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Le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Thierry Rakotonarivo, précise les instructions relatives à l’amélioration de la liste électorale décidée en conseil des ministres. Toutes les situations des électeurs ont été examinées, note-t-il. D’une part, il y a les citoyens recensés qui ont des cartes d’identité mais qui ne sont pas inscrits dans la liste électorale ; d’autre part, les individus recensés mais qui auront atteint l’âge de leur majorité avant le jour du scrutin et qui ont bénéficié de l’opération de délivrance gratuite de carte nationale d’identité. Enfin, il y a les citoyens qui sont déjà majeurs mais qui n’ont pas de carte d’identité et qui ont bénéficié eux aussi de cette opération gratuite de délivrance de carte nationale d’identité. D’après le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, tous ceux-là doivent être intégré d’office dans la liste électorale.
Réagissant par rapport aux ordres du président de la transition lors du conseil des ministres de ce mercredi 6 novembre, intimant à la Cenit de tout faire pour insérer les oubliés dans la liste électorale, la Cenit a fait savoir ce jeudi 7 novembre qu’elle a déjà le 3 novembre 2013, donné des instructions à tous ses démembrements pour faire en sorte que tous les agents électoraux distribuent dans les plus brefs délais les cartes électorales qui sont encore dans les fokontany pour qu’elles soient remises à leur propriétaire. En revanche, les cartes d’électeurs dont les titulaires ne sont pas inscrits dans la liste électorale doivent être collectées et remis au responsable de Centre informatique de district qui les intègre dans la base de données.
Cela n’empêche, selon le porte parole de la Cenit que les instructions du conseil des ministres seront examinées en assemblée générale qui verra leur faisabilité dans le strict respect de la loi.
En tout cas, la Cenit persiste et signe que la seule voie de recours conformément à la loi est la requête auprès du tribunal de Première instance qui ordonnera l’insertion des ces électeurs omis dans la liste électorale. La question qui se pose selon le président de la Cenit est celle-ci : faut-il attendre que l’électeur concerné dépose cette requête ou doit-on procéder par une requête collective et qui est-ce qui va la déposer ?
Vos commentaires
Dans un état normal c’est le ministère de l’intérieur qui organise les élections. Chez nous il a fallu mettre en place la Cenit parce que ce ministère est incompétent.
Dans un état normal, après un tel désaveu, Thierry Rakotonarivo aurait mieux fait de rester discret. Mais non, il fait comme les politiques actuels : il pérore du haut de son incompétence.
Ministère de l’Intérieur incompétent..je rigole !
La maladie contagieuse :-« Accusations ,sans fondement , de l’incapacité des services d’Etat » pour les consultations nationales.
La communauté internationale veut mettre la main,sur MADAGASCAR,il faut mettre un sevice/des services, à ses bottes.Point barre !
Basile RAMAHEFARISOA-1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
Bonjour et bonne journée à tous.
Dommage qu’on ne tienne pas compte dans tous ces palabres de l’INDEPENDANCE de la CENi-T, la base même de sa mise en place.
– "Vous pouvez reprendre la conduite et l’organisation de nos consultations nationales au suffrage universel.
Avoir confié à des « AMATEURS » nos consultations nationales au suffrage universel est la plus grosse/grande erreur du mouvement du 2009.
IL N’EST PAS ENCORE TROP TARD POUR REMEDIER TOUTES CES ERREURS.
+++++++Madagascar aux Malgaches,UNE et INDIVISIBLE"++++++++++
Allez,foncez Thierry RAKOTONARIVO.
– « TOUT PEUT ÊTRE==encore== SAUVE »=
Basile RAMAHEFARISOA-1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
PRINCIPE : Toutes les institutions, tous les candidats se sont convenus que le CENIT et le CES sont compétents sur ces élections.
Donc on ne peut pas remettre en cause la procédure de ces élections.
Le Ministère de l’Intérieur n’a fait que préciser les instructions relatives à l’amélioration de la liste électorale décidée en conseil des ministres. (’faut savoir lire et bien lire au lieu de dire des bêtises !!!).
Ce qui est évident :
Les dés sont jetés !
Ce n’est pas les 0,44 % des bureaux de vote qui vont changer les résultats avec un écart d’autour de 5 % entre les 2 premiers.
Ce qui importe c’est la réalité comme le 2° tour.
CONSTAT : Déjà on a 2 candidats qui ont au moins BAC + 4 capables de défendre leurs idées par des raisonnements clairs et précis, des exemples concrets et maîtrisant surtout leurs matières et émotions.
J’attends tout simplement ce duel JLR / HR ou M.R. / A.R. par procuration, plus relevé et pointu sur le plan intellectuel des motivations et débats.
Cela fait partie de la campagne électorale comme la démonstration des moyens financiers et matériels dans les champs ou campagnes ... par procuration.
Ce qui serait très intéressant, avant tout, c’est leur FACE-A-FACE TELEVISUEL ET RADIOPHONIQUE arbitré par un (ou 3 - impair) très bon journaliste(s) à la fois compétent(s), maîtrisant tous les domaines (historiques, élections, socio-économico-politiques, diplomatie, ...) et surtout PERTINENT(S). Un (ou 3) journaliste(s) qui sort(ent) de l’ENA France (en tant qu’ancien élève et non stagiaire ...)... capable(s) de déstabiliser les protagonistes qui n’ont pas leur mandataire à coté (M.R. d’un coté, A.R. de l’autre ...).
Un vrai test de connaissances, de compétence, de maîtrise de soi, ... de communication et d’autorité pour JLR et HR.
A priori, on peut s’attendre à tout comme un forfait déguisé ... de part et d’autre.
Et croisons les doigts pour que les 2 aient le courage intellectuel de montrer, démontrer et convaincre, face-à-face ou cote-à-cote et médiatiquement, les électeurs.
Cà va leur rappeler leur jeunesse et leurs études supérieures (mémoire, thèse, ... L’un médecin, l’autre expert-comptable).
En guise de notes, après « délibération » des électeurs où toute prévision s’avère hasardeuse (report des voix pas mathématique, pas simpliste, ...), ...
Ho hitantsika eo ê !