La liste de signataires reste parfaitement imprécise, et le calendrier de signature définitive reste encore floue, mais il est plus que probable qu’une feuille de route (évitons de dire la feuille de route) deviendra réalité politique dans les jours à venir.
Les signes de cette imminence se multiplient. Même la Mouvance Ravalomanana, qui ne manifeste pourtant guère d’empressement, en est à demander un sommet des chefs de file des quatre mouvances et des responsables des autres entités politiques pour finaliser les négociations et signer. Les membres de l’Escopol pour leur part annoncent qu’une cérémonie officielle de signature pourrait avoir lieu la semaine prochaine. En déplacement à Toamasina, Andry Rajoelina vient d’annoncer qu’un sommet des groupes politiques se tiendrait au cours de cette semaine prochaine, même si la signature n’aurait pas forcément lieu à ce moment là.
D’ici tout cela, nous serons donc au mois de Mars, soit deux ans après le coup d’État. Bonne raison pour tenter de relever le nez du guidon ; ou si l’on préfère une analogie optique, pour passer du téléobjectif au grand angle.
Si on compare l’accord politique de Maputo signé en Août 2009 et l’actuelle version de travail de la feuille de route, les ressemblances sont nombreuses. À commencer par les litanies sur la nécessité d’une transition inclusive et consensuelle. On relèvera juste que, entre 2009 et 2011, le fait que la transition doive également être neutre et pacifique reste inscrit, mais paraît relativement moins mis en évidence.
Le point actuellement le plus polémique, le retour ou le non retour immédiat à Madagascar de Marc Ravalomanana, était traité différemment, mais le résultat reste de fait le même. À Maputo, Marc Ravalomanana avait déclaré avoir renoncé « volontairement » à participer personnellement à la Transition. Il n’empêche qu’on avait jugé utile de préciser expressément dans un texte : « Les chefs de file des mouvances de Madagascar déclarent que le retour du Président Ravalomanana au pays ne saurait être envisagé jusqu’à l’instauration d’un environnement politique et sécuritaire favorable ». La différence avec la proposition actuelle (Marc Ravalomanana ne devrait pas rentrer à Madagascar jusqu’à l’instauration d’un climat politique et de sécurité favorable dont l’appréciation relèvera de la compétence souveraine et exclusive du futur Gouvernement à l’issue des élections) n’est pas si flagrante.
Et là, les documents de 2009 et de 2011 manifestent les mêmes curieuses absences. Aucun ne mentionne le calendrier ou au moins l’ordre des différentes élections. Si les élections législatives ont lieu avant les présidentielles, un gouvernement et une assemblée élue auraient à décider si l’environnement est favorable ou non, permettant éventuellement à Marc Ravalomanana d’être un candidat plus que sérieux aux présidentielles.
Si les accords de Maputo prévoyaient explicitement l’abandon de toutes les poursuites contre Marc Ravalomanana, la large amnistie prévue d’être ratifiée par le Parlement de Transition ou de nouvelles mesures prises ultérieurement par un parlement élu ont de fortes chances d’arriver au même résultat.
Les différences les plus nettes entre Maputo et l’actuel projet de feuille de route reviennent finalement à ce que Maputo entendait déterminer avec une précision quasi-scientifique les répartitions de postes, notamment dans l’exécutif. Le nombre de sièges était minutieusement pesé pour équilibrer quatre mouvances dont le contenu était supposé clairement connu.
Pour le reste, on a l’impression que les querelles se ramènent à des questions de susceptibilité quant à la personne chargée de formellement mettre en place les institutions.
Accepter ce qu’on refusait... et inversement
Au final, on a l’impression que les émissaires successifs de la SADC ont réussi, en utilisant une cosmétique du vocabulaire, à faire accepter à Andry Rajoelina le contenu des accords de Maputo... et à braquer les mouvances par rapport au même contenu.
Maputo prévoyait une fin de transition au plus tard en Novembre 2010. En février 2011, difficile de ne pas regretter qu’on ait perdu et que l’on continue de perdre tant de temps à tirer à hue et à dia sur la sémantique. Actions qui ne visent dans la réalité qu’à camoufler des marchandages de postes.
Vos commentaires
Vita Kabary !!! Nandresy ny FOZA ary resy ny MAIMBO ! AMEN ! Veloma ihany ô ! Bye A+.
Au-delà de la sémantique, il demeure que de Maputo à la feuille de route 2.1 le glissement de pouvoir des mains de Ravalo à celles de Rajoelina est visible. Si Maputo tentait un jugement de Salomon (Ravalo abandonne la présidence et Rajoelina partage le pouvoir), la feuille de route penche nettement vers Rajoelina (Ravalo abandonne la présidence et Rajoelina dirige la transition à sa guise). Par ailleurs, n’oublions pas que l’engagement de Rajoelina à ne pas se porter candidat (mai 2010) était le déclencheur de la phase actuelle de négociations.
On peut dire que 2 années de crise politique et des négociations sans fin consituent un HARVARD de la politique pour Rajoelina.
Le Jeune President a appris énormement des choses sur la science politique pendant ces deux années intenses .
il serait intreressant de lire un livre sur les anecdoctes de son vecu pendant ces 2 années .
Et le combat....ou la Grande Ecole de la Politique continue malgré lui...
les profs sont plutot ses adversaires politiques sans le savoir et moins Ratsirahonana .....
