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Pour ce (…)
Isambilo
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La tragédie d’Ikongo tourne en jus de boudin avec un pouvoir qui justifie l’injustifiable, mais quoi de plus normal sous un régime où la loi du plus fort s’impose et cloue le bec des détracteurs, voir les emprisonne ..
L’impression nauséeuse de cette affaire d’état est que les marionnettistes armés par la loi cherchent à faire disparaître les témoins gênants afin qu’on ne puisse plus mettre en doute le discours officiel…
Drôle de régime où pendant l’enquête, ficelée d’avance, le sommet de l’état s’offre des escapades, internationales, le premier avec sa basse-cour, le second au pays où la corruption règne en maître !..
Difficile dans ces conditions rocambolesques, de prendre au sérieux un état-major militaire dont le seul objectif est de redorer le blason d’une gendarmerie, pyromane, au possible !..
Qu’aurait-on dit si les tueurs avaient porté d’autres uniformes ?…
Mais, ici, l’entre-soi permet tous les excès et les abus de pouvoir sans entraîner de réaction d’une population, visiblement sonnée, qui compte ses morts, tués de balles dans le dos !..
Pas sûr que les conclusions officielles satisfassent les intéressés survivants et témoins de cette rixe sanguinaire qui garderont sans doute, un chien de leur chienne, pour un avenir indéterminé…
Cocasse enfin de constater, qu’entre, les beaux discours aux tribunes internationales, et parallèlement, les exactions au local, le fossé entre bluff, d’un côté, et violences d’état de l’autre, les choses prennent une telle ampleur dans l’imposture qu’on a du mal à croire que cela pourrait bien se terminer…