Le bluff est énorme, mais la presse, le doigt sur la couture, amplifie une contre-vérité qui voudrait que seul, son Excellence, en chef de file des quémandeurs, aurait exigé de l’ONU, qu’elle décaisse, illico-presto, des fonds pour le climat, victime des états pollueurs, grands mais aussi petits ….
Pointant ainsi, d’un doigt accusateur, les pays les plus pollueurs d’entre eux, à mettre la main à la poche, ( forme inédite d’ingérence !) tout en mettant de côté une équité du déni, en oubliant d’ajouter qu’un pays au profit industriel inexistant ne pollue pas ou peu, excepté avec son parc automobile, hors d’âge et ses brûlis permanents, en autres !..
Discours d’une platitude incommensurable, ou plutôt, issu d’un vulgaire copié/collé de propositions anciennes, énoncées depuis un certain temps déjà (COB 21), cette manière de rabâcher les choses ne peut que les banaliser en les affaiblissant, considérablement
Faire d’une évidence : le réchauffement climatique, un impératif alibi à caresser des fonds dont l’utilisation sur le terrain aura une finalité des plus opaques devient une opportunité qui ne se rate pas, d’autant plus qu’en interne, les caisses sont vides avec d’innombrables, impayés !.
Bref, donner l’image d’une intransigeance de tribune, c’est le nouveau profil que se donne son Excellence avec les résultats que l’on connaît : peut mieux faire !, mais en aurait-il, seulement, la capacité et la compétence du donneur de leçon ?..
Le bilan de ce séjour new-yorkais est squelettique, et certains ajouteront tout ça, pour ça !
On confirme.