On se doutait dès l’issue de la réunion du GIC le 6 janvier dernier que l’objectif de la mission de Jean Ping à Antananarivo ne serait pas de réunir autour d’une même table les différents protagonistes de la crise malgache, mais de tenter de proposer de manière séparée aux différentes mouvances un compromis élaboré ce jour là.
C’est donc ce qui a été fait hier Jeudi. Théoriquement le texte est secret, et les différentes parties sont tenues à la discrétion ; mais bien évidemment, ce serait prendre les différentes parties malgaches pour les saints qu’ils ne sont point que d’imaginer que des fuites savamment orchestrées n’auraient pas rapidement lieu.
Se laisser aller à croire que ces fuites sont totalement désintéressées serait également imaginer que ceux qui nous tiennent lieu de politiciens sont des ingénus bienfaisants. On se gardera donc prudemment de tirer des conclusions trop empressées [1] sur la nature réelle des propositions contenues dans ce texte.
N’ayant pas réussi à trouver la baguette magique nous permettant de nous métamorphoser en petite souris pouvant se faufiler discrètement au Carlton et à Ambohitsorohitra, nous n’avons pas les moyens de savoir si ce qui est rapporté des commentaires échangés reflète fidèlement les propos ou pas... Plus gênant, nous n’avons pas encore accès à l’intégralité du texte pour pouvoir peser de manière indépendante ce qui y est écrit, mais aussi ce qui n’y est pas écrit.
Des petites phrases échangées par les uns et les autres depuis quelque temps, on pouvait déduire que si tout le monde était d’accord pour aller à des élections, la nature de celles-ci divisait. Si le camp Rajoelina avait mis en avant des législatives, celui d’en face entendait passer d’abord par des présidentielles ou un référendum permettant de trancher sur le cas Andry Rajoelina. Les propositions du GIC tentent apparemment de ménager la chèvre et le chou, en proposant la tenue simultanée des élections législatives et présidentielles avant le mois d’Octobre. Ces élections seraient cependant précédées d’un référendum constitutionnel.
Par contre, on ne sait finalement que peu de chose de la recette mystérieuse qui a été concoctée pour tenter d’obtenir un minimum de consensus pour en arriver jusque là. Pas plus que n’importe qui, les diplomates n’aiment se déculotter publiquement ; ce n’est donc pas une surprise si les propositions sur papier reprennent la plupart des dispositions prévues antérieurement : gouvernement Mangalaza, Président, Co-Présidents (de quoi précisément ?), Congrès, Conseil de Réconciliation Nationale... Reste à deviner dans le non-dit les points qui seront jugés essentiels et ceux qui pourraient perdre de leur substance pour tenir compte des évolutions récentes.
Nous avons déjà dit à plusieurs reprises tout le mal que nous pensions des attitudes de négociation qui prévalent chez les politiciens malgaches. À force de chercher à prendre de petits ascendants tactiques, ils semblent en perdre tout sens de la stratégie. Entre fausses postures et vraies crispations qui en découlent, on en perd pas mal de lisibilité et surtout énormément de temps. La persistance de ces mauvaises habitudes était illustrée hier par la présence d’un Fetison Rakoto Andrianirina, théoriquement sous le coup d’un mandat d’arrêt décidé par un juge « indépendant », qui entrait et sortait tranquillement de l’hôtel Carlton au nez et à la barbe de forces de l’ordre ; celles-ci étaient sans doute trop occupées à jouer à « Police Voleur » avec des manifestants qui avaient une conception assez élastique du lieu et de la nature de la place de la Réconciliation...
On se gardera donc d’accorder une importance exagérée aux premières réactions « à chaud » (guillemets de rigueur, comme si le téléphone arabe, africain ou occidental n’existait pas...) et on gardera à l’esprit que les parties ont quinze jours pour donner leur réponse définitive. Et l’on fera mine une nouvelle fois de croire que c’est uniquement entre les parties malgaches que l’accord aura à être trouvé.
Vos commentaires
Bjr à tous,
crispation en effet il y a et aura, nous ne sommes pas au bout de nos interlocutions, notre conception du dialogue