androny sy ny tonom-bitana ?
      Mba fantatrao koa ve ny mpanolon-tsainan’Andrianampoinimerina ?
      Fa maninona ny ROVA rehetra eto Antananarivo sy saika manerana an’i Madagasikara ary ny Vinany (toerana iaonan’ny ranomasina sy ranomamy) no fady Kisoa daholo (ambonin’izany ny toerana masina rehetra) ?
      Fantatrao koa ve fa i RADAMA I anie ka nanoratra tamin’ny litera arabo (Sorabe) ?

      Tsy mahagaga raha toa ka very hasina araka io anaranao mitompo teny fantatra amin’ny zavatra tsy ananana fahalalana io ny malagasy.

    • 30 novembre 2015 à 17:13 | Rahasimbery (#8396) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Ny alika sy ny mpamosavy

      Ny teny fohy ve no manahirana ny sainao sa ny hevitra fonosiny ? Tsy mikasa ny handresy lahatra anao aho ry andro tsy fata-piandohana sy tsy fata-piaviana. Manentana anao mafy dia mafy io finoana vaovao tianao aely eraky Madagasikara io ary mazava fa mitondra ny fanahinao ao amin’ny fahajambana. Nilaza ianao etsy ambony hoe : tsy ampy fahalalana ny Ntaolo. Jamba ianao. Nefa volana no nalainao ohatra. Iza no manondro ny volana ? Ny andriamanitrao angamba. Jamba ianao...Hoy ny razana hoe, mahita volana alohan’ny alika. Fa nahoana ? Satria miaina any ivelany izy ireo. Noho izany dia fantany ny sehatry ny alina. Misy hevitra ambadika io ohabolana io ; Iza no mandihy ery ambony fasana rehefa latsaka ny masoandro, lafatra ny haizim-pito ? Ny mpamosavy. Anatra ho antsika taranaka am-jafy izany. Ny olon-dratsy no mataho-masoandro sy tia milalao savy. Ny olona feno fahendrena sy tia havana ary madio fo no akaikin-Janahary (ilay masoandro)

      Eo no misaraka ny lalantsika. Sady tsy mihinan-kena tsy fantara anarana aho no tsy manompo andriamanitra tsy fanta-piaviana(indrindra ilay antsoina hoe Allah, bibin’ny arabo io, alika manondro volana)

      Mankasitraka. Raha mila fanampiana ianao dia mitodiha any amin’ny olon-kendry fa tsy ny olon-kalika toy ireo vahiny hanajanaka ny saintsika.

    • 30 novembre 2015 à 17:18 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Saint-Jo

      N’en déplaise à votre honneur mais c’est le sixième sens (la colère et la rancœur donc en dehors des 5 sens) qui se manifeste dans vos écrits si je ne me suis pas trompé : je laisse l’arbitrage de ce débat aux autres intervenants.
      Sans rancune et bonne continuation même si seule la vérité blesse.

    • 30 novembre 2015 à 17:39 | Rahasimbery (#8396) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Hagamainty, Andriamanoro sns. Marina fa ny Antemoro (ireo kitabo sy ombiasy) no nitondra ny lafi-kevitry ny fanjakana andriana rehetra ao Madagasikara. Ary marina koa fa ny sorabe, ny fanandroana sy ny fiteny sasantsasany dia nolovaintsika taminy. Nefa kosa : tsy mitovy ny mandova sy ny mandavo lefona. Ny maha-malagasy dia ilay hery mampilaza hoe : eto no miantomboka sy mihatra ny fanjakako ary eo no mifarana ny torohevitrao. Ny olona mandray torohevitra sy fahalalana no misafidy fa tsy ny olon-kalika manondro volana.

    • 30 novembre 2015 à 17:46 | Rahasimbery (#8396) répond à Rahasimbery

      Hita mibaribary fa ny fivavahan’ireo Zanfindraminia sy ireo foko mahay sorabe ao atsimo-atsinana ireo, tsy mitovy amin’ny fivavahan’ny Saodianina na Irakianina ohatra.