« J’accuse reception de votre ripost ci -dessus » (dixit Boris hier mercredi)
Apparemment, et cela depuis quelques temps, on peut constater que BB joue ici, BB s’amuse, pour BB c’est du sport. L’essentiel de sa motivation se trouve dans votre mot « ripost » made in BB. C’est ainsi que vous répondez à toutes les propositions, sans sélection apparemment.
On peut réitérer la pensée : "Que font dans la vie ce qui ont autant de présence ici ? On imagine les fois où ils ont rien à répondre, alors ils reviennent sur quoi ? c’est quoi leurs moutons ?
Mais chacun fait ce qui l’enchante
Decidement , BoBEKAMS interresse notre ami POIUYT
Vous n’avez qu’à m’envoyer votre adresse mail POIUYT et je vous envoie mon auto_biographie pour repondre à votre curiosité
Je vous perlerais alors du nombre et de la couleur des mes moutons.....
Mais en attendant ne te fatigue à dechiffrer mes fautes de français ...quand je suis ici sur le forum les regles d’ortographes de la langue de Houellebecq ( un celebre ecrivain français que j’aime beaucoup) est le dernier de mes soucis...je m’en tape deliberement et eperdument....vraiment je m’en fiche.....
Continuer à tabler sur mes ffautes de français (ICI SUR LE FORUM°)pour imaginer qui je suis ....vous etes sur le bon chemin.....
2 taona tokoa izay no lasa nefa raha jerena ny bilan dia tsy araka izay nanampoizan’ny maro anazy satria na teo aza ny tsy fisian’ny fanampiana avy any ivelany dia mbola nijoro teto foana isika, na dia efa nokendaina ho faty aza ny gasy dia mbola miaina soa amantsara ihany. Raha ampitahaina tokoa manko ny fitondrana Ra8 izay nahazo vola sy fanampiana an-tapitrisany dollars sy Euros eny fa na izy aza niloha-bava eo be ny vola fa ny handaniana azy no tsy misy. Dikany izany dia tsy « bon gestionnaire » Ra8. Fa na izaho izao aza no teo @ toerany dia tsy nilaza an’izany satria be ny asa tokony atao eto amintsika fa ny vola no tsy maharaka eny mety tsy mandeha @ tokony ho izy angamba.
Fehiny : olona tsy mahay mitantana sahala @ Ra8 izany ve no mbola eritreretinareo haverina eo. Na izaho izao aza mba nifidy azy ny 2001 fa kosa rehefa tsy mavoa dia aoka hanova fa tsy izy intsony izany mpitondra miteniteny foana hoe : « be ny vola fa ny handaniana azy no tsy misy ». Aleoko aza maheno hoe : na dia tsy misy vola sy fanampiana aza isika dia mbola mahavita zavatra ihany.
Miaina soa amantsara ny vahoaka ? mba hafa koa zany fahitanao zany, mbola tsy lafo ohatr’izao ny fiaina hatr@ zay. Mba hazavao mazava tsra daholo ary ny fidirambolan’ny FAT e ! de ho hitanao eo.
Marivo saina loatra ianao
Tsy misy na inona na inona fantatrao momba ny « économie ».
Maivana be ilay fomba fijery : « ridicule ».
Raha te hiresaka trosa sy findramambola dia mamakia boky aloha vao miteniteny.
Ra8 izany no tena mahay économie sa mahay gestion ? Za tokoa mety tsy mahay fa raha za tsy sahy hiteny hoe : Ny vola misy fa ny handaniana azy no tsy hita nefa ny vahoaka na ny ao antrano sahirana.
« on a l’impression que les émissaires … ont réussi… à faire accepter à Andry Rajoelina le contenu des accords de Maputo » , disait Patrick
Vous rigolez ; joel considère Maputo comme une carte de restaurant où chacun choisit ses plats ; c’est la présence du soldat à la porte qui lui donne cette attitude. Pour ce qui est du menu SADC, c’est pas pour eux. C’est ainsi, qu’en définitive, les vrais bradeurs de nation sont en treillis, mais le savent-ils au moins ? C’est le fer de lance, joel est la voix, la matière grise est raonana + France.
Samedi, Malgré la présence DISSUASIVE de l’armée de répression, dont la qualité du matériel est en contradiction avec la pauvreté populaire, Malgré les désinformations de l’appareil médiatique hat depuis 2 années, mais aussi pour les découragement pour le sujet du jour, Malgré le semblant de paix populaire imposée par une milice politique,
Quel que fut la déception de hat quand les gens sont sortis en masse samedi. Ra8 est toujours une personnalité incontournable, la plus aimée.
Le joel s’en va réunir qui ? les « partis politiques » de son terroir d’incubation post-putsch, minorités politiques, des clones dont la principales activités consistent à rédiger un papier de création différent de celui d’à côté ; une poignée de personnes entre 4 murs, une adresse postale, et voilà tout ; si vous leur demandez à tous de réunir ensemble leurs bases, en un seul endroit, au même moment, vous serez surpris que la matière est essentiellement constituée de vide ; tout cela pour faire du chiffre à joel ; du faux ; le hat repose sur du faux paraître.
Vous imaginez si on avait fait de la pub pour l’arrivée de Ra8 sur toutes les ondes, sur toutes les TV, si on avait invité des artistes, si le matin on avait donné de la bière aux soldats, le joel aurait fait partie de l’histoire.
Si Ra8 passe, joel trépasse.
Brader la nation ? Encore Rovahiga, (Merci) , de rien, je t’en prie.
http://rovahiga.over-blog.com/ext/http://www.lvdpg.org/Francafrique-Comment-la-France-pille-l-Afrique-de-Libreville-a-N-djamena-par-la-juge-Eva-Joly_a8364.html
Il ne reste plus qu’à souhaiter à Mme Eva JOLY d’être élue en 2012 Président de la République Française, ainsi tout le monde vivra d’amour et d’eau fraîche, écologiquement parlant … Nicolas Hulot et les autres n’ont qu’à se remballer.
Fipoz,
je vais vous répondre déjà :
"EVA JOLY,jamais à l’Elysée.
Elle a bien assuré sa reconversion avec DANI le rouge « l’ECOLOGIE-EUROPE ».QUOI DE PLUS ????
Même KSD,avec l’argent de sa femme,je ne le verrais pas à l’Elysée.
Opinion personnelle.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
M’enfin Basile, c’était du sarcasme pur jus ! Vous n’imaginez pas une seule seconde qu’elle ait une quelconque chance d’arriver jusqu’à l’Elysée. Elle a encore beaucoup de mal à se dévêtir de son habit de Juge.
Arretez de palabrer et de vous masturber Patrick ! Les dés sont jettés ; et les FOZA ont battu les MAIMBO !! Même les gena ont pris conscience qu’on les a emmenés en bâteau depuis deux ans ! Et même les américains reviennent sur la pointe des pieds en apportant des aides aux sinistrés du cyclone, tout comme les Français qui aident via Père Pedro. Ne soyez pas dupes, « real politik », ça vous dit quelque chose ?? Bonne journée an !
Vorondolo
C’est plutot POIUYT qui se branle là ...mais non pas Patrick
Le <real politik< pour eux et tenez vous bien ........en Fevrier 2011 ,c’est d’instrumentaliser l’evenement de Samedi pour reunir à nouveau autour d’une table les quatres chefs de file des mouvances ....toujours cette strategie bidon mastiquée deux années durant et qui n’a abouti à rien.....
Ils sont incapables de lire l’evolution des contextes nationaux et internationaux (diplomatiques ), on continue à jouer sur CHISSANO ..et le SADC ...alors que celui -ci leur a tourné diplomatiquement mais CLAIREMENT le dos
Ils ont du mal à accepter que la revolution arabe contre les dictactures ne joue pas du tout en leur faveur....Le club des dictacteurs d’Addis Abeba ( OUA) sauvent un peu la face en donnant du credit à la revolution orange de Rajoelina.......
rajakombazaha
Il ne passe pas un jour, depuis deux ans, que l’on ne nous rabâche cette antienne : on a gagné ééééé !
Il est temps, depuis tout ce temps, que vous ouvriez alors
la place de la démocratie...
Oui oui oui on gagné après une lutte acharnée ( sarotra iny lalana iny)
on a gagné contre la dictacture.et le monopole.et surtout contre le fanavakavahana....
On a gagné contre la communauté internationale et SADC qui a sous-estimé au depart la force politique du jeune President
la place de la democratie est ouverte partout :
l’aeroport d’ Ivato est devenu maintenant une palce de la democratie n’est-ce pas !! et il est ouvert tout le temps ......
sans parler des Magros et du Sallon de Carlton et le Villa Elisabeth chez Vilambava ( le vieux naif....)
Y avait-il une raison particulière pour que vous trouviez la nécessité de détourner le tg...« vrai » de la « place de la démocratie » sur Ivato dans votre post ?
« les gena »...ça en dit long sur le mental de l’auteur !
Quelle que soit la feuille de route, l’objectif de la hat est simple : ne pas se hâter pour pouvoir pressuriser le vahoaka malagasy.
La plupart des membres de la HAT n’ont jamais été élus et c’est normal s’ils s’accrochent à olom-boatendry.
Et ne me parlez pas de changement ou acceptez le fait que le changement est de mal en pis.
Et nous resterons là jusqu’à ce que le vahoaka se réveille !?!
On a déja dénoncé cet état de fait Patrick, il n’y a que l’émargement des hâtifs qui leur importe, les postes à fric, rien que les postes à fric !
Ceci dit, je voudrais dire qu’il se peut qu’il y a ait du nouveau dans la fameuse feuille de route, les médiateurs non malgacho-malagasys que sont Chissano et Simao, ont rencontré les ex exilés, et je crois que leur retour conjoint serait une des autres conditions à ajouter à la continuité de cette feuille qui n’en finit pas de s’allonger (sans parler des inepties qui tapissent son contenu, reléguant les politiques malagasys à la période post-coloniale, plus minable, tu meurs). La méga manifestation de ce samedi prouve s’il en était besoin, que Ra8 reste encore un acteur majeur du dénouement de cette crise, l’écarter, c’est éliminer d’office toute une opinion qui se renforce de plus en plus. La faute à cette hat qui ne donne rien, n’entreprends rien de concret, de solide et qui n’arrête pas de se lamenter et d’afficher son misérabilisme en incriminant une personne qui n’est plus là depuis 2 ans.
Si la hat campe catégoriquement sur le non retour de Ravalomanana, alors elle doit aussi entériner la non-présentation de Rajoelina aux élections présidentielles, là il y a parité et 1 partout la balle au centre. Ils reviendront au prochain scrutin de 2016, point. Alors, toujours capable ? Cela aura le mérite de faire sortir du lot quelques VRAIES nouvelles têtes, mais j’en doute car cela demande trop de sagesse que nos politiques n’ont pas, hélas.
Les crises en lybie, Egypte et tunisie risquant d’affaiblir la HAT et consorts car ils vont baisser dans la priorité de la france.
Problème sémantique ? Adiseza ?
Je ne pense pas : c’est vouloir cacher la forêt derrière l’arbre.
Si la problématique n’était que cela : aimer et adorer ne veut pas dire la même chose. Celui qu’on aime peut ne pas souffrir de cet amour : celui qu’on adore peut en souffrir, victime de ne pas être à la hauteur de cet amour qu’on lui porte.
Répétons-le : le but final est d’arriver à une élection égalitaire, libre, transparente, et accepter par tous.
Pour en arriver, une question persiste : quelle est l’instance, l’arbitre (neutre ou indépendante et pacifique) qui a LE POUVOIR de SANCTIONNER ceux qui ne respectent pas les accords ?
La CENI ?
A-t-elle les capacités de contrer lylison que l’on a vu parader auprés d’un andriamananoro, pour « convaincre » des stations de radio de fermer ?
A-t-elle le pouvoir de laisser, pas seulement aux autres, les uns de manifester leur opinion ?
Hier j’ai tapé sur Sarah.
N’empêche que ce qu’elle demande est légitime, mais c’est en terme de pouvoir et force politique que je remettais en question :
A-t-elle le pouvoir, avec cette feuille de route de forcer rajoelina et ses mutins de faire ce qu’« ils ne veulent pas faire » ?
Il me semble que le problème est de mettre en place un CONTRE-POUVOIR capable de contrer les velléités fourbes de tout un chacun pour entuber (et les uns et les autres diront que « c’est ça la politique » validant ainsi tout ce que nous ne voulons pas : or de quel camp qu’on se retrouve, tout semble (et je dis bien « semble ») vouloir LE CHANGEMENT !) son prochain.
Oui ! Tous crient au changement : on peut dire que Machiaviel n’est machiavélique que par dépit !
Sa question est la même que celle de Rousseau : que demande Le Peuple ( qui n’est pas le peuple de chez les fozas, faut-il le remarquer) ?
La réponse, chez les deux, tourne autour d’un même constat :
Le Peuple ne sait pas ce qu’il veut...
L’un écrira Le Contrat social, l’autre Le Prince...
Le Changement donc : mais nous sommes prêts à payer quoi pour avoir ce Changement ?
Et la place devient vide...
Pour faire court :
Limiter le pouvoir par un autre pouvoir : voilà une autre idée. Le neutre peut et doit vouloir dire : le « se neutraliser ». Les pouvoirs doivent se neutraliser.
Adiseza ?
Ne demandons pas aux politiques d’aimer leur patrie :
demandons-leur d’être jaloux de leur pouvoir, pour se neutraliser « réciproquement ».
donner à un camp La Possibilité de faire ce qu’il veut est anti-REPUBLICAIN et anti-DEMOCRATIQUE...
Et cela est possible... sans contre-POUVOIR fiable reconnu par tous (Res-publica).
Vouloir faire une élection inégalitaire que ce soit au niveau des candidatures, comme des largesses pour un camp pendant les propagandes électorales est ANTI-REPUBLICAIN et ANTI-DEMOCRATIQUE.
Alors, quel changement veut-on ?
Doit-on bâtir la prochaine république sur la fange ?
Quel prix sommes-nous prêts à payer pour cette république ?
Et la question est posée à tous :
pas seulement aux politiques...
L’equation est simple , la politique ou la conquete et le maintien du pouvoir est toujours une affaire de rapport de force politique.
L’idée de ceder une partie de pouvoir à un adversaire politique n’est donc qu’une initiative de suicide politique
C’est ainsi que la signature et la mise en eouvre de Maputo et Adis Abeba ne sont autres choses qu’une entreprise de suicide politique pour Rajoelina et sa transition..........Heureusement qu’il a pu se ressaisir à temps.........sinon c’etait fatal politiquement pour lui
Il n’y a pas des choix à faire : ou bien on lache ce pouvoir aux mains de votre rival ou on exerce ce pouvoir à 100% sans donner des mietes aux adversaires jusqu’à ce le rapport de force bascule ( l’histoire a montré aucune force politique est eternelle)
IL est vrai que nous sommes dans une periode de transition et le principe de la cogestion devrait etre de mise pour organiser ensemble une election libre transprente et accepter par tous ,
mais 2 ans de crise ont largement montré et prouvé à la face du monde que la chance de voir la possibilité d’une cogestion harmonieuse est nulle car les belligerants ont eu l’occasion de demontrer à pluisiueres reprises qu’ils ne sont pas du tout disposés à cogerer , leurs objectifs respectifs sont le meme : la mort politique de son adversaire .....
Dans cette condition seul le principe de rapport de force politique qui prend le dessus , et l’adoption du principe de large inclusivité et l’abandon du principe de l’inclusivité/ unanimité va dans ce sens ....
Le reste n’est que de gesticulation sterile pour gagner du temps...comme dans toutes les guerres d’usures.....
Pourquoi le simple tarde-il à se faire être ?
Si on a tout, en politique, pour quoi en céder ?
Est-ce qu’on a tout ?
Quand on est vaincu dans une élection : est-ce qu’on est « mort politiquement » ?
Si c’est le cas, l’élection n’est pas un outils adéquat pour la démocratie... et vous me laissez songeur...
Et si nous sommes encore au niveau de la guerre d’usure... eh bien que la guerre continue !
Et que le meilleur gagne !
Le temps de maturation n’est pas encore épuisée : de quoi se plaint-on ?
Tsy azo terena ohatran’ny voalobo-jaza : Misy fotoana ny zava-drehetra.
Simao a raison de demander ce temps de maturation...
Marina ny volazanao
Tsy azo terena ho masaka toa voalobo_jaza ny fiverenena indray izao de izao eo amin’ny fitondrana....
Misy fotoanany tokoa ny zava -drehetra (hoy ihany ianao manohy)
Fa fotoana amizay izao hametrahana ny fototra rehetra ijoroan’ny repobolika faha4,
Afaka manao tazandavitra ireo tsy resy lahatra....demokrasia koa izany
Raha guerre d’usure no toavina , dia ny repobolika faha4 no anaovana geurre d’usure dia ho hita eo ...ny tohiny.
Tsy azo teren_komasaka toa ampaliben’antitra koa ny MATURATION eny fa na dia ny molotrabe ny SIMAO aza no miteny azy...processus io maturation io ts’inona.
Eo ambony processus politique isika ka tsy ho rahampitso izany MATURATION TENA IZY izany, lasitra iray afrika manontolo ny amizany eny fa na dia MOZAMBIKAn-dry SIMAO aza.
Boris écrit :
« Il n’y a pas des choix à faire : ou bien on lache ce pouvoir aux mains de votre rival ou on exerce ce pouvoir à 100% sans donner des mietes aux adversaires jusqu’à ce le rapport de force bascule ( l’histoire a montré aucune force politique est eternelle) »
Je suis assez d’accord pour dire que cela reflète bien la réalité politique malgache.
Malgré tout, on peut regretter cet état de fait, et souhaiter qu’un meilleur esprit démocratique se développe.
Ça serait bien que ce « basculement des rapports de force » se fasse systématiquement par les urnes, et non plus par des prises de pouvoir hors processus électoral.
Mais pour cela, il faudrait que la classe politique commence par respecter le peuple, à considérer que leur seule légitimité vient du mandat donné par le peuple, et qu’à ce titre, ils doivent œuvrer pour le peuple et non pour eux-mêmes.
Même dans les démocraties les plus avancées, les politiques naviguent en permanence entre leurs intérêts personnels et le bien commun, tout en sachant que tout écart de conduite sera sanctionné judiciairement et/ou électoralement.
A Madagascar, aucune barrière ne vient freiner les politiques. La justice ? Ils sont au dessus des lois. Le peuple ? Il est ignorant, manipulé, et ses choix sont bafoués à tous les niveaux (trucage des résultats électoraux, non respect des programmes électoraux, non respect de l’exécution du budget de l’État...).
Je pense que le changement ne pourra s’opérer que sous la contrainte. La création du Bianco était une bonne initiative. Il est regrettable que sa capacité d’imposer les règles soit aussi limitée.
Tant qu’ils ne seront pas inquiétés, les politiques n’en feront qu’à leur tête. Un gouvernement ou un autre, une République numéro 3 ou numéro 4 n’y changeront pas grand chose, et les Kabary sur la bonne gouvernance non plus. Car aucun chef d’État malgache n’aura le pouvoir (et probablement pas la volonté non plus) pour imposer, sanctions à l’appui, la stricte application des lois. Il y aura toujours quelqu’un pour expliquer que ce n’est pas possible, que la machine ne fonctionnerait plus, que cela serait la révolution. De compromission en compromission, rien ne change.
Et lorsque certains deviennent les défenseurs de la démocratie, de l’État de droit, qui hurlent au putsch, alors qu’hier encore, ils violaient impunément le peuple malgache, c’est juste lamentable, voire risible, tellement la farce est énorme.
Au final, c’est Boris qui a raison, le pouvoir, il se conquiert, et il se garde jalousement, le plus longtemps possible, parce qu’au final, la médiocrité ambiante ne permet pas le partage. C’est lamentable, mais c’est la seule conclusion qui vaille à ce jour.
Madagascan...
Je suis egalement d’accord avec vous sur votre THEORIE sur LA DEMOCRATIE, elle est belle cette democratie reelle et c’est emouvant à chaque fois de voir ou constater les douces aternances democratiques aux USA et en Europe.
Mais il ne faut pas confondre objectif et real politik ,une democratie forte reste un objectif à long terme mais beaucoup de paramettres contribuent à la difficulté d’atteindre aujourdhui meme cet idéal de democratie veritable
La situation actuelle est truffée des paramettres negatifs qui nous eleoignent encore de cet idéal : la pauvreté galopante, l’analphabetisme d’une large majorité de la population, la non-effectivité d’un Etat-Nation , le non accès aux informations pour la majorité de la population , certains traits des mentalités des cadres et intellectuels malgaches, les injustices , la faiblesse de l’admnistration ou l’absence de l’Etat dans beaucoup des regions (mauvaise gouvernance)
Comment voulez_vous avoir une democratie forte et une alternance par les urnes sur la base de ces contextes de pauvreté extreme .....??
A mon avis decreter la democratie reel sur la base ces paramettres de pauvreté c’est mettre la charue avant le boeuf c’est un exercice impossible...une leurre ( ce n’est pas parce que je ne veux pas mais c’est l’exercice qui est perdue d’avance)
C’est sur ce point que je ne partage pas trop les idées de CHE TARANAKA que je trouve trop theoricien , reveur , idealiste et pas trop realiste....
La solution est donc d’adopter un REAL POLITIK tout en fixant comme objectif à atteindre cette BELLE DEMOCRATIE que nous revons.
IL s’agit d’un processus qui s’etend sur le long terme......
C’est peut-être atavique chez moi, mais quand il n’y a plus rien à faire dans le sens de « c’est ainsi », je me pose toujours la question s’il n’y a pas encore quelque chose que je n’ai pas encore essayé... que tout constat est un nouveau départ pour la réflexion et non un point final, et que l’acte de penser ne vaille la peine si ce n’est dans l’optique et la perspective d’un mieux-vivre...
Et je me pose la question : pourquoi demander aux politiques ce que nous , citoyens, jugeons de l’ordre de l’impossible ?
Je crois que l’expression « le meilleur des mondes possibles » voulait dire cela... Ce que l’on a là et maintenant est le meilleur de tous les possibles...
Alors, pourquoi se plaint-on...?
PS : A proprement parler, ceci n’est pas une « réponse » au post de Madagascan. Au plus une « inspiration » suscitée à la lecture du dit post. Elle ne veut entrer en polémique, au sens noble du terme polémos, et entre dans le cadre du tavadrahalahy mandrangitra tavadrahalahy.
Boris,
Je crois que nous disons peu ou prou la même chose.
"Je crois que l’expression « le meilleur des mondes possibles » voulait dire cela... Ce que l’on a là et maintenant est le meilleur de tous les possibles...
Alors, pourquoi se plaint-on... ?« »Je crois que l’expression « le meilleur des mondes possibles » voulait dire cela... Ce que l’on a là et maintenant est le meilleur de tous les possibles...
Alors, pourquoi se plaint-on... ?"
Ma vision des choses, c’est que le pragmatisme, c’est de comprendre son environnement, d’en accepter les règles du jeu, et éventuellement, militer pour que les règles évoluent.
On voit ici que beaucoup sont dans une démarche différente : Ils militent pour leur idéal, tout en refusant d’accepter les règles du jeu du moment, et même pour certains tout en refusant de voir la réalité. C’est ni plus ni moins que du fanatisme. Et c’est ce que je reproche à une bonne partie des militants politiques malgaches que l’on croise ici.
Force est de constater que la fenêtre pour faire passer ses idées est très étroite. Comme Boris le disait si bien, le pouvoir s’exerce à 100% en ne laissant aucune miette aux autres.
Pour recentrer le sujet sur la feuille de route, celle-ci est une opportunité inédite de partager le pouvoir. Je pense que l’action la plus intelligente serait pour la mouvance Ravalomanana d’accepter la feuille de route, et de participer aux instances de transition. Et plutôt que se battre sur le nombre de « seza », la discussion devrait porter sur les assurances données pour garantir l’effectivité des pouvoirs « cédés » à l’opposition dans le cadre de cette feuille de route.
Mais comme je l’écrivais en réaction à un édito précédent, il existe un syndrome de l’homme malgache. Et ce syndrome se caractérise par l’incapacité totale à s’affranchir d’une vision partisane du monde (les bons contre les mauvais, les légalistes contre les foza, la France contre Madagascar...) pour voir les choses telles qu’elles sont.
Pas étonnant que plus de deux ans après, la situation ait aussi peu évolué.
Ma vision des choses, c’est que le pragmatisme, c’est de comprendre son environnement, d’en accepter les règles du jeu,
et éventuellement, militer pour que les règles évoluent.
Comprendre pour mieux transformer : faire de la politique n’a de sens aussi que dans ce sens. J’imagine mal le docteur s’arrêter à : vous avez le paludisme. Constater.
Qu’est-ce que je peux faire ? Aider prend toute sa grandeur dans le fait qu’il s’agit de soulager les hommes de leurs souffrances. Là où vous voyez « vision partisane », moi je l’appelle « engagement ». Là où vous aimeriez qu’il s’arrête au niveau de la compréhension (le « éventuellement » me pose problème car qui me dira que l’« éventuelle ment » est à courir (comme risque) ou pas en l’absence d’un directeur de conscience), je dis « frappes ton cœur, c’est là que se trouve le génie » l’empruntant à Victor Hugo ?
Quant au fanatisme, ce n’est point le qualificatif qui prévaut quand on veut comprendre l’autre. Or l’enjeu est de comprendre d’abord. Qualifier ensuite. Et « militer » pour moi peut toujours passer, pour l’autre qui ne vous comprend pas, pour du « fanatisme ». Je concède que vous n’enlevez pas l’éventualité, laissant par là la porte ouverte que vous aussi... vous pourriez militer : sans être forcément fanatique.
Et c’est là l’essentiel.
Dorénavant : deux militants de camp adverses peuvent se comprendre... sans fanatisme.
PS : J’ai toujours eu du mal à donner un contenu à ce mot « pragmatisme ». Donc j’ai du mal à faire quelque chose ou faire des « sacrifices » en son nom.
Euh, j’ai quand même du mal aux entournures en lisant vos posts Madagascan et Boris. Et la réaction de kakilay en bas est plus un hoquet d’indignation qu’autre chose, en regard de ce vous décrivez.
S’il ne faut point se contenter d’être seulement idéaliste, il faut au moins en avoir. Nous en avions déja débattu et avec certains forumistes, la démocratie est une arlésienne qui se fait désirer. Mais à vous lire, on pourrait conclure qu’il faudrait se satisfaire de ce que l’on a actuellement, et de tout ficher par terre, le jour où on en a suffisamment les moyens. C’est pas un peu court comme vue ça ? Est-ce que TOUS les moyens quels qu’ils soient, ont tous été employés, conduits jusqu’au bout ? La pauvreté, et autres tares décrites par Boris deviennent des prétextes forts à la conduite approximative du pouvoir, pourvu qu’on le tienne car on est en position de force. Belle considération pour le peuple, analphabète, rural et pauvre de surcroît.
On devrait chercher à mieux gouverner et à partager ce pouvoir, qui est et devrait demeurer au service de la nation et de son peuple. La seule notion de gouverner pour gouverner parce qu’on a un rapport de force qui le permets, devrait être jetée aux oubliettes. Je crois que c’est ce qu’a fait croire les treizemaitistes, quand ils n’ont eu de cesse de dénoncer les écarts de RA8. Et les voir dupliquer en plus féroce et rapîde ce qu’ils ont fait mine de combattre, confère à l’imposture totale, voir à la traitrise. Et ça, c’est irrecevable, il n’y a rien à plaider là-dedans.
Il nous appartient, nous qui avons certaines notions de justice et de gouvernance acceptable (j’omets volontairement « bonne »), et demandeur d’un renouveau politique, de contraindre et instruire nos élus vers le chemin de la démocratie, parce que c’ets le moins pire des systèmes, c’est le compromis acceptable. Il n’y apas que le peuple qui doit être éduqué en ce sens, les volontaires voulant être de l’élite, doivent l’être encore mieux. Je le répète à l’envi, sortir de cette médiocrité est le salut pour accéder à de meilleures perspéctives, cela devrait être un idéal à ne pas perdre de vue.
Le démocrate voleur, réfugié au Zoulouland, a encore fait des siennes :
Source Sobika.com
« 11h50 - 24/02/2011 : Le dr Simao a annoncé que Ravalomanana suite à sa rencontre avec Chissano mardi relative à la feuille de route, aurait déclaré qu’il allait envoyer ses instructions à sa mouvance ici à Madagascar. cependant, hier Ravalomanana aurait adressé une nouvelle lettre à Chissano contredisant tout ce qui s’était dit entre eux la veille »
A propos de la promotion de la democratie à Madagascar.....
Des questions meritent tout de meme d’etre posées sur la table
D’abord je doute bien des personnes qui n’hesitent pas à justifier le fanatisme et declare n’avoir rien compris sur le pragmatisme ou le realisme
Est-ce qu’on peut construire de democratie veritable sur la base des fanatismes aveugles ??? alors que ce fanatisme est entretenu par un coktail ou amalgame entre la politique , la religion et l’ethnisme.
Est-ce qu’il faut croire aux fanatiques quand ils parlent de democratie ???
le doute est permis...moi je m’abstiens...personne n’est dupe d’ailleurs.
La democratie des fanatiques n’est q’une LEURRE
dire les talibans sont le chantre de la democratie ...n’ a pas de sens
Quand on parle de prix à payer pour un changement ou une démocratie, ... et que le peuple ne sait pas ce qu’il veut.
Je ne pense pas que le peuple puisse payer plus que ce qu’il paye déjà depuis l’indépendance, sa seule préoccupation , c’est qu’ est-ce qu’il va manger, vous devez eduquer le « peuple » mais meme avec la meilleure volonté du monde, et les plus brillants professeurs, vous n ’ enseignerez jamais rien à quelqu’ un
qui a le ventre vide,le peuple sait tres bien ce qu’il veut, c’est manger à sa faim, c’est envoyer ses enfants à l’école, et meme à l’étranger, il veut comme tout le monde une vie ou on ne survit pas , il ne veut plus de dictature, le peuple en a marre de se faire berner par ces politiciens,et à chaque fois espère que le suivant sera meilleur, et à chaque fois c’est pire, ce qu’il doit se dire « ça ne pourra pas etre pire » , mais c’est son ignorance, qui l’induit en erreur, et chaque prétendant le sait tres bien, comme il sait tres bien qu’il est de son devoir d’ éduquer son peuple, mais ça c’est une autre histoire.
Donc on ne peut plus rien demander au peuple.
Que reste - t - il ?, les « politiques », et ces crapules commencent par éliminer toutes oppositions, pour faire ce qu’il veulent, c’’est totalement anti démocratique, ce sont des dictateurs, dont le seul but, est tout pour moi, il faut que les malgaches cessent d’immiter les africains, pour ne pas faire comme les vazahs, c’est une obstination, que Madagascar a payé assez cher, et continue de pratiquer, au nom de l’exploitation colonniale, cet enfer que les vazahs nous ont fait subir, ou tout le monde mangeait à sa faim, ou le franc CFA avait une valeur, maintenant que nous avons ces descendants Royaux qui s’occupent de nous , c’est pas encore le Paradis, mais ça y ressemble de plus en plus chaque jour.
Il FAUT pour Madagascar, une opposition, forte, pour tendre vers une démocratie, tant que les Malgaches cautionneront des dictateurs qui veulent le pouvoir pour eux seuls, en commençant par éliminer tous adversaires ,il faut que les Malgaches se lèvent tous ensemble pour dire NON ! car c’est une nouvelle dictature qui se met en place, tant que le Malgache n’aura pas INTGRE cela , il continuera de stagner, quand les autres avancent, en ce sens les malgaches nagent à contre courant, mais de la à en tirer une fierté, celle d’etre des « Précurseurs »... que le mouvement pour la démocratie est parti de Madagascar ! Un jour « angamba, ou donc » peut-ètre ?
A Monsieur le Président Andry Nirina RAJOELINA,
En politique,l’élection est un mode d’accession au « POUVOIR »,tout en étant le plus démocratique.
En effet,la « SOUVERAINETE NATIONALE » est alors présentée comme ne pouvant s’exercer que directement ou par le biais de représentants librement choisis,donc « ELUS ».
Le Gouvernement « solidaire » de Transition de l’équipe du Général Camille Vital
’’A combien s’élève t-il le prix du KAPOKA Mdco,environ 95 gr de riz...ATTENTION DANGER !!)
Malheureusement nous n’échapperons pas aux conséquences de « REVOLUTION/révoltes avec les réseaux sociaux= INFLATION (flambée des prix dépendant du Pétrole,surtout »AVEC" ce qui se passe en LYBIE)
Il faut bloquer les prix des produits de première nécessité (PPN) et mettre en veilleuse toute augmentation de salaire.Sinon,c’est la catastrophe inévitable.
Ceux qui ont un emploi stable doit penser ,pendant une seconde à ceux qui sont privés d’emploi,pour cause de « X » ou de « Y » etc...
Il faut stopper toute importation des voitures neuves ou d’occasions pendant un semestre(2011),jusqu’à la mise en place de toutes les institutions législative et présidentielle.
Monsieur le Ministre des Finances et du Budget valide et validera tout « hors budget » pour soutenir les prix des produits de première nécessité (pour achats surplace ou à l’importation,il ne faut pas oublier nos producteurs locaux-nationaux).
NOUS N’ECHAPPERONS PAS A LA FLAMBEE DU PRIX DU PETROLE
REVOLUTION/Révoltes sans armes avec les réseaux sociaux=INFLATION.
Les nantis s’en sortiront mais la couche populaire tirera la langue sans « SOLIDARITE NATIONALE »,exemple du riz importé à 900 ariary le Kilogramme.
Dans la foulée,il faut dissoudre :
(pour Moi,Basile RAMAHEFARISOA:b.ramahefarisoa@gmail.com,c’est une sorte de service d’action civique-SAC- et,EN" contre partie :
FAISONS CONFIANCE A NOS FORCES DE L’ORDRE (police-gendarmerie-armée nationale).
(dissolution de CT et CST,60 jours avant l’élection législative)
(La direction Générale des Impôts et la Gendarmerie Nationale ont signé,ce 23/02/2011,au Ministères des Finances et du Budget un protocole d’accord pour la mise en « COMMUN » des mesures dans la lutte contre la fraude fiscale).
Monsieur le Président Andry Nirina RAJOELINA,avec la présence physique ou NON,de Messieurs les Présidents Didier TATSIRAKA,Marc RAVALOMANANA,avec ou sans cette fameuse feuille de route,il faut organiser l’élection des députés,des représentants qui occupent une fonction,au nom de leurs électeurs.
BONNE CHANCE MONSIEUR LE PRESIDENT Andry Nirina RAJOELINA.
MADAGASCAR AUX MALGACHES.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Je ne pense pas qu’il est sage pour les 3 mouvances de signer la feuille de route de Simao telle qu’elle. Il vaut mieux une sortie de crise tardive que celle qui ouvre la voie à une autre encore plus grave. Il ne faut pas choisir une solution de facilité (=plan favorisant tgv car ce dernier boude le pouvoir). Contrairement à Patrick, je croît que la Hat tombera si elle continue à faire comme si tout va bien dans le meilleur des mondes. Ses bailleurs de fonds officieux ne seront pas toujours là pour assurer un fonctionnement minimal de l’administration publique (à moins d’avoir la fameuse reconnaissance internationale, mais ce n’est pas encore gagné) et le miracle Wisco ne se produira pas souvent. Les émeutes au Maghreb (Tunisie, Égypte, Libye) devraient faire réfléchir les foza qui au contraire semblent en être amusés (=« Soa fianatra » affirmait un journal débile).
J’adhère à votre ligne de « conduite »,Monsieur RAMAROLANOANA J.
Madagascar,avec cette histoire du samedi 19 février 2011,« Ni Perdant,Ni Gagnant » doit ou devrait s’atteler à organiser une élection législative.
La « SOUVERAINETE NATIONALE » est présentée directement par les biais des représentants élus librement,des « DEPUTES DE MADAGASCAR ».
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com