Un homme a succombé hier d’une mort suspecte dans l’un des centres hôpitaux universitaires d’Antananarivo, de source auprès de ces responsables. Après coup, les rumeurs ont circulé très vite, créant ainsi des polé
miques sur les chiques à Antananarivo. L’homme en question est entré à l’hôpital avant-hier. Il a été couvert de chiques selon la description qu’on nous a donnée. Ses pieds, ses mains et son dos ont été couverts de chiques. Alors beaucoup ont mis des liens entre les chiques et la mort de l’homme, surtout après le ravage des chiques dans la commune de Mangabe Toamasina. Voulant avoir le cœur net, nous avons procédé à des recoupements d’informations. Il était vrai que l’homme en question est entré, avant-hier, dans l’hôpital indiqué et il est vraiment mort hier, selon la confirmation du médecin chef de service. Mais ce médecin a écarté tout lien entre la mort de l’homme en question et ses chiques. « Il est difficile de croire qu’une personne puisse être tué par des chiques » affirme le médecin chef de service. Le maintien de l’anonymat de l’hôpital a été fait intentionnellement dans l’écriture de cet article, suite aux craintes de ces responsables. Signalons seulement que quatre personnes sont décédées dans la commune de Mangabe Toamasina.
Décès du aux chiques
Fausse alerte à Antananarivo
vendredi 25 janvier 2008 |