Galana a signé une convention de 14 millions d’Ar avec la Délégation spéciale de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) ce vendredi 27 novembre. « Tous les jours, des signatures du genre interviennent avec soit des particuliers soit des sociétés ou grandes entreprises telle Galana » déclare Edgard Razafindravahy, président de la Délégation spéciale (PDS) d’Antananarivo.
La Délégation spéciale de la CUA a lancé quelques semaines après sa prise de fonction, la campagne pour le parrainage des fokontany, étant convaincue, d’une part que des partenariats privé – public et gagnant – gagnant ne peuvent être que bénéfique, autant pour le privé que pour la communauté ou le quartier où il est installé ; et d’autre part que toutes initiatives d’assainissement et d’amélioration de l’environnement social et culturel pour que le citoyen puisse s’éloigner de la médiocrité pour ne pas dire de la misère intellectuelle et morale, doivent commencer par les fokontany.
Après d’autres entreprises, Galana qui dispose de 21 stations – services dans la capitale, a donc alloué pour le compte des mois de novembre et décembre 2009, cette enveloppe de 14 millions d’ariary à l’attention des fokontany où sont installées des stations services Galana, pour leurs besoins de fonctionnement mais aussi pour les festivités de fin d’année et de Noël.
Trois mois de sensbiilisation
Saisissant l’opportunité de cette signature de convention, le PDS Edgard Razafindravahy, a réitéré ses appels multiples en faveur de l’assainissement de la ville, et à l’intention des citoyens et citadins propriétaires de la cité. Cela fait près de trois mois maintenant que la Délégation spéciale mène une campagne de sensibilisation du respect des règles de la vie en société : les trottoirs aux piétons, les chaussées aux véhicules, les marchands dans les endroits indiqués à cet effet. Ainsi le Bazar de Noël a été déplacé à Namontana, dans la partie sud-est du boulevard de l’Europe.
Visiblement, des quartiers de la ville commencent à observer ces principes. Les actions entreprises sur les avenues de l’Indépendance, à Analakely, à Mahamasina sont déjà perceptibles car conduire dans ces rues est aujourd’hui moins pénible.
Recueilli par Valis
