Oui, nous sommes tous fatigués, fatigués d’une crise trop longue, fatigués de l’impasse politique et économique où se trouvent aujourd’hui le pays et ses habitants.
Mais si la crise est pénible, la durée de la crise n’aura pas eu que des effets malheureux. Car cette durée aura amené tous les acteurs, et surtout ceux se situant en dehors des cercles politiques malgaches, à réexaminer un certain nombre de situations et à réajuster les façons de travailler.
Bailleurs internationaux : entre deux chaises...
Les bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux ont eu ainsi à gérer l’accroissement de certaines contraintes institutionnelles. Le tournant avait été pris dès la fin de l’année 2008, suite au constat fait par le FMI du non respect des règles d’orthodoxie budgétaires. L’arrivée, à la suite d’événements violents, d’autorités non reconnues par la communauté internationale aura davantage encore compliqué les choses.
Si les aides financières directes au budget de l’État malgache ont été interrompues, les bailleurs n’avaient pas (et n’ont pas) l’intention d’abandonner la population malgache à son sort. D’où les recommandations du GIC de concentrer l’aide vers les secteurs sociaux et les programmes en faveur des populations les plus défavorisées. Un ambassadeur a assez clairement résumé les intentions affichées : « l’aide publique au développement n’est pas faite pour faire plaisir à tel ou tel gouvernement, elle est là pour aider à atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement ».
Il restait à traduire réellement les intentions en actes, ce qui n’était pas forcément évident. Le poids de certaines organisations multilatérales comme le PAM ou l’UNICEF s’en est trouvé renforcé. Davantage d’aide transite également par la société civile, c’est à dire par les ONG malgaches ou internationales. À l’exemple des programmes contre le paludisme, le volume de certaines aides passant par des canaux para-étatiques s’est en fait accru.
La prolongation du blocage politique oblige les bailleurs de fonds à continuer de faire preuve d’inventivité. Et à identifier les acteurs adéquats sur le terrain.
Acteurs locaux
Sur ce plan là, la durée de la crise politique aura également aidé un certain nombre de malgaches à pleinement réaliser la nécessité de s’unir face à des situations qui dépassent les capacités des uns et des autres isolément. Certes, beaucoup des constats faits par Ndimby sur la société civile en avril 2009 restent vrais, et c’est heureux pour certains de ces constats, malheureux pour beaucoup d’autres. Mais des évolutions sont incontestables, et on peut citer parmi d’autres les coalitions qui se sont constituées contre le pillage des forêts ou pour la défense des journalistes. Les résultats semblent encore très insuffisants, mais ils sont réels, et l’on préfère ne pas imaginer ce qui se serait passé si elles n’avaient pas été là.
Dans un contexte qui est loin de favoriser l’unanimité, ces acteurs de terrain sont et seront critiqués. Leur crédibilité passe sans doute par l’acceptation sereine du fait qu’ils sont chacun traversés par des préjugés (qui n’en a pas ?), et par leur capacité à démontrer qu’ils n’en sont pas moins ouverts au dialogue et à l’élargissement des perspectives.
S’il faut assumer l’absence d’unanimité, cela accroît le caractère sensible de la question de l’origine du financement des acteurs de la société civile. La question se pose aujourd’hui, elle continuera à se poser même après des élections acceptées par tous. Un État, qu’il soit malgache ou étranger, doit-il financer des organisations dont les actions peuvent être controversées ?
Ailleurs qu’à Madagascar, des ONGs comme Human Rights Watch ou le Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD) reçoivent des fonds publics, ce qui suscite l’ire de certains contribuables. Réciproquement, accepter ou non des fonds publics peut pour les ONGs représenter un dilemme.
Dans notre pays, la coalition des organisations de la société civile et les raiamandreny mijoro ont accepté des fonds des autorités actuelles. Ces groupes évoquent qu’il faut distinguer deniers publics et fonds du gouvernement. D’autres organisations, pas forcément plus crédibles qu’elles en matière d’indépendance, les critiquent pour cela, rappelant que qui tient la bourse a un pouvoir d’influence. Les deux arguments se défendent, et l’on se demande parfois si les positions auraient été inversées il y a quelques mois.
