Nous avons aujourd’hui le très grand plaisir de vous proposer la traduction en malgache du poème « If » de Rudyard Kipling, réalisée par la poétesse Antso. La manière dont elle a retranscrit la lettre et l’esprit du texte de Kipling fait de ce texte un véritable chef d’oeuvre, qui est sans nul doute la meilleure traduction malgache existant à ce jour de ce poème.
Raha
Raha hitanao rava ireo natsanganao rehetraNefa ianao tsy mitaraina fa milofo kosa hanarinaNa koa very poa toy izay ny harem-be tsisy fetraNefa tsy nasianao sento na fihetsika mamarinaRaha hainao ny mitia nefa tsy very sy milentikaRaha hainao ny ho mafy saingy halefaka fanahyNa koa ankahalaina ka tsy valifaty hitetikaSaingy hiady hiaro tena tsy mba misy ahiahyRaha hainao ny mizaka ny handre ’reo teninaoNaolan’ireo fositra handranitany ny adalaSy handre ireo sotasota tantarainy momba anaoNefa ianao tsy handainga na dia teny iray azaRaha hainao ny mihaja sy mamy hoditra an-tanànaRaha hainao olon-tsotra ny hanolo-tsaina ny MpanjakaSy hitia ireo sakaiza ho lasa iray tam-po malalaKa tsy hiangatra ianao ka hanao toetra tsy zakaRaha hainao ny misaina, mandinika sy mamantatraSaingy kosa tsy ho kivy na sanatria handrava efaHanonofy fa tsy andevon’ireo nofy tena fatratraHisaina hatrany saingy koa hanan-karazana traikefaRaha hainao ny ho hentitra nefa kosa tsy hisafoakaRaha hainao ny hoe sahy nefa atao am-piheveranaRaha hainao ny tsara fanahy, ka fahendrena no miloakaTsy hananatrana-poana na hiebo hoe avo toeranaRaha tojo anao ny Fandresena dimbin’ny FaharesenaKa tsy nihontsina ianao raha nofitahin’izy ireoRaha hainao ny manovo herim-po ka tsy mivenaNefa ireo hafa ankoatra anao lasa adala, mitoreoDia ireo Mpanjaka, Andriamanitra, Vintana sy FandresenaHo doria, tsy misy fetra, izy ireo dia homba anaoFa soa noho ny Voninahitra sy ny Satro-bolamena…Etsy anie ry sombinaiko : ho Olom-banona ianao !
If de Rudyard KIPLING (1865 – 1936)
Traduction de Antso
Vos commentaires
Misaotra anao ny tenako ry Antso, efa ela ihany no namakiana ny tolotrao eto mandamina ny saina no sady mametsovetso ny fo, fà dia feno hahafalina indray ny fo mamerimberin’ny ity tonokalonao vao maraina ity.
Tsapako tokoa fa fahasambarana tsy voakajy velively ny fahaizana mandahatra teny toy ireo nomenao ireo, ary fahasambarana ho anay mpankafy ny mitelina azy mba isainana, mainka moa fa « poétesse » ny mpanolotra...tsy misy anampina intsony, fa ho ela velona anie ireo teninao ireo ry Antso, ary matokia fa voavaly foana ireo antsonao ireo raha sendran’ny masoko.
Je ne peux m’empêcher de fredonner en même temps le « if » de Stevie Wonder...
Merci à M-T de varier la trame des éditos, un peu de poésie et de légereté dans ce monde de brutes...les mots ont ce pouvoir souvent brutal de caractériser l’esprit, d’encenser immédiatement la sensibilité enfouie, cachée.
Les mots du matin, conservation d’un état d’hier et reliquat de rêves déja oubliés,
les mots du soir gros pourfendeurs d’inachevées chevauchées qu’on aurait voulu plus ardentes,
les mots de la joie couleurs primaires des émotions et balbutiées par onomatopées,
les mots de la rancoeur avariés par l’acide malsain de l’ulcère en devenir,
les mots d’amour sublimés par l’oeil humide et la langue sèche,
les mots de la foi abrégés par le regard profond d’où scintille la lumière,
les mots du jeu provocateurs et vifs de l’espoir de toucher la mise,
les mots de la colère noirs, blessants pire qu’un poing serré
les mots de la douleur incapables de sortir derrière ces dents cadenassées et bleuis jusqu’à l’âme
les mots de satisfaction cherchés pour marquer le moment, jamais satisfaisants en eux-mêmes
les mots de l’esprit carrefour de réflexions senties comme vitales pour l’irrigation de l’âme
les mots, les mots...moteur du moi profond, vecteur d’esprit et révélateur de l’âme.
