L’histoire nationale ressemble à la mode finalement. On a beau essayer d’inventer, mais les mini-jupes, les pattes d’éléphant, les cheveux afro, et j’en passe, reviennent après quelques années ou décennies.
Depuis 1972 dont j’ai été témoin au début de mon adolescence, j’ai vu défiler toutes les crises politiques, sociales, etc. Ce que j’en retiens, c’est que les tenants du pouvoir essaient d’utiliser tous les moyens possibles pour rester, mais ils finissent toujours pas se laisser entrainer par la vague, tout est question de temps et de capacité de résilience.
Heureusement, la Gen Z s’est rapidement rendu compte qu’à elle seule, elle aura du mal à avoir raison du principal adversaire (du moins le plus apparent, car derrière, il y a sûrement des intérêts qui l’ont porté au pouvoir).

Le plus grand problème c’est souvent « l’après crise ».
Certains lorgnent avec avidité sur les chaises laissées vides sans se poser beaucoup de questions. D’autres, victimes des tenants actuels du pouvoir, veulent tout simplement prendre leur revanche. D’autres veulent apporter un vrai changement sans avoir ni l’aura ni les moyens pour y parvenir.

Au final, on risque de retrouver les mêmes problèmes, quelques années plus tard, si on ne prend pas le temps de prendre des leçons du passé justement. Profitons de la présence d’hommes sages comme le Gal Ramakavelo et d’autres pour nous conseiller.