Coincée entre unilatéralisme des uns et négativisme des autres, la vie est difficile pour les acteurs de terrain. Le problème ne pourra pas être résolu dans l’urgence, mais il ne serait pas inutile de définir ultérieurement un cadre régissant plus clairement les relations entre ONGs et structures étatiques. Dans un contexte où l’information a parfois plus de valeur que l’argent, ce cadre pourrait inclure un droit d’accès à l’information qui permettrait une transparence à laquelle les aspirants bénévoles malgaches ne peuvent aujourd’hui que rêver.
Vos commentaires
– Oui, nous sommes tous fatigués, fatigués d’une crise trop longue, fatigués de l’impasse politique et économique où se trouvent aujourd’hui le pays et ses habitants.
Tout à fait !! fatigués des mensonges de radomelina kelifingotra lavanify !!
Tout à fait !! fatigués de voir radomelina kelifingotra lavanify duper , duper et toujours duper les Malgaches !!!
Tout à fait !! fatigués de voir le pays dans le gouffre !!!
Tout à fait !! fatigués de tout !! depuis que radomelina est là !!!
si au moins , il pense un peu aux Malgaches tsy manan-tsiny qui ont tout perdu et qui n’arrivent même pas à trouver de quoi manger
ON EST FATIGUE !!! SEULE SOLUTION , MIALA IANAO RADOM !!!
Le blocage n’est pas le seul fait de Rajoelina mon cher, soyons honnêtes !
Malheureusement pour nous, le GIC a donné une certaine importance aux 3 mouvances qu’il avait inventé si bien que ces dernières en profitent à fond pour bloquer la situation tant que Rajoelina ne daigne pas leur octroyer les avantages faramineux et vils qu’elles exigent (ministères et autres postes grassement rémunérés, belles voitures, amnisties,...).
C’est donc le GIC qui nous a mis dans ce pétrin et qui insiste dans ses erreurs.
Seule une élection peut résoudre une crise politique. Ne confondons pas neutralité avec inclusivité et consensualité ! Que la CI organise l’élection et que tout le monde se conforme à ses résultats.
La persistance du blocage actuelle ne profite qu’à la HAT (les affaires continuent) et aux leaders des trois mouvances (espèrent obtenir les avantages personnels sus-cités) mais point au peuple malgache. Que la CI pense au peuple malgache d’abord !
Désolé mais l’image qui vient à l’esprit est un taxi-brousse bloqué dans un cul-de-sac par un chauffard (l’auto-putscheur) qui a obligé le chauffeur (l’auto-putsché) a sauté par la fenêtre !!!! Devant lui, à sa gauche et à sa droite des murs (les 3 mouvances) : la seule voie d’issue est de revenir en arrière pour reprendre la route principale (consensuelle et inclusive) ! Et le chauffard d’annoncer que sans les 3 murs il serait déjà arrivé à destination !!!
3 murs imaginaires ou fictifs, oui ! invention célèbre du GIC tout comme cette route principale consensuelle et inclusive qui n’existe nulle part ailleurs. On voit bien que vous n’êtes pas pressé d’en finir.
Avançons chers amis, surtout pas de marche arrière vers les gabegies des 3 exs. Supportons encore un moment cette HAT, bientôt on n’en parlera plus surtout que Rajoelina ne se présentera pas à la présidentielle.
