Mieux vaut tard que jamais, le bon sens vient de siffler la fin de la récréation après plus d’une année de supercherie et autres branquignoles agitations stériles voir morbides à mettre en scène une potion, elle,héritée des meilleures dérives sectaires ...
Aujourd’hui, l’évidence semble rappeler à l’ordre un pouvoir qui a cru qu’il suffirait de dire pour que l’efficacité sera au rendez-vous de la croyance du gourou !...
Pour avaler son chapeau, son Excellence, stratagème multicartes, a dû faire preuve d’une multitude d’approches pour s’avouer incapable à gérer une crise sanitaire au risque, aujourd’hui,d’en devenir ingérable ...
Après avoir snobé une communauté internationale, notre repenti occasionnel se voit désormais contraint de quémander des vaccins en montant précipitamment dans le train vaccinodrome, lui qui, hier, pérorait en inaugurant un gallodrome,cherchez le grotesque !....
Sauf que dans ce domaine en particulier, Madagasikara a encore ce temps de retard à l’allumage poussif de son mécano en chef, qui avait préféré prioriser son égo à la prévention d’urgence en bon père de famille !...
Comme d’habitude, la prise d’otage du petit peuple aurait été une fois de plus l’enjeu d’une dérive de pouvoir qui offre ici, son premier crash retentissant mais certainement pas le dernier.
Considérablement affaibli par une année de fermeture des frontières et de l’exode précipitée de ses cadres étrangers le pays se voit doublement pénaliser par cette erreur monumentale de gestion d’une pandémie qui vient de ringardiser un CVO+ à ranger désormais dans les rayons de arnaques qui feront dates !...
Mais au-delà de ce constat accablant, la question de la gestion d’état est à se poser dans la mesure où lorsque l’on se plante avec un tel acharnement politicien, on peut se demander si les capacités gestionnaires de son Excellence ne seraient pas toutes de la même trempe, à savoir : à côté de la plaque au nom d’une émergence passéiste et visiblement autodestructrice !...