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Depuis cette transition, on n’a pas entendu parler d’une réunion de l’Organisme mixte de conception (OMC) aussi bien national que régional ; ce jeudi 24 mai, le Premier ministre chef du gouvernement a évoqué indirectement cette question quand il a été interpellé par la presse sur l’usage de la force pour maintenir l’ordre. Omer Beriziky n’a pas nié sa responsabilité dans les opérations conduites par l’État-major mixte opérationnel (EMMO) qu’il soit régional ou national. Il assume et cautionne les actions entreprises jusqu’ici, étant le chef du gouvernement. Il reconnaît qu’une intervention des forces de l’ordre est préalablement planifiée avec les techniciens issus de la grande famille de l’Armée même. Mais il ajoute : « L’ordre donné depuis le début des mouvements de grèves et des manifestations est de n’user des gaz lacrymogènes qu’en cas de force majeure, et ce dans le respect des procédures à suivre ». Et il a cité en exemple le maintien de l’ordre lors du retour avorté de l’ancien président Ravalomanana à Ivato au mois de janvier dernier. Les forces de l’ordre n’ont commencé à lancer des grenages lacrymogènes qu’après le débordement et les dérapages notamment la tentative de pillage de l’entrepôt d’Air France Cargo. « La décision politique me revient, explique-t-il, mais la responsabilité et surtout la manière de mener la mission incombent aux techniciens ».
Recueilli par Bill
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Il a rappelé à tous qu’il est le chef de l’administration en tant que PM, donc il ne peut plus se dérober de sa responsabilité même s’il n’était pas informé des détails ou des tactiques utilisés par ses subordonnés. C’est de bonne augure pour la suite de la transition car il s’est rendu compte maintenant seulement que ramener à bon port la transition relève aussi de sa responsabilité et de son honneur.
Déjà, d’employer des formules éculées du genre « la grande famille de l’armée » montre à quel point il est déconnecté de la réalité l’amer Omer. Ou alors il faut ajouter « incestueuse » ou « de dégénérés » après « famille ». En plus il a le culot de ne rien dire sur l’infâme notam lorsqu’il évoque « le maintien de l’ordre lors du retour avorté de Ravalo ». Tout cette litanie à la langue de bois pour cacher son impuissance et le fait qu’il agit en toute circonstance comme le bon toutou du maître des lieux ANR ! Un seul qualificatif me vient à l’esprit : pitoyable !
@Paulo Il Leone
On ne peut dire mieux et plus juste. Beriziky qui était, autant que madama onitiana de tvplus, SUR LA LISTE de la MOUVANCE TGV de Bruxelles, pas si longtemps que ça, ET OFFICIELLEMENT, n’est NI DE L’OPPOSITION à ce cré tin ! C’est tout au plus un domestique qui passait par là et BIEN RECOMMANDÉ par les souffleurs français du DJ !
Ce qui est MURMURÉ par des industriels français qui travaillent pour des Autrichiens, comme DOKA, il leur est CRIANT d’évidence, que le PION français - que ne contradira pas le « RESPONSABLE MAIS PAS COUPABLE » du sang contaminé en france, devenu ministre français des Affaires étrangères, QUE LE PION français est RÉCHAMPE comme ils le disent, RÉCHAMPE le secrétaire de la Présidence, qui REÇOIT parfois des investisseurs, industriels, banquiers d’envergure internationale, QUI NE PASSENT PAS par la case rajoelina !
Comme l’on sait à quel point, ce poste de secrétaire occupé en france par des védrine, des baladurs et d’autres, EST PAR MIMÉTISME à Madagascar aussi, le meilleur endroit pour comprendre LES ROUAGES RÉELS des influences dans le monde, particulièrement celles qui régissent souvent VOS CHANCES d’accéder un jour ou l’autre, à la présidence. LE NOM QUI SE RÉPÈTE EST RÉCHAMPE ! RÉCHAMPE !
Alors qu’est-ce donc un Beriziky face à un Resampa exactement ? RIEN, RIEN !
Le petit aventurier DJ peut diriger ce dernier, mais LA RÉALITÉ du pouvoir actuel à Madagascar, n’est pas entre les mains du pantin des français, ratsirahonana, ni de rajoelina, la RÉALITÉ du pouvoir est entre les mains d’un descendant d’un ministre francophile de la 1ère république - ne l’étaient-ils pas tous, par design ? - d’un Resampa descendu en flèche par Tsiranana dans ses dernières années de paranoïa aigûe de dirigeant en 1971.
Faut jamais jurer mais les SERVITEURS de la france ont des gênes qui se transmettent PAR ATAVISME, et en l’occurence, EST FORT celui qui peut deviner QUI PEUT ÊTRE le prochain président de Madagascar, je veux dire, le pantin !