    • 30 novembre 2015 à 17:47 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Rahasimbery

      Ny KITABO dia boky amin’ny teny arabo fa ny KATIBO no mahay ny SORABE.

    • 30 novembre 2015 à 17:50 | Rahasimbery (#8396) répond à Rahasimbery

      Na ny kaorano aza tsy mitovy. Sorata majinijinika sy ny fahaizana mamaky volana no nentiny.

    • 30 novembre 2015 à 17:53 | Rahasimbery (#8396) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Misaotra indrindra (katibo) ary manasa anao aho hamaky an’i Rombaka anisan’ny katibo malaza.

    • 30 novembre 2015 à 17:57 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Rahasimbery

      Tsy malaza fa mba nanana fahasahiana namoaka ny tsiambara-telo ny Sorabe araka ny fomba fiteny hoe : Ny tapany ihany no mihontsana.

    • 30 novembre 2015 à 18:09 | Rahasimbery (#8396) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Ataovy vitik’alina, aleo mihaotra toy izay latsaka an-kady

    • 30 novembre 2015 à 18:12 | Rahasimbery (#8396) répond à Rahasimbery

      Ohabolana hoan’ny olon-kendry lavi-tanàna sady alim-podiana

    • 30 novembre 2015 à 18:22 | Dadabe (#9116) répond à plus qu'hier et moins que demain

      C’est ça oui... Mais arrête la moquette maintenant.

    • 30 novembre 2015 à 18:28 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Rahasimbery

      Marina ny voalazanao fa ny mpaminany araka ny maha mpaminany azy izany dia mitsinjo lavitra ka nozarainy roa ny fahalalana nomen’Andriamanitra dia :
      - Ny fahalalana mikasika ny fivavahana izay mirakitra ny fampahatsiarovana ireo mpaminany lehibe nalefan’Andriamanitra sy ny fampianarany izay nentina no ao anatin’ny boky KORAANY.
      - Ny faharoa dia ny fahalalana ara-tsiansa rehetra ahafahana manao fahagagana izay tsiambaratelo napetrany ho lovain’ny taranany (SORABE/AL BADIR COMORIANINA SY IREO MPAHAY AN’IO SIANSA IO ANY AMIN’IREO FIRENENA AFRIKANINA SILAMO MARO, NAHAZO FAHALALANA MIKASIKA ANIO ihany koa R’IZAREO CHIITE ANY IRAN, LIBAN, IRAKA sns izay mbola manome hasina ny taranaka avy amin’ny firazanan’ ny mpaminany).

      Satria fanonganam-panjakana no niseho tamin’ny fahafatesana ny mpaminany nohon’ny tsy fanarahana ny hafatrin’ny maty ohatra ny natao tamin’’ny « directoire militaire » teto amintsika ka nahalany an’i DD RATSIRAKA ihany no nitranga tamin’izany andro ka ireo nilaza ho lohandohan’ny finoana no nifidy ka nahalany an’i ABU BAKR izay zokiny sy ny mpanakarena indrindra ary rafozan’ny mpaminany no nolaniana ho KALIFA voalohany. Izany zavatra natao izany dia tsy mifanaraka amin’ny fomba naha-paminany an’i Mohamady satria nohon’ny mahataranak’I ABRAHAMA NA IBRAHIM azy, izay nahavita be teo amin’ny fankatoavana an’Andriamanitra tokana. Izay fomba izay no tohanan’ny mpanaraka ny taranaky ny mpaminany na antsoina koa hoe CHIITE fa ny mifanohitra amin’izay kosa ny an’ny SUNNITE izay misora-tena ho mandala ny demokratia kanefa finoana no resahana dia teo no niantomboka ny fisian’io anarana CHIITE sy ny SUNNITE.

