Son mandat aura été d’une transparence inquiétante, encaissant tous les coups, sans en rendre aucuns !..
Ambassadeur humanitaire plus que politique, notre homme ne laissera pas un souvenir inoubliable dans l’histoire compliquée des bilatérales..
Il faut dire à sa décharge que son employeur a préféré jauger son Excellence dans ses nouveaux habits d’élu au suffrage universel, avant de prendre réellement conscience des dégâts..
Le « en même temps » a été scrupuleusement respecté par son ambassadeur avant que Paris ne se rende compte de ses erreurs de stratégie, piégée aussi, par une pandémie qui a monopolisé toutes ses attentions, ailleurs.
Même la conduite des plus atypiques de son Excellence, découvreur de perlimpinpin, n’avait pas suffisamment mis en garde, un pouvoir gaulois accaparé par un entre-soi, historique..
Bref, aujourd’hui, le temps des remords n’est plus d’actualité car celui d’un retour, à la diplomatie politique, est arrivé avec un nouveau ambassadeur, rompu, par ses expériences à Djibouti,à un contexte où les enjeux n’ont plus rien à voir avec un humanitaire, serpillière ..
Sera-t-il l’ambassadeur du prêté pour un rendu ?, on peut l’imaginer ou le souhaiter, afin de mettre un terme à des amabilités bilatérales dénuées, de toutes réalités !..