Attendu vendredi 31 juillet dans la soirée, la charte qui devait être élaborée par les concertants à l’hôtel Panorama, n’a été finalement signée que samedi 1er août 2009. Il s’agit d’une charte pour la conduite de la transition et qui se dresse de la manière suivante :
un Exécutif composé du président de la transition en la personne de Andry Rajoelina, et d’un gouvernement d’union nationale ; les concertants ont souhaité que ce gouvernement d’union nationale soit dirigé par Monja Roindefo ;
un Législatif bicaméral composé, d’une part, d’un Conseil de la transition dont les membres sont ceux de l’actuelle Haute Autorité de Transition et d’autre part, d’un Congrès de la transition qui fera fonction d’assemblée avec 150 membres ;
un Conseil national pour la réconciliation composé de deux personnalités par ex-province. Selon les suggestions des concertants, le CNR est composé de 13 membres dont le président sera – s’il l’accepte, le Pr. Zafy Albert ;
un Conseil national économique et social constitué à 60% de membres issus du secteur privé et 40% des acteurs socio-culturels ;
le Conseil militaire de Défense nationale actuel ;
la Haute cour constitutionnelle actuelle.
L’initiative de cette réunion pour une convention revient à la Médiature de la République conduite par Monique Andréas Esoavelomandroso. Elle s’est fait entourer des experts tels Jean Eric Rakotoarisoa et Horace Gatien et par le KMF-CNOE représenté à l’occasion par son président et son secrétaire général. Selon les explications de Jean Eric Rakotoarisoa, l’esprit de cette charte répond du principe de recherche d’un accord politique de sortie de crise. La proposition de charte a ainsi veillé sur trois principes et objectifs à la fois : l’amnistie politique tout en évitant d’entretenir ou d’encourager la culture de l’impunité, d’une part ; d’autre part, la séparation des pouvoirs pour qu’elle ne soit pas un rêve fut-on en période de transition mais que cette séparation des pouvoirs soit déjà visible. Enfin et non des moindres, le gouvernement et beaucoup de structures de transition demeurent ouverts car il ne s’agit pas de partager des places mais de mettre en œuvre des structures, de les animer et de les faire vivre de la manière la plus démocratique possible.
Ce projet de charte de la transition sera en principe présenté aux autres mouvances politiques. L’objectif est vraisemblablement son adoption par ces mouvances.
Le « conclave » de ce 31 juillet 2009 à l’hôtel Panorama a voulu réunir toutes les mouvances politiques classiques mais finalement la mouvance Zafy Albert et la mouvance Didier Ratsiraka n’y ont pas répondu. La mouvance Marc Ravalomanana y était invitée mais les représentants arrivés sur les lieux, en l’occurrence le Rév. Ndrianalijaona Andriamanampy dit « Satrobory » et Alain Andriamiseza, ont préféré représenter la mouvance ALDR. Dans la mi-journée de ce vendredi 31 juillet, les deux personnalités ont quitté la réunion sans attendre la fin et sans adopter la proposition de charte.
En tout cas, les participants ont été nombreux et ils ont été catégorisés en « mouvances » et « entités ». Parmi les entités il y eut : les « anciens candidats », « anciens parlementaires », « secteur privé » ; tandis dans la catégorie « mouvance » nous lisions : « mouvance Andry Rajoelina », « mouvance Marc Ravalomanana », « mouvance Pierrot Rajaonarivelo ». La mouvance Pierrot Rajaonarivelo était composée de Me Olala, du colonel Redia et de Zema Guillaume. Mais tout cela ne trompe personne : à de rares exceptions, ils sont dans leur totalité issus de la Haute Autorité de Transition (HAT).
Quant à Pierrot Rajaonarivelo, personne ne veut de lui. Il n’est pas vraiment le bienvenu dans la mouvance AREMA ou mouvance Didier Ratsiraka ; la mouvance Zafy Albert non plus ne le voit pas d’un bon œil. La seule voie possible est l’adoption d’une position indépendante mais proche de celle de Andry Rajoelina. Aussi, la mouvance Pierrot a-t-elle pris forme ce 31 juillet 2009 grâce à ce conclave qui a sorti une proposition de charte de transition. Cette proposition sera présentée à Maputo (Mozambique) le 5 août 2009, comme étant une charte de transition comme une autre, a-t-on compris.
Qui étaient au Panorama ?
Benjamina Ramarcel Ramanantsoa, Pr. d’Histoire à l’Ecole normale supérieure, membre de la HAT, cadre politique du MTS de Roland Ratsiraka, ancien candidat à la présidentielle de 2006 ;
Marson Evariste, chef du parti RPSD, membre de la HAT, ancien candidat à la présidentielle ;
Me Jacques Sylla, ancien président de l’Assemblée nationale, ancien chef de gouvernement et ancien cadre politique du parti TIM ;
Me Willy Razafinjatovo dit Olala, conseil de défense de Pierrot Rajaonarivelo ;
Zema Guillaume, représentant de la mouvance Pierrot Rajaonarivelo ;
Colonel Redia, représentant la mouvance Pierrot Rajaonarivelo ;
Jean Lahiniriko, chef du parti PSDUM, membre de la HAT, ancien candidat à la présidentielle, ancien président de l’Assemblée nationale et ancien cadre politique du TIM ;
Razafimily Constance, cadre du parti Leader Fanilo, membre de la HAT ;
Pierre Andrianantenaina, chef du parti Farimbona, membre de la HAT ;
Gabriel Rabearimanana, Pr. de Géographie à l’Université d’Antananarivo, cadre du parti MONIMA
Pasteur Daniel Rajakoba, chef du parti Fihavanantsika, ancien ministre et ancien candidat à la présidentielle ;
Jean Max, cadre du parti Leader Fanilo ;
Pasteur Andriamanjato Richard ;
Luc Vital, opérateur économique, représentant le secteur privé, président Chambre de commerce de Toliara ;
Heriniaina Ramanantsalama, opérateur économique, représentant le secteur privé, président FIVMPAMA ;
Voninahitsy Jean Eugène, chef du parti RPSD Vaovao, ancien détenu politique et ancien candidat à la présidentielle ;
Pety Rakotoniaina, chef du parti Tambatra, ancien détenu politique et ancien candidat à la présidentielle ;
Norbert Lala Ratsirahonana, chef du parti AVI, membre de la HAT ;
Hajo Andrianainarivelo, ministre de la HAT (Décentralisation), représentant la mouvance Andry Rajoelina ;
Ny Hasina Andriamanjato, ministre de la HAT (Affaires étrangères), représentant la mouvance Andry Rajoelina ;
André Resampa (fils), conseiller spécial du président de la HAT, représentant la mouvance Andry Rajoelina
Recueilli par Ben
Vos commentaires
WHY ils sont pressés d’avancer ???
Nos politiciens ont peur de perdre la partie, de perdre les chaises, de tout perdre même leur liberté.
Le président de la HAT n’a-t-il pas dit à Tuléar qu’il ne veut plus de table ronde ? Mais WHY il veut aller à Maputo ?? WHY ses sbires sont si pressés à apporter des changements ?? Vous les pro-HAT, ouvrez vos yeux car il y a anguille sous roche. Dans tous ces embrouilles, où est la place des CAPSAT car c’est eux les principaux artisans et qui risques gros s’il y a un changement. Ils seront indésirables même par leur maître...... Le vent tourne, tourne et pas en faveur de certains....
Lamentable ! la même bandera de cloportes élabore une pseudo-charte qui ne favorise que les sensibilités de leurs poulaillers respectifs : en effet, ces personnes savent très bien qu’en cas de vraies élections libres, ils disparaîtront définitivement de la scène politique, aussi s’ingénient-ils tous à balayer tous les obstacles pouvant les empêcher de se remplir les panses et les poches ! comme le pouvoir est au bout du fusil depuis le mois de mars 2009, grâce aux renégats de la Capsat, ne nous étonnons pas si la horde et ses acolytes commencent à paniquer car le glas sonne pour eux !
Izany ka tena charte tsara sady mety ary lojika ihany koa. Ny vendrana sy ny terroristes ihany sisa mety handà an’io !
Izahay « légalistes » aloha sady tsy « vendrana » no tsy « terroristes » e ! Madio ny tànanay saingy tsy MAMPIOMEHY ANAY IO CHARTE io e.
Ka tsy manaiky charte mampiomehy izany izahay. He moa ireto karazan’olona namolavola azy koa - Efa mihohoka mandohalika ve i Madagasikara vao tonga saina hoe hilaina ihany ny latabatra boribory dia notefitefena maika ity izy mba no « en faveur » an-dry TGV mianakavy ?
Efa tsy misy handoavana ny karaman’ny mpiasam-panjakana volana Août intsony koa angamba ka may hendim-boanjo ranona, dia ahoana izany ilay hoe mahavita-tena tsy miankina amin’iza na amin’iza ka inona indray no mbola hipingampigàna handehanana any Maputo ? Ireto devoly antitra koa mbola tsy manaiky gisitra foana a !
Teo no miverina ihany io ry xena,iverina @ fanjakan olontokana.
Pas de réaction intempestive.Je félicite la Médiature de la République de prendre cette initiative de convention pour une charte de transition « MALGACHE-MALGACHE ».Les malgaches sont capables de laver leur linge sale en famille et à MADAGASCAR.
J’ai retenu l’article 29,alinéa 2 :« SONT NULLES et SANS EFFET TOUTE POURSUITE,DECISION,CONDAMNATION JUDICIAIRE ou ADMINISTRATIVE AYANT ETE FAITES SUR LA BASE DES INFRACTIONS et FAITS DE NATURE POLITIQUE MAQUILLES EN INFRACTIONS DE DROIT COMMUN »
« Seul le crime de sang ne sera pas amnistié »
Nota:Monsieur MANANDAFY RAKOTONIRIANA bénéficie de cette dispostion
Basile RAMAHEFARISOA(2)22ramahefarisoa(b.ramahefarisoa@gmail.com)
To amiha tery ihany izany lalana, na midika fa hay rehefa miha tery dia ntsooooh soava ka tsara ! on a essayé de sauver les Malgaches mais maintenant on voit que c’est mieux de sauver soi-même.
On doit prendre une attention absolue à cette phase de l’histoire, sinon on ne peut pas être très intelligent que l’Amiral Rouge !!! Car l’immediat predecesseur a fait bcp de havoc, et maintenat il devient un des legend Ikotofetsy et Imahaka !!!
La mouvance Pierrot a raison de se distinguer de ces paniers à crabes. Ce serait un message « plus lisible » et plus « crédible ». Contrairement à ce qu’affirme Madagascar Tribune, la présence de José Vianney dans la délégation de Zafy en partance pour Maputo confirme la proximité de la mouvance Pierrot et celle de Zafy. Ce qui est encore une très bonne chose.
José vianney = zafy = ratsiraka = tgv ???????
La convention du Panorama de 1991 a abouti à la situation que nous avons tous connue : gabegie, financements parallèles,Mada-raid, empêchement, retour de Ratsiraka ! ... Un foutoir quoi !
Et maintenant, rebelote avec quasiment les mêmes personnages avec d’autres politicaillons en plus (Andry, roindefo, lahiniriko jean, sylla, ratsirahonana...), et on veut nous fait croire que la nation sera bien dirigée. Sans parler de la politique de l’exclusion appliquée à la soit-disante charte.
andry qui a annoncé prématurément qu’il ne participera plus à une quelconque discussion avec le GIC, a dû se raviser et ira même à Maputo.
Tous les foza orana, voyant qu’on ne peut pas empêcher cette rencontre et que les chaises commencent à bouger fortement, cherchent par tous les moyens quelque chose pour sauver les meubles car comme a dit Ratoliara : « Le vent tourne » terriblement. Ils n’ont rien malheureusement que cette « charte » à proposer pour, en fait, faire un baroude d’honneur. Cela vaut bien une nuit blanche !
Mais tout le monde n’est pas dupe, encore moins la CI.
C’est véritablement une fuite en avant.
La convention du Panorama d’octobre 1991 a mis fin à 8 mois de chaos. Selon l’adage « un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès ». Pour mémoire, les financements parallèles sont nés de l’imagination fertile de Zafy et Andriamanjato en 1993 après l’élection présidentielle. A mon avis, le sommet de Maputo sera une resucée de la convention de 1991. La prochaine fois il faudra s’engager et non attendre que tout pète pour s’indigner.
« La proposition de charte a ainsi veillé sur trois principes et objectifs à la fois : l’amnistie politique tout en évitant d’entretenir ou d’encourager la culture de l’impunité, d’une part … »
Qu’est-ce cette charte veut : l’amnistie ou éviter l’impunité ? Elle se propose de sortir le pays de la crise en parlant d’amnistie. Elle parle d’éviter l’impunité mais, dans la même foulée, elle couronne le dessein putchist de Andry Rajoelina et de Monja Raindefo, condamné par toute la Communauté internationale. Jamais une telle situation ne s’est vérifié à Madagascar depuis l’indépendance. Et jamais aucune haute personnalité n’a subit un traitement « punitif ». Si l’on veut résoudre la crise il faut être claire : amnistie et seulement amnistie sans confondre l’idée des gens simples qui payent les conséquences des bravades des dirigeants, qui n’attendent que la fin des disputes pour des intérêts privés ou de groupes plus ou moins voilés, qui voient le train de vie de ceux qui débarquent en politique dépasser de façon exorbitante leur revenu, qui sont las de l’ADILAHY POLITIQUE ... Ce qu’il faut, et je pense que c’est la raison pour laquelle les politiciens sont invités à Maputo, c’est tourner les pages (car on ne peut pas creuser dans le passé de Ratsiraka, de Zafy et de Ravalomanana fermant les yeux sur le présent d’une soi-disant transition) et avoir une volonté ferme de penser à l’avenir immédiat, à moyen terme et à long terme, tenant compte de l’enseignement du passé, de penser aux millions de malgaches qui n’aspirent qu’à une paix sociale véritable et à un développement qui soit palpable dans la vie de chaque jour et non seulement dans les annales statistiques.
Pour cela, on attend tout d’abord un changement de mentalité chez ceux qui prétendent gouverner, en commençant par ceux qui ambitionnent de devenir président de la République, chef de Gouvernement et Députés . Ils doivent se rappeler qu’il s’agit d’un service en faveur de tous, qui vise le bien de tous, même des adversaires politiques. Et le premier signe de service que tout aspirant au pouvoir doit montrer dès le début et maintenir jusqu’au bout de son mandat est sa soumission à la loi : constitution, voie des urnes (respect de la volonté des électeurs), lois ordinaires (volonté du Législateur) … On attend ensuite une base solide sur laquelle doit se fonder la future constitution qui comprendra des mécanismes de mise à jour périodique, pour qu’elle ait la chance de résister à l’usure. Cela n’est possible, enfin, sans une volonté de recherche sincère de la vérité (elle n’est pas nombreuse), et du bien commun, dans un esprit de dialogue.
Il ne faut jamais oublier que des milliers d’hommes et de femmes ont littéralement sacrifié leur vie pour donner la liberté à Madagascar, un sacrifice qui trouve son point culminent dans les évènements de 1947. C’est intolérable que les politiciens d’aujourd’hui n’aurait ni honte ni peur de ne faire valoir que leurs intérêts personnels, ceux de leurs familles et de leurs groupes, camouflés d’intérêts du « vahoka », au préjudice de ce dernier. N’est-ce pas « MANDRARAKA ILO MBY ANDOHA ? » Nous attendons que vous pensiez à tous les Malgaches, à Maputo, et non seulement à votre groupe respectif. Vous vous trouvez devant une bifurcation : le nationalisme (prééminence de la Nation sur l’individu et/ou le groupe) ou… le fractionnisme (Zarazarao hanjakana-hajakazakana). Le Vahoaka, vrai détenteur du pouvoir, ne manquera pas de vous juger.
Mesdames, messieurs
je suis loin de vos expertises et vos avis techniques dans ce que pourrait être le futur politique de Mada, mais il y a un critère qu’il faut retenir avant tout : c’est cet acharnement que nous avons à nous agraffer à une situation, aussi désespérée soit-elle !
Je pensais bien, et bien avant l’avènement de la nébuleuse Hat, qu’il faille un matin reconsidérer le paysage politique de notre pauvre île.
La lenteur(héritée de décennies de moramora), superposée à la vénale irresponsabilité de, couplée à une insuffisance notoire en matière de management, font que nous avons générer une énorme hydre à plusieurs têtes tirant dans tous les sens.
Le bouillonnement qui s’ensuit est d’une flagrante stérilité, ça remue beaucoup pour ne pas bouger d’une once.
De cet état d’esprit hautement critiquable, nuisible, frondeur et attentiste de nos apprenties élites ( je ne veux pas galvaudé ce joli nom), il est urgent de nous en départir, d’insuffler la nouvelle donne, de tendre vers l’excellence de nos prérogatives futures. Il est urgent de penser comme ça dorénavant, plus de place à l’approximation et au mortel provisoire !
Nous voyons ici encore la sempiternnelle attitude non-constructive des habitués d’angaredona de pâles conseillers en mal d’autorité.
Aucune vélléités de résoudre et encore moins de proposer une quelconque option CREDIBLE et REALISTE. Je pèse mes mots.
On superpose, on s’interpose, on juxtapose, jusqu’à plus soif, à s’enivrer de gargarismes narcissiques.
Le jeu (ça en devient risible) s’est ouvert à d’autres amateurs, s’érigeant en professionnel du passe-passe arguant leur savoir détrousser.
Crasse indélébile contractée pendant les séances d’auto-satisfécit d’une autre époque, la mentalité de nos grognards politiques est à mettre au rencard définitif des abonnés absents du savoir-vivre.
Il en va de notre santé publique mentale, l’aliénation a déja ravagée bon nombre de cerveaux pourtant prédestinnés à la réflexion suprême. Le sursaut dont il faudra faire preuve, sera celui de la dernière chance, car il est de notoriété mondiale, qu’en politique, on fait rarement neuf avec du vieux.
Que ceux qui ont été cité dans le l’article lèvent le doigt ! La sortie, c’est par ici.
Mouvance ceci !!!, mouvance cela !!!!.
Les politicards se meuvent en prenant bien soin à ne pas exposer les derrières ( pour ne pas dire autre chose).
Pendant ce temps le Peuple lui c’est dans les sables mouvants qu’il s’enfonce.
Tamin’ny 97 (raha tsy diso aho) dia nihomehezan’ny sasany Ingahy Zafy (1:0), dia iny koa fa nihomehezan’ny sasany toy izany koa Amiraly Ratsiraka (2:0), Tsy ela izay dia toraky ny hehy ny maro tamin’ ilay te-ho mpanjaka Ingahy Lera8 (3:0) Asa tiana te-hitohy ve ny score tsy mamokatra !!!!
Dia izao lasa toa any fianakavian’ny sasany, sy fokon’ny sasany indray no voizina, fa mba azia ihany ingahy demokrasia no mbola tsy miala any !!!! Sa efa mby ao ny (4:0) fa toa atao kilalao ny 80% valala be mandry, mba rahoviana ihany no ho valala be mifoha ????????????????????
Bonsoir
Un vent de démocratie plane sur m/car, même si c’est sous la pression de la communauté internationale. Les 4 principales « mouvances » semblent prêtes à dialoguer, pour aller vers une véritable transition. De même, M. Ravalomanana serait décidé à participer à la charte.
C’est une bonne chose.
Pourtant, il reste beaucoup à faire, et pour tourner le dos à des décennies de dictature.
Nous verrions ainsi notre nation grandir, et sortir la tête haute après 4 décennies d’égarement, et de catastrophe économique.
Messieurs !!!Vous iriez à MAPUTO pour rencontrer nos compatriotes en éxil.Vous avez « UNE CHARTE DE TRANSITION » signée par des responsables malgaches installés à MADAGASCAR.Souhaitons, de tout coeur, que toutes les délégations acceptent cette charte de transition « malgache-malgache ».Message personnel pour un membre d’une délégation pour Maputo via PARIS :« TSY MATY ATY LEITSY ».
Le pays vous attend ,cher AMI.
Basile RAMAHEFARRISOA(2)22ramahefarisoa(b.ramahefarisoa@gmail.com)