Répondre à un commentaire
Publicité
Articles populaires
Derniers commentaires
- Carburant : le ton monte face aux longues files d’attente, crise logistique et beaux discours - Le peuplexest déjà dans la mouise
Une mouise de plus ou de moins...
Les (…)
bekily - Les chroniques de Ragidro : Iles Eparses … si j’étais négociateur - ça c’est de Gérard Perceau et de son petit copain Patrick Rajoelina NANDRA (…)
RATOVO - Carburant : le ton monte face aux longues files d’attente, crise logistique et beaux discours - Le ton monte
Le ton.monte
mais comment et pourquoi expliquer ce statut de (…)
bekily - Carburant : le ton monte face aux longues files d’attente, crise logistique et beaux discours - Salama djiaby.
C’est de mieux en mieux, ou à votre discrétion de pire en (…)
Jipo - Jirama : les employés s’opposent au changement de statut - Sa anonyme a vocation commerciale ???
C’est SE DEBARRASSER DE BIJOU (…)
bekily
{#URL_PAGE{archives}}
Juste un dernier mot sur votre litanie relative à ce mépris, jeté en pâture qui reste votre seul alibi, utilisé pour qualifier ceux que vous qualifiez, en tremblant, de détracteurs de ce régime ..
À y réfléchir, il est plutôt l’apanage de votre mentor qui emprisonne, comme avant-hier, la royauté avec ses lettres de cachet, en bafouant toutes les règles, élémentaires, de présomption d’innocence, reposant sur des preuves à la pieds-nickelés qui ne tiendraient devant aucune juridiction démocratique ; face, aussi, aux employés du FCE qui réclament leurs pitances depuis presqu’une année, il est aussi celui qui laisse faire le job aux ONG dans un Sud, sinistré voir martyrisé,où plus d’un million d’êtres humains sont confiés aux seuls bons soins des humanitaires, alors que, lui, se défile, allègrement !..
Bref, les exemples pourraient être multipliés à foison pour dire à quel point, ce mépris est et restera dans le camp d’un régime fantoche qui manipule en croyant que sa seule com se suffirait à convaincre à une émergence qui se noie dans ses échecs, ses renoncements et ses outrances..
Demain, on entendra, tard dans la nuit new-yorkaise, le chant du signe d’un président, entouré par ses ouailles, faire-valoir, réciter un discours écrit par une de ses plumes de cour, dans un hémicycle, plus que clairsemé..
Ce qui n’empêchera pas toute cette petite cour, bimbo, à remplir ses valises d’emplettes new-yorkaises avant de rentrer au pays, sans saveur, mission accomplie comme sur un dépliant touristique, mais sans avoir à débourser un seul ariary !..
Ce pamphlet n’appelle à aucun commentaire de votre part parce qu’il est destiné, essentiellement, aux lecteurs courageux de ce forum qui, eux, préfèrent passer leur chemin plutôt que d’échanger, quoi ?, avec un des porte-voix, fumeux, de la com de son maître…