    • 30 novembre 2015 à 18:30 | Saint-Jo (#8511) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Vous avez du mal à comprendre :
      je ne reconnais qu’une seule vérité , celle d’ordre scientifique.

      Vos sixième ou septième ou n-ième sens, gardez-les pour vous !

      Et je n’ai pas besoin de l’arbitrage de qui que ce soit !
      A l’exception de l’arbitrage des vérités scientifiques .

      Si vous croyez qu’un musulman aux connaissances scientifiques absolument inexistantes arriverait à me blesser, alors vous vous fourrez le doigt dans l’œil jusqu’au coude.

      J’ai déjà demandé aux chrétiens de ce forum d’éviter de me parler de leurs croyances. Je leur ai expliqué qu’ eux et moi vivons dans deux mondes intellectuellement totalement différents et n’ayant aucun côté intellectuel commun.
      Et eux, au moins, comprennent ce que je leur demande et savent respecter les autres.

      Mais comme d’habitude les musulmans sont toujours en retard de quelques siècles.
      Aussi bien en connaissances scientifiques qu’en respect des autres.
      Toujours incapables de résister à leur ridicule prosélytisme !
      Alors il n’est pas étonnant que les plus abrutis d’entre eux massacrent les personnes qui n’ont pas envie suivre leur religion de merde !

    • 30 novembre 2015 à 19:17 | Dadabe (#9116) répond à leclercq

      Je crois vous avoir déjà répondu et de façon claire. Il serait idiot de ne pas prendre en compte la situation économique, sociale et sanitaire, du pays pour comprendre à quel point il y a urgence à agir. Et, bien entendu, cette situation catastrophique est le fruit de décisions politiques plus bêtes les unes que les autres depuis l’Indépendance (avec quelques embellies qui n’ont jamais duré). Mais, je le répète, les politiciens et les militaires, aussi pourris qu’ils soient, ne passent pas leur temps à tuer des jeunes (quoique...). Le Sida, lui, ne rate jamais sa cible dès lors qu’il se déclare à la suite d’une contamination par le virus VIH. La première protection est le préservatif et celui-ci doit être gratuit pour les 15-25 ans, au minimum. Un point c’est tout. Après, la chasteté, la masturbation sans rapports avec un partenaire masculin ou féminin et inversement, la fidélité des couples constitués, c’est l’affaire de chacun. Mais il est indispensable de « sortir couvert », que cela plaise ou pas !

    • 30 novembre 2015 à 19:21 | Rahasimbery (#8396) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Raha hendry sy manam-panahy ianao dia ento am-pitiavana ny fivavahanao. Haja, Hasina (teny arabo). Hajao ny hevitra sy ny finoan’ny olon-kafa. Omeo hasina ny teny mivoaka ny vavanao. Indro mantsy, ny finiavanao handresen-dahatra an’izao tontolo izao no manosika ny fonao ao anaty aizina. Tsy milamina izany ny fahasilamonao. Mandehana mijery Ombiasy hanasitrana sy hankahery ny fanahy maha-malagasy ary enga anie mba hitafasiry am-piadanana isika any aoriana : tantara, fitondrana, olana, vahaolana, havana, fianankaviana, razana, rariny, hitsiny, namana sns. Ary ny votoaton-dresatsika mba tsy ho korotanin’ny kaorano.

  • 30 novembre 2015 à 16:13 | plus qu’hier et moins que demain (#6149)

    SVP DADABE, tout le monde attend votre réponse devant le refrain de la DIVA, Mme Leclerc .Si je ne me suis pas trompé il y a aussi les chars Leclerc : Vous avez parfaitement le choix de répondre à la DIVA ou aux chars. Juste un conseil d’ami, répondez à la DIVA mais pas aux chars car vous risquez de se faire pulvériser.

    • 30 novembre 2015 à 19:18 | Dadabe (#9116) répond à plus qu'hier et moins que demain

      Toi, tu t’occupes de tes fesses. OK ?

  • 30 novembre 2015 à 16:19 | diego (#531)

    Bonjour,

    Il faut continuer à baiser, mais il faut se protéger ! Il faut apprendre aux gens de se protéger :

    - le plaisir sexuel est irremplaçable et il n’y a pas mieux.

    Surtout quand on est pauvre, baiser est une richesse et un plaisir accessible et rien ne prouve que les riches en sont les meilleurs en la matière.

    Baisons et n’oublions pas de nous protéger.

  • 30 novembre 2015 à 18:46 | Saint-Jo (#8511)

    " 30 novembre 17:18, plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à Saint-Jo (#8511)
    .
    N’en déplaise à votre honneur mais c’est le sixième sens (la colère et la rancœur donc en dehors des 5 sens) qui se manifeste dans vos écrits si je ne me suis pas trompé : je laisse l’arbitrage de ce débat aux autres intervenants.
    Sans rancune et bonne continuation même si seule la vérité blesse.


    30 novembre 18:30, Saint-Jo (#8511) répond à plus qu’hier et moins que demain (#6149)
    .
    Vous avez du mal à comprendre :
    je ne reconnais qu’une seule vérité , celle d’ordre scientifique.

    Vos sixième ou septième ou n-ième sens, gardez-les pour vous !

    Et je n’ai pas besoin de l’arbitrage de qui que ce soit !
    A l’exception de l’arbitrage des vérités scientifiques .

    Si vous croyez qu’un musulman aux connaissances scientifiques absolument inexistantes arriverait à me blesser, alors vous vous fourrez le doigt dans l’œil jusqu’au coude.

    D’ailleurs, il est fort probable que ce serait plutôt vous personnellement qui êtes blessé par l’insignifiance que j’accorde à votre religion et à vos ridicules croyances.

    J’ai déjà demandé aux chrétiens de ce forum d’éviter de me parler de leur foi et de leurs croyances. Je leur ai expliqué qu’ eux et moi vivons dans deux mondes intellectuellement totalement différents et n’ayant aucun côté intellectuel commun.
    Et eux, au moins, comprennent ce que je leur demande et savent respecter les autres.

    Mais comme d’habitude les musulmans sont toujours en retard de quelques siècles.
    Aussi bien en connaissances scientifiques qu’en respect des autres.
    Toujours incapables de résister à leur ridicule prosélytisme !
    Alors il n’est pas étonnant que les plus abrutis d’entre eux massacrent les personnes qui n’ont pas envie suivre leur religion de merde !


  • 30 novembre 2015 à 20:04 | Isambilo (#4541)

    Au final je retiendrai cette histoire de mandoline de Menalahy ! Je ne connaissais pas l’expression.

    • 1er décembre 2015 à 09:24 | Menalahy (#9072) répond à Isambilo

      J’en ai une flopée mais je ne vais pas toutes les donner ici, ce serait une incitation à la débauche :-)

  • 30 novembre 2015 à 20:26 | diego (#531)

    Bonjour Dadabe,

    Mais tout le monde sait que le monde tourne autour :

    - du Q ;

    - de l’Honneur ;

    - et l’Argent !!!!!!

    Et pourquoi donc que la majorité des politiciens et ceux qui détiennent le pouvoir des institutions font les pitres à Madagascar alors que leur pays est l’un des plus pauvres pays de cette planète ?

    C’est bien pour les :

    - Q, honneur et argent !!!

    Et en plus ils adorent faire le TRIO !!!!

    Et c’est à ce monde là que les malgaches ont confié l’avenir de leurs enfants et de leur Nation.

    Enfin on peut aimer tout cela et travailler sérieusement pour l’avenir du pays....si on est compétent !!!!

  • 1er décembre 2015 à 01:11 | Mihaino (#1437)

    Encore une fois MERCI Mr/Mme le Modérateur d’avoir supprimé ma réaction sur cet article de Léa traitant le SIDA .

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