Sa mère avait envoyé J., une jeune fille de moins de 15 ans, acheter du riz un matin d’octobre. Pourtant, la première a dû attendre presqu’une éternité le retour de la petite commissionnaire. Finalement, celle-ci n’a pointé son nez à la maison que le soir aux alentours de 17h. Très fâchée, la mère de famille l’a interrogée sur les motifs de cette absence trop prolongée. Si au début l’enfant a hésité à raconter ce que lui était arrivé, elle a fini par parler. Et la situation tant redoutée par les parents d’une fillette comme J., qui n’est autre que le viol, était donc vécue par celle-ci. Et il semble que l’homme qui a défloré J. s’appelle Emmanuel. Sans aucune hésitation, le présumé coupable de viol a été dénoncé aux autorités par les parents très emportés. Lors de l’enquête, la victime a déclaré avoir été entraînée par le coupable dans les broussailles et forêt d’eucalyptus. Et c’était là qu’il a consommé l’acte, cette journée du 10 octobre 2004. D’ailleurs, le certificat médical attestait cette perte de la virginité chez l’adolescente. Pourtant, le verdict du procès qui a eu lieu dans la semaine précédente a surpris. Ledit Emmanuel, qui a d’ailleurs nié les faits jusqu’au bout, a été relaxé au bénéfice du doute. A noter que celui-ci était connu comme marchand ambulant à l’époque.
Antehiroka
Violée dans la forêt d’eucalyptus
lundi 18 août 2008 |
| 3408 visites