Efa ho lava ity tolona ity ka vizana ny sasany. MIfohaza ry Malagasy hoy ny antso re eny…..fa konga dia mbola matory isika ? EFa izao no manjo ity tanindranzantsika ity dia mbola fohazina foana ve isika Malagasy ? Efa mihinana ny tsy fihinana isika ary dia mijaly tanteraka ny mponina, dia mbola vao foazina ve isika ? Marina fa mampiasa hery sy basy ny fitondrana FAT, kanefa tadidio tsy mbola nisy tolona teto an-tany ka azo fotsiny tahaka izao. Tsy maintsy nisy ny ra latsaka ary dia tsarovy fa raha hanao « revolution » na » fanavotam-pirenena » na » fanovana mahery vaika » dia tsy miantsy mitolona ny herisetra ka tsy misy hafa tsy ireto : na ianao miharitra amin’ny tolona tsy aman-kery, (pasifika) izay tsy voafetra ny fotoanany, na ianao mitolona mampiasa hery ka manafaingana ny tolona. Rehefa tsy mandeha ny fifanmpidinihina dia tsy misy hafa tsy ny fampiasana hery koa no valiny mahery. Na hovaina ny tetika hitondran’ny mpanohatra ity tolona ity na koa dia hndamoka tsikelikely noho ny faharetany ny tolona. Efa vizana sy ketraka ny Malagasy. Jerevo ny fihetsika any Toleary. JIHE narahina kidnapping atao takalon’aina.Aiza re ianao Ra_Antananarivo e ! nosamborina Manandafy, Ihanta,Mapanao gazety, miaramila , pasitera sy ny sisa, dia mbola heverinao fa mandeha ho azy izy ity ? Rehefa tsy manaiky ny fandaminana tsy misy korontana ny andaniny dia aleo korotanina fa izay ihany no nataon ireo manongam-panjakana. Tao Afrika atsimo, foana ny Apartheid tamim-pilaminana, kanefa talohan’izany dia efa aman’alina ny maty sy voatifitra ary nahery vaika ny fanioherana. Koa alao hery ry Malagasy fa efa mby akaiky ny farany ary tadidio fa tolona ho an’ny tena fahafahana ity ary koa hoan’ny taranaka faramandimby. Tsy ny fampisehoan-kery no lehibe fa ny fasahiana mijoro amin’ny marina. Arovy anefa ny aianao sy ny mpiara-monina aminao raha sendra mampiseho ny herina ny FAT. Mijoroa , mitambara ary alao HERY fa tsy ho tafavoaka isika raha tsy mahatsapa an’io herinao io ny FAT. Izany no mahatonga azy misambotra etsy sy eroa mba hanademena ny tolona. Sambory izay misambotra, tifiro izay mitifitra, ajedao izy manajedaka….tsy fanaovan-dratsy akory no tanjona fa ny fiarovana ny FAHAMAARINANA eto amin’ny ity nosimalalatsika ity izay raviravin’ny tia tena sy mpivaorotra tanindrazana. Ry Malagasy o ! 50 taona tao anty fangirifiriana isika nefa nisy koa ny fanantena hatrany ary ankehitriny dia fotoana’ny fanovana sy fametrahana ny tena FAHALEOVANTENA izao ka tongotra mby an-dakana tsy mipody intsony. Tsy fotoanan’ny fifoazana intsony izao fa raiso ny ampinga dia doboy ny amponga ary ampanenohy ny anjombona…..
Maputo,marché de dupes,
Accords d’addis etc..,inapplicables et insensés
Coalition des trois anciens pour des « causes inavouables »
Maintenant,il y a un processus électoral en cours :
« MARCHE ou CREVE »
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
C’est un peu comme une gueule de bois qui perdure et vous force à trouver coûte que coûte le seul médicament qui calmera dans l’urgence votre douleur.
Ces contributions sont autant de remèdes de cheval administrés sans états d’âmes pour se donner bonne conscience. Je ne dis pas qu’il ne faille aider les plus démunis, mais le cercle vicieux des aides au développement induites par les cafouillages politiques me met mal à l’aise. La crise a cela de dangereux qu’elle suborne tout un tas de volontés et d’initiatives qui n’ont pas le loisir d’être exposées clairement. L’urgence de la situation provoque le déclanchement de remèdes sensés guérir, panser et soulager. Dans ce cas précis, il s’agit plus d’assistances imposées, donc subies en silence et avec reconnaissance SVP ! Voilà à quoi sont réduites les populations des pays assistés, aidés et subventionnés par l’industrie « ONGénique » moderne. Encore un ingrédient de plus à rajouter à la dépendance durable et manifeste des « petits » pays comme le notre.
