Se disculper et rejeter le tort sur Marc Ravalomanana ne suffisent pas. L’État malgache est manifestement « afa-baraka » parce qu’il n’a pas su protéger ses frontières mais surtout parce qu’il n’a pas su tourner à son avantage ce retour « inattendu » de l’ancien président. Marc Ravalomanana a été présenté comme un « clandestin », un fauteur de trouble, un objecteur de conscience ; et si c’était un ressortissant étranger, il aurait été refoulé illico-presto. Marc Ravalomanana est rentré et la (…)