Laissez un mot...on repassera.
Merci à Antso et merci aussi à Da Fily qui aime laisser filer les mots !
Mankasitraka fa tsara dia tsara ny nandikana an’i « IF »
A Da fily & Co,
...encore des mots toujours des mots,les mêmes mots, rien que des mots
...merci, pas pour (moi) nous les 80%, mais vus pouvez bien vous les offrir à vous-mêmes, qui aiment LE VENT pour nous caresser et nous endormir
PAROLES PAROLES PAROLES !!
YO rabri, et vous répondez avec quoi là ? Avec vos pieds ? Ou des castagnettes, des mimiques geignardes ou encore des rôts vides de toute émotion ?
Seriez-vous seulement capable d’un tant soit peu d’élévation ou d’un simple nuage d’insouciance (même furtif), de détachement ? Au lieu de persister à subir terrestrement votre pesanteur, vos rides et l’attirance pour votre femme ? Tssss, condition de coincé sur la planète, assouvi de vary masaka ou de dentifrice mentholé, à l’extrême rigeur quelques bouts de masikita vous feraient le seul bien qui vaille à votre panse, la vessie elle s’enorgueillira de litrons de THB !
Parole de cruciverbiste voltairien !
Chacun ses « maux » , Da Fily ,encore 1 mot : merci .
Le pays ira bien loin avec un tel « produit » issu du croisement d’une poète anesthésiste et d’un prêcheur évangélique, rien qu’à tendre un peu les oreilles quand on zappe de chaine en chaine de radios au pays depuis qque temps : les malgaches sont-ils condamnés à être passifs avec tous ses discours anesthésiants ?? Sur ce forum, ça fait plus de 2 ans qu’on lit les mêmes litanies d’un certain Da fily sans proposition concrète pour les malgaches
Salama vao : Tena tsara be : TRAFON-KENA HOME-MAHERY E ....... !! ??? Samy ho tahin-Zanahary sika jiaby.
La traduction est réussite...Je ne connaissais pas ce poème.
Merci énormément du partage. Ny fifampizarana mitambatra amin’ny fihavanana mitondra ny fitiavana. Ary ny fitiavana no zava-dehibe indrindra raha te ho tonga Olom-banona.
Mankasitraka mankatelina tompoko ô.
ps : ce poème est la traduction de la traduction française faite par André Maurois en 1918, elle même la traduction de l’original de Kipling...mais l’essence même y est donc encore félicitations.
Le pingouin aliéné mental vous salue tous, les sachants, savant et leurs progénitures,
Donc le « If » a été traduit en « Raha ». Bien !
Mais pour quoi faire exactement ? Qu’est ce qu’un « If » peut apporter à la tête des pingouins de notre espèce ?
Da fily et ses sbires se rejouissent d’une chose qui n’a, pour eux, d’aucune valeur. Je m’explique, pour ces sachants, savants, des intelligents, le message véhiculé par le « If » n’est rien d’autre, pour eux, qu’un simple anneau d’or au groin d’un porc....eux, qui sont censés assimiler autant de valeurs mais qui, par méchanceté congéntiale, ont tranformé celles-ci en une vilénie indispensable pour abrutir leurs propres compatriotes.
Bref, voilà une prétendue « poésie » que ces roublards patentés cherchent à mâcher afin de nettoyer à grand jet d’eau leur haleine de Hyènes sentant l’odeur des cadavres, pour mieux attirer leur proies vulnérables.
Parlons ouvertement et cessons de tourner autour du pot et de se cacher derrière le « If » pour camoufler votre intention à vouloir maquiller Papa Africa dans chaque ligne afin de booster le libido en berne depuis 2009 de vos amis.
Hao ! Hao ! Hao ! Hao ! le pingouin aliéné mental est Mort de rire ! Hic Hic Hic
Et voilà comment on transforme les belles choses en quelque chose de hideux:la Haine ! HATe puisqu’on est parti d’un beau texte anglais.
Merci Edos de nous ramener à votre médiocre réalité !
Tant qu’il y aura des hommes ... comme vous, l’espoir d’une réconciliation ne peut vivre.
La superbe fluidité de ce texte alliée à son extraordinaire fidélité à la version française d’André Maurois (ci-dessous) tirée du célèbre poème de R. Kipling (également ci-dessous pour ceux qui ne le connaissent pas) fait de ce énième poème de Antso un véritable chef-d’œuvre dans le sens le plus fort du terme.
Chapeau bas l’artiste, j’adore !
Si Dox avait été encore là avec sa version à mon sens un peu alambiquée (ci-dessous également), il aurait été sûrement ravi de féliciter Antso pour cette magnifique traduction empreinte de fraîcheur.
Sans rire, il faudrait mettre ce poème au programme de l’enseignement du malgache dans toutes les écoles pour apprendre à nos mômes les vraies valeurs de la vie. Et, pourquoi pas, l’encadrer sur tous les murs de nos édifices publics pour rappeler à certains de nos hommes politiques si retors, si véreux, si veules, en un mot : si détestables, les idéaux et les concepts dont ils devraient s’inspirer pour mériter de représenter et diriger la Nation malgache tellement mise à mal par leurs innommables et infinies turpitudes.
Quant à « nos « amis » Rabri et autres Edos, je crains qu’ils n’aient pas vraiment leur place dans ce genre d’exercice : ils n’ont rien compris ! Car Antso n’est pas seulement une poétesse. C’est aussi, et peut-être même avant tout, une militante authentique pour les bonnes causes. Voici quelques années de cela, j’ai eu le plaisir de mener avec elle et quelques autres bons amis une importante action « humanitaire » consistant à collecter pendant des mois des matériels informatiques et des ouvrages pédagogiques pour une école et une bibliothèque malgaches. Cette opération a été menée à bien et la seule réaction qu’ait eue un forumiste, sous couvert du trop facile anonymat des forums, était alors de dire : « à combien allez-vous les revendre sur les marchés noirs de la capitale ? ».
On peut comprendre pourquoi il est si difficile de faire avancer le pays avec une telle mentalité !
Tu seras un homme, mon fils
André Maurois (1918)
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.
If…
Rudyard Kipling (1910)
If you can keep your head when all about you
Are losing theirs and blaming it on you,
If you can trust yourself when all men doubt you.
But make allowance for their doubting too ;
If you can wait and not be tired by waiting.
Or being lied about, don’t deal in lies,
Or being hated, don’t give way to hating,
And yet don’t look too good, nor talk too wise :
If you can dream -and not make dreams your master
If you can think -and not make thoughts your aim
If you can meet Triumph and Disaster
And treat those two impostors just the same ;
If you can bear to hear the truth you’ve spoken
Twisted by knaves to make a trap for fools.
Or watch the things you gave your life to broken,
And stoop and build’em up with worn-out tools :
If you can make one heap of all your winnings
And risk it on one turn of pitch-and-toss,
And lose, and start again at your beginnings
And never breathe a word about your loss ;
If you can force your heart and nerve and sinew
To serve your turn long after they are gone,
And so hold on when there is nothing in you
Except the Will which says to them : « Hold on ! »
If you can talk with crowds and keep your virtue,
Or walk with Kings -nor lose the common touch,
If neither foes nor loving friends can hurt you,
If all men count with you, but none too much ;
If you can fill the unforgiving minute,
With sixty seconds’ worth of distance run.
Yours is the Earth and everything that’s in it,
And -which is more - you’ll be a Man, my son !
RAHA …
Raha hatrehinao rava ny asa nahafaty aina
Ka ezahinao arenina tsy asiana sombin-teny
Raha maty loka zato, eo no eo, ka tsy hangaina
Tsy hiraika ianao, tsy hiontsina na hisento akory, eny
Raha vazo ianao kanefa tsy ataom-pitia adala
Rah mahery fo kanefa ho mora fo amin’ny osa
Raha mahita fa ankahalaina, nefa tsy mba hankahala
Sainga hiaro tena kosa
Raha zakanao ny handre ny teny ataonao
Ovain’ireo ambany saina, handromotana ny adala
Sy handre ny osoka sahin’ny vava-dratsy atao
Nefa ianao tsy handainga na hanao ny lainga ho bala
Raha mahay mihaja ianao nefa ataom-bahoaka hihosenany
Ary hainao ny ho vahoaka rehefa hanoro ny mpanjaka
Raha mahay mitia ny sakaiza ho tena rahalahy tenany
Ka handray azy ireo tsy amim-pihangarana
Raha hainao ny mandalina, mandinika sy mahalala
Kanefa ianao tsy ho mpisalasala na ho mpandrodana
Manonofy kanefa tsy ho ny nofy no hahadala
Misaina ka hitoetra ho mpisaina fotsiny amin’izao
Raha hainao ny ho henjana nefa tsy ho am-pirehetana
Hanam-pahatsorana kanefa ho mailo hatrany
Raha hainao ny ho mora fo sy ny hanam-pahendrena
Ho mpananatra kanefa tsy misaina ho be saina
Raha tojo fandresena aorian’ny faharesena
Ka tsy nisy nahasarika ny sainao avy izany
Mihazona ny herim-po, herin-tsaina tsy terena
Ny rehetra very hevitra, very saina loza an-tany
Dia indro ny mpanjaka, ny ivavahana, ny vintana, ny fandresena
Ho indray ho anao hatreo
Ary mihotra noho ireo, ny halaza dia ny ekena
FA LEHILAHY ianao izao
IF … R. Kipling - Dikan-tenin’ i Dox (Jean Verdi Salomon RAZAKANDRAINA)
RRabetafika, merci pour avoir donné les 3 versions linguistiques de ce très beau poème.
il est certain que rabri ne peut en comprendre le sens profond, c’est trop pour sa cervelle d’ écrevisse. il ne connait que le langages des kalachs.
jacques
Pour les amateurs de poésie, et les lecteurs ordinaires, consulter : http://poezibao.typepad.com/
La poésie est un refuge certain en période de crise.
Il est presque sûr que de nombreux textes, très profonds, sont écrits en ce moment à Madagascar.
Y compris par des militaires.
Jacques,
Je vous invite à venir avec moi sur le terrain réel et vous lance un défi qui de nous deux trouvera des solutions pour mes compatriotes. Je sais d’avance que vous allez perdre car vous êtes obsédé de vos contrôles comptables sans rien comprendre à l’inspiration réelle de la société malgache la plus représentative.
Ce n’est pas en ruminant à partir des fausses informations et des rumeurs de vos amis GTT que vous puissiez réellement comprendre la situation actuelle des malgaches
rabri, il est vrai que lorsque j’habitais Tana, sous Ratsiraka, je passais tout mon temps dans les états financiers et les listings (y compris dans les agences en province). mais, je profitais quand même de moments de détente, et je vadrouillais à droite et à gauche.
en 2006, je suis descendu au pays, et j’ai constaté les changements profonds des endroits que j’avais fréquenté. ma famille et des amis, ont subi de plein fouet la crise causée par le putsch.
dernièrement la famille m’a fait parvenir des photos des mêmes endroits dévastés maintenant. la reconstruction sera difficile et onéreuse. le peuple malgache est trop pacifique, voir laxiste, pour supporter les mauvais coups depuis 30 mois.
les liens que je mets ne proviennent pas du GTT, mais d’organismes reconnus et indépendants. je lis Madagate, avec ses mensonges.
bonne soirée,
jacques
PS : après cette crise, nous aurons, je suis sur, l’occasion de prendre un café.
Hic Hic Hic, le pingouin aliéné mental vous re-salue,
Bien sur RRabetafika, les pingouins de notre espèce n’ont effectivement rien compris, PTDR ! Vous, en revanche, vous avez tout compris et vous avez raison. On comprend mieux pourquoi 50ans après l’indépendance Madagascar est toujours dans cet état...Qui ont donc compris ? Hic Hic Hic...
Cela ne sert à rien de mettre ce genre de poème au programme de l’enseignement, arrêtez de fumer de l’herbe, déjà commencez à comprendre l’absurdité de soutenir un laitier voleur comme homme politique méritant de gouverner un pays de 20 millions d’âmes comme Madagascar, il n’y a pas que le DJ, le déchu est tout autant médiocre.
Parfois, je me demande, si les sachants sont vraiments des sachants à voir le piteux niveau intellectuel qu’ils ont car approchant vraiment le notre, les pingouins aliénés mentaux.....
Nous, pingouins aliénés mentaux attendent de vous une reflexion sérieuse, des solutions concrètes, des arguments pointus concernant le problème de Madagascar et non de nous bassiner avec votre pathétique étalage de connaissance livresque ou encore avec votre auto-flaterie ridicule....
Saludo hombre...le pingouin aliéné mental
merci a notre cher Ndimby, d’avoir l’élégance de relayer la page « Antso » de cette infatiguable blog..gueuse,
http://prettyzoely.wordpress.com/antso
http://fijery.wordpress.com/2011/08/26/raha-traductionde-si-de-kipling/
http://fijery.wordpress.com/2011/08/26/raha-traduction-de-si--de-kipling/
Pourquoi ne puis-je pas toujours rêver ?
Et pouvoir y croire comme étant la réalité
Ainsi, me réel ne serait plus de « si »
Et j’accepterai comme compère un aussi fou que moi, cet hat de rabri !
Pourquoi n’ai je pas la foi et être sot pour savoir croire,
Pourquoi dans mon désarroi, ne pas vouloir leur pouvoir
Si je pouvais m’oublier, j’aurai accepté ces « si »
Et sans être obligé, m’agenouiller devant rabri
Mais le monde est ainsi, qu’il soit bien ou mal fait
L’homme qui s’accepte accepte la réalité
Que cette réalité est intérêt pour les sans conscience comme rabri,
La roue toujours tourne, demain plus vite qu’aujourd’hui !
..et Mr kontondrasoa aussi s’y met...!!!
laissez nous quand unpeu du bout de la moquette...!!!
c’est pour rire ....sans rancune....vous avez du talent...!
Misaotra anao manokana da fily amin’ny fizarana ny fihetsem-ponao am-pahatsorana, mankasitraka ihany koa.
Raha samy miezaka ho olom-banona avokoa ny tsirairay dia angamba ho hafa mihitsy ny fomba fijery sy ny fomba ifandraisantsika mianakavy. Eny fa na tsy mitovy hevitra aza dia hifampitsimbina sy hahay hiara-hiasa.
Les mots paraît-il sont des fenêtres ou sont de murs…
Certains préfèrent s’exprimer dans le calme, d’autres en criant, d’autres encore préfèrent les rugissements aux mots, quitte à franchir le mur du çon… Il faut de tout pour faire un monde…
Belel manière de constater que la çonnerie est largement et uniformément répartie autour du globe.
Antso, êtes vous partie de la version anglaise, ou la traduction française pour votre œuvre en Malgache ?
Merci à « Madagascar Tribune » d’avoir publié ce poème de Antso « Raha » (traduction de « If » de Kipling).
C’est en lisant et relisant attentivement ce fameux poème de Rudyard Kipling, interprété et traduit librement dans des langues différentes, que l’on remarque les nuances et subtilités particulières de chaque langue, ainsi que la prespicacité de chaque auteur-interprète et poète.
Merci Antso pour votre « ANTSO AVO ! ».
Et dans cette même perspective, il serait assez futile de notre part de vouloir comparer laquelle de toutes ces versions est la meilleure, car chaque auteur a sa manière d’exhiber distinctement son talent, tout en restant fidel(e) à l’œuvre originale comme il se doit.
SI, RAHA… IF, l’important c’est de constater que le même message est toujours ressenti à travers le temps, les frontières, les auteurs, les divers états d’âme, et les plumes… jusqu’à nos jours... et au gré des lecteurs…
SI nous prennons le temps d’aborder ce genre de lecture avec une ouverture d’esprit universelle, alors c’est aussi rendre honneur aux auteurs qui ont su nous partager leur vision et leurs nobles sentiments.
RAHA izany tokoa moa no fomba entintsika manatrika izao krizy tena mavesa-danja sy manahirana izao ohatra, dia mety hampiova ny fomba fisainana mba hitsinjovana ny ho avin’ny Firenena sy ny mponina ao
aminy.
IF only half or part of Kipling’s message in his poem then, can be absorbed by some and more of us today, then there’s more chance for us to translate that “IF” into our ways of thinking and life nowadays. But again,
it’s our choice !
BemioVah / InfoKintana.
Ne polémiquons pas sur un sujet où il n’y a rein à polémiquer..!
Une malagasy a fait l’effort de donner une version d’une oeuvre connue mondialement..
Dox a déjà donné sa version..une jeune génération ,Antso,en a fait une autre...c’est joli..et fait réflèchir certains d’entre nous..
merci à Antso,une poétesse..et MT...
rabri..la culture fait partie de notre richesse..
quand je constate que certains ont du mal à s’exprimer dans leur tenindrazana..c’est quand même malheureux...
aller ...pour ma part je relirai attentivement cette strophe..c’est comme ça qu’on dit..!?
"Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;"....!!!!!
Hic Hic Hic, le pingouin aliéné mental, vous resalue encore,
Voilà encore une occasion pour ces vaniteux de culbuter l’opinion vulnérable.
Et ben oui, « Si », ils vous bassinent avec le « Si » traduit et re-traduit pour endormir la populace, et une fois endormi ils actionnent leur mentalité et culture favori : Ikotofetsy. Et là, ils vous pètent sur la figure. Hic Hic Hic, ils croient encore que le peuple malgache sont ces animaux à quatres pattes qui broutent les herbes, fruits de leur méchanceté....
Réveillez vous, Il ne reste plus que des pingouins aliénés mentaux, et Dieu sait combien ils comptent vous tenir tête...
Ah, quel pays !!!!!!