>> Les causes de cette crise sont multiples. Les aléas climatiques récurrents – sécheresse, cyclones et inondations – ont compromis les récoltes et réduit les surfaces cultivées. Les infestations acridiennes et les attaques de ravageurs ont aggravé la baisse des rendements agricoles. Parallèlement, l’inflation persistante, la hausse des prix alimentaires et l’isolement de certaines zones limitent fortement l’accès des ménages aux marchés. À ces difficultés économiques s’ajoutent des conditions sanitaires dégradées, notamment le manque d’eau potable et d’infrastructures d’assainissement. <<

Ah quel bel exemple du cépamafautisme endémique !
Les causes sont bien listée et bien entendu aucune n’est liée à la gabegie humaine.. !
Pourtant chaque cause peut et devrait faire l’objet de mesure(s) de mitigation.
Mais l’état d’esprit qui prévaut est de systématiquement penser que c’est de la faute de l’autre, et on reste à l’ombre sous l’arbre à kabary en attendant les sous venants de l’étranger.

>>> À travers cette analyse, l’IPC appelle à une mobilisation accrue des acteurs nationaux et internationaux pour prévenir une détérioration encore plus dramatique de la sécurité alimentaire et protéger les populations les plus vulnérables, en particulier les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes. <<

Tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se casse.