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Une réunion de travail s’est tenue hier au palais de Iavoloha avec une mission du Fonds monétaire internationale (FMI) et les membres de l’Exécutif dans le cadre de la revue des programmes de Facilité élargie de crédit (FEC) et de Fonds pour la résilience et la durabilité (FRD).
La publication d’un décret sur le mécanisme d’ajustement automatique mensuel des prix des carburants pour le second semestre 2025 et la finalisation du plan de redressement de la Jirama sont demandées par le FMI. Ce plan inclut la maîtrise des pertes techniques et commerciales, l’optimisation de la production et la réduction des coûts. Une obligation que doit remplir Madagascar avant de soumettre son dossier auprès du Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) en vue d’obtenir le déblocage des prochains financements de cette institution financière.
Accusée de mauvaise gestion, la Jirama continue de bénéficier des subventions de l’Etat chaque année à hauteur de 150 à 250 millions de dollars en raison des pertes accumulées dans son exploitation. Cette entreprise publique fait face à des coûts de production d’électricité élevés, variant entre 25 et 30 cents par kWh, alors que le tarif de vente moyen se situe entre 10 et 15 cents.
Le redressement de la Jirama reste une priorité pour le FMI. Son déficit financier pèse lourdement sur les finances publiques et freine la croissance économique du pays. Le FMI a toujours insisté sur l’importance d’une restructuration efficace pour garantir un approvisionnement énergétique stable et maîtriser les coûts pour l’État et à un renforcement des processus de gestion budgétaire et d’investissement public.
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Vos commentaires
Redresser Jirama = reanimer un mort (maty tanteraka !)
D’un côté, je suis sûr qu’en haut lieu, ils font tout pour laisser couler la JIRAMA dans le but de le privatiser, avec comme excuses les recommandations des bailleurs.
En continuant ainsi, sans mesures fortes et douloureuses de la part de l’Etat, complice de la situation, impossible de redresser cette entreprise : gangrenée par la corruption, par la gabegie, par l’incompétence. L’Etat et les bailleurs auront beau injecter des millions et des millions de dollars, cela n’aura aucun effet.
Le démantèlement de la JIRAMA par lot, c’est pour bientôt. Les vautours (suivez mon regard...) sont déjà prêts pour se jeter sur le cadavre, notamment sur les lots Tana et Tamatave, facilement rentables dans une gestion saine.
Un ETAT « NORMAL » stratégiquement ne privatise jamais sa production énergétique.
Mais en fozaland , effectivement on peut s’attendre à une ineptie de plus ou de moins.
Comme le fait même de laisser passer le dossier minier de TULEAR :
– en ce fait qu’une USINE PUISSE FONCTIONNER AVEC une NAPPE PHRÉATIQUE !!!!!
– Surtout dans une RÉGION semi-desertique, en etat de SÉCHERESSE CHRONIQUE,
SOUVENT FRAPPÉE PAR DES FAMINES
MEURTRIERES
( le KERE)
– en snobbant carrement le pire à venir : le dérèglement climatique avec sécheresse aggravée....
– les fozas ne sont pas des hommes d’Etat , on le sait malheureusement,
Mais là :
***ILS TOMBENT VRAIMENT SUR LA TETE
RIEN QUE PAR LEUR VEULERIE !!!!
*** peut être aussi avec un handicap sérieux à être imaginatif ...
*** sombrant dans la médiocrité de leur avidité sans fin.
Madagascar à tant d’atouts naturels qui lui permettraient de devenir un PAYS EMERGENT comme les Seychelles ou comme l’ile Maurice !
Ou même le Maroc,
Ou même le Vietnam qui avait subi 30 ans de guerre !
Si les intellectuels pouvaient EXERCER DE VRAIES RESPONSABILITÉS :
....sans devoir aller à la soupe et travailler de manière dogmatique mafieuse.
...ou être condamnés à l’exil
ICI C’EST MADAGOUGOU FRANCAFRICAINE ET MAFIEUSE !
Salama djiaby
Ah mais on a un nouveau directeur (une idée « lumineuse » de génie !) tout comme AM « ça plane pour moi » ...
N’ est-ce pas le FMI qui les a imposés ???
Quant on voit le sourire en coin du crétin satisfait, l’ interlocuteur devrait être assuré qu’ il peut débloquer le vola, les « garanties » seront à la hauteur de ceux qui y croient ...
Juste pour feindre demander des exigences avant d’ endetter encore un peu (mr le bourreau) le Pays, et le pire c’ est que ces « gens » (fucking bastards) le savent pertinemment !