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Bonjour akam,
Madagascar n’échappera pas à la réalité, scientifiquement vérifiable, que pour développer, lutter contre la pauvreté, l’injustice, et moderniser un pays :
il faut des investissements étatiques, massifs, accompagnés par la suite par des investissements publics-privés.
Les problèmes en Afrique et à Madagascar et d’une manière générale, dans les pays sous-développés, sont :
des problèmes d’économie d’entreprise, d’investissements, et de recherche.
Ce sont les grands investissements qui permettent d’assurer les besoins du pays dans plusieurs domaines, électricité, des infrastructures....etc....la création des entreprises individuelle, société de personne et société par actions, Mécaniquement, qui permettent la création donc des plusieurs emplois, et la création des mécanismes d’échanges entre l’entreprise individuelle, la société de personnes et la société par actions, qui font défaut dans le continent africain par exemple.
Les premiers partenaires économiques des pays africains ne se trouvent pas en Afrique. Des Européens, Asiatiques, Américains etc....
L’Afrique ne se développerait pas si les pays africains étaient incapables de créer, au moins, des marchés économiques qui répondent immédiatement aux stricts besoins des peuples africains....développement des circuits courts par exemple.
Il est inconcevable que l’Afrique puisse souffrir de la famine par exemple. L’Afrique a un problème d’énergie, inconcevable.
On voit au Mali que les pays limitrophes essaient de régler une crise politique interne, qui si elle s’aggravait, elle toucherait tout le monde. Une bonne chose.....
A mon sens, les recettes sont connues pour sortir de la pauvreté, de la crise politique récurrente. On connaît parfaitement aussi les conséquences néfastes d’une défaillance et manquement politique.
Mais on choisit perpétuellement la fatalité.
C’est un choix que la majorité des politiciens malgaches font et semblent assumer jusqu’ici, avec les résultats et les conséquences qu’on connaît.