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bekily
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« L’an passé, les projecteurs du monde entier se sont braqués sur la grande île de l’océan Indien. Les agences onusiennes avaient baptisé la crise humanitaire « première famine climatique » . Une appellation commode, voire hâtive, pour admonester les responsables politiques mondiaux avant la COP26 de Glasgow, coupables de ne pas faire assez contre le réchauffement. C’était oublier un peu vite que la campagne médiatique avait été orchestrée, comme l’écrit la revue XXI, dans sa dernière livraison, par la présidence malgache, qui avait chargé une agence de communication française d’inviter les journalistes du monde entier à venir constater ladite famine. Une façon d’attirer aide humanitaire et financements… »
Source : Jean-Marc Gonin pour Le Figaro