Répondre à un commentaire
Publicité
Articles populaires
Derniers commentaires
- Îles Éparses : la France garde le cap, Madagascar repart les mains vides - Bonsoir Malibuc.
Ça m’a tellement fait mal au cœur de voir cette photo (…)
Zora - Îles Éparses : la France garde le cap, Madagascar repart les mains vides - Rien de « démontré »
bekily - Îles Éparses : la France garde le cap, Madagascar repart les mains vides - Le rôle du dictateur c’est de laisser mourir de faim son peuple et quand il (…)
MALIBUC - Îles Éparses : la France garde le cap, Madagascar repart les mains vides - Ratsiraka était intelligent et surtout avait des convictions solides ! (…)
bekily - Îles Éparses : la France garde le cap, Madagascar repart les mains vides - Ministre Chevronné ?
Ministre chevronné ?
– Le fait même de les avoir (…)
bekily
{#URL_PAGE{archives}}
« L’an passé, les projecteurs du monde entier se sont braqués sur la grande île de l’océan Indien. Les agences onusiennes avaient baptisé la crise humanitaire « première famine climatique » . Une appellation commode, voire hâtive, pour admonester les responsables politiques mondiaux avant la COP26 de Glasgow, coupables de ne pas faire assez contre le réchauffement. C’était oublier un peu vite que la campagne médiatique avait été orchestrée, comme l’écrit la revue XXI, dans sa dernière livraison, par la présidence malgache, qui avait chargé une agence de communication française d’inviter les journalistes du monde entier à venir constater ladite famine. Une façon d’attirer aide humanitaire et financements… »
Source : Jean-Marc Gonin pour Le Figaro