Le malaise est qu’il y a tout un contingent d’organismes creux, fallacieux, voir louches qui gravitent et se gavent de cette manne. C’est une cuisine empoisonnée, servie par des commis peu scrupuleux au sourire carnassier et à la conscience en pointillé qui engendre à force, des comportements irresponsables et une addictivité malsaine.
Il me semble que l’ONU et les bailleurs de fonds traditionnels ont exigé la création de ces ONG pour remédier aux problèmes de corruption et d’inefficacité au niveau des administrations des pays en voie de développement.
Force est pourtant de constater actuellement que ce faisant, ils n’ont point solutionné les problèmes sus-cités, ils les ont tout simplement déplacés ailleurs (déshabiller Pierre pour habiller Paul). Pire, ces ONG sont souvent hors de contrôle alors qu’ils engagent des dépenses faramineuses sur le dos du peuple qui aura à les payer tôt ou tard.
Personnellement, je suis pour l’abolition de ces systèmes d’ONG et de rendre la gestion des projets à l’administration qui est plus facile à contrôler et à sanctionner. Je préfère de loin augmenter le nombre de fonctionnaires malgaches que de payer des salaires et des avantages exorbitants à des ONG qui, le plus souvent sont dirigés par des étrangers.
Votre position est étrange : - Vous reconnaissez que des ONG ont été créées pour pallier la défaillance des états à gérer les dons.
– Vous critiquez les ONG qui sont dirigées par des étrangers chèrement payés, mais généralement il y a UN dirigeant qui fait travailler pas mal de « locaux » !
– Vous oubliez de prendre en compte le fait que les états n’ont pas fait un pas dans la direction d’une meilleure gouvernance (selon la BM et le FMI et al.) mais vous demandez la suppression des ONG et le versement des aides dans le tonneau des Danaïdes précédent la création des ONG !!!
Ne vaudrait-il pas mieux tenter une autre voie, inexplorée jusqu’à présent ?
Comme par exemple mettre en place un système d’aides d’états bailleurs de fonds à des structures « privées » dirigées par des hommes et des femmes responsables ?
Il parait que Ra8 a bénéficié de prets de la BM pour lancer son affaire... ne serait-ce pas quelque chose a généraliser après avoir bien défini les conditions du contrat ?
Ne serait-ce pas une solution pour que les malagasy formés hors Mada puissent disposer de fonds pour lancer des activités créatrices de valeur ajoutée ?
Avec l’espoir de ne pas être muselés par les détenteurs de pouvoir de chefs à 1/32 eme de plume qui veut sa part du gâteau pour signer LE papier qu’il faut pour commencer a bosser...
Un pays indépendant ne devrait pas compter sur les aides internationaux pour subvenir à ses besoins fondamentaux ; D’autre part, cela ressemble à un emplâtre sur une jambe en bois : cela ne règle pas le fond du problème car sinon on le saurait. Que cela puisse se faire pour des urgences, à la rigueur je le conçois, mais cela fait 50 ans que cela dure !
Bonjour Patrick , effectivement la transparence est de mise si ces ONG veulent prouver qu’en tant qu’acteurs de terrain ils sont crédibles. On dit que plus un pays est pauvres, plus il y a d’ONG mais paradoxalement , on ne constate pas forcément de développement dans ces pays où les ONG s’accroissent.
L’accès à l’information est tout à fait d’une grande importance car c’est ce qui permettra à tous citoyens de juger l’efficacité de tel ou tel actions entreprises par ces ONG et par le gouvernement en place aussi. La transparence qui nous sera fournie par l’accès aux informations à tout public est surtout une arme qui permettra de lutter d’avantage contre la corruption à tous les niveaux.
Par exemple , en tant que citoyen, on ne peut que s’offusquer lorsque on nous subit tout un tas de problème à l’aéroport parce qu’on veut emmener un petit bibelot qui n’est même pas en bois de rose mais en palissandre alors que des opérateurs arrivent à exporter des tonnes de bois de rose à l’étranger.
Dans le pays du moramora, la presence des anciens dirigeants font rages les populations affamées. Mais on a besoin tjrs des leaders comme Andry et ses alliés pour preparer la finalité de la transition ! Il a beaucoup des hatifs mais on ne peut pas éliminer dans l’échiquier pour éviter les chaos !
La seule solution est l’élection !
« Dans le contexte actuel, l’ INFORMATION A PARFOIS PLUS DE VALEUR QUE L’ARGENT » conclut Patrick dans son edito . Bravo et Mille fois Merci pour cette remarque pertinente et surtout vraie et vérifiée...
Quid des vraies infos malgaches en cette période de crise ??Personnellement, je constate plus d’INTOX que d’INFOS ??!! La COI, le GIC, l’UE, bref la Communauté internationale ... essaient de nous sortir de cette CRISE POLILTIQUE sans nom et qqs fanatiques têtus et très partisans bloquent tout le processus de la réconciliation ?? Certains sont jaloux de voir l’ ancien Pdt élu Marc Ravalomanana et son épouse à la Tribune officielle lors de l’ouverture de la coupe du monde de foot ball en Afrique du Sud (chez les zoulous disent les mauvaises langues ??!!), d’autres observent qu’il est encore reconnu par la Communauté internationale hormis la France évidemment pour la devise du Général Galliéni : « Diviser pour règner » et la politique françafrique valables au siècle dernier !!
« Marche ou crève ! » dit Basile, formule célèbre du siècle dernier aussi.
Pour conclure, il nous faut tjrs du COURAGE pour réclamer un PARTENARIAT ET PLUS JAMAIS un PROTECTORAT (français, chinois,turc ,du Vatican, américain, pakistanais ,lybien , sud africain ou d’autres requins etc ....)
Vivement les éléctions libres et transparentes !!...AUX URNES CITOYENS POUR LES PRESIDENTIELLES ....
Wait and see...
Bonjour,
Que des USURPATEURS DES FONCTIONS, ils ne sont que des voleurs, menteurs….même pas HONTE.
Quand j’écris le passage….même pas HONTE…mon fils m’a dit, mais Papa, tu crois que DES USURPATEURS DES FONCTIONS, des voleurs et des menteurs vont avoir HONTES ??
Que je suis bête, je n‘y ai pas pensé…..la HONTE est un sentiment étrange , mais je peux vous dire ceci, quand on peut encore éprouver ce sentiment là, il y a de l’espoir…suivez mon regard….nous savons bien qu’il n’y a plus d’espoir….notre seul chance ce sera la DECOMPOSITION DE LA HAT, que cet mouvance pourrisse ….les URNES vont mettre à terme son existence….
La HAT me manque déjà, qu’Est-ce qu’on va mettre sous la dent si la HAT n’existe plus ???? Je me porterai bien sans elle tout même….
diégo
usurpateurs des fonctions
vous me faites penser à cet homme d’affaire arabe- nantais « usurpateur des allocations familiales ».
Vous n’avez que « usurpateurs des fonctions » dans la bouche, dès que vous vous réveillez.
A+
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Vous ne savez pas que j’ai 7 épouses ?
Si vous payez des impôts en France, dommage pour vous, une partie de vos impôts iront faire vivre mes amours et mes enfants…..Si cette situation vous choque, refusez des payer vos impôts à l’Etat français….vous connaissez la suite…
La France est un pays de droit et de devoir…..soyez tranquille, vous n’y risquerez pas d’avoir un coup d’Etat. Un petit DJJJ n’a aucune chance de renverser SARKOZY….dodo, dodo, dormez bien tranquillement Mr. aucun risque de tout cela….
HATISTES USURPATEURS DES FONCTIONS…..TSY MENATRA….mba mana na HAMBO RAGAHY A…..