>> À la communauté internationale, à l’OMS, aux ONG, aux défenseurs des droits humains : <<

On ne peut que partager les souffrances des parents des victimes de cet empoisonnement.
Empoisonnement physique par un agent que l’on ne veut pas nommer, ce qui de toutes façons ne serait pas compris par un peuple dont l’éducation de base n’est plus faite !

Mais pourquoi faire appel une fois encore aux étrangers ?
Chaque fois que des étrangers se sont, de façon pragmatique, intéressés à un quelconque problème de Madagascar, et pire de Madagougou, ce fut une levée de boucliers et de récriminations, affirmant que c’était une immixtion intolérable dans les affaires intérieures d’un pays indépendant et souverain !

Et pourquoi faire appels aux défenseurs des droits humains et pas aux responsables locaux des DEVOIRS des dirigeants ?

Tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se casse !
A force de quémander des aides, il est possible que l’on soit déjà lassés de ces demandes à répétition , tant cela ressemble à une stratégie bien mise au point et huilée depuis 1972 !

Certes la création de contenu digital (sic ) est bien au point à Madagougou. Mais le terme de digital me fait penser au salut fait parfois avec un seul doigt levé, le majeur bien sûr. Signe que certains adressent à la France lors de négociations au sujet d’Îles...

Le terme digital est anglo-saxon et pas vraiment adapté à une communication en français.
Les métiers qui pratiquent le digital sont les gynécologues, les urologues et les proctologues (ou gastro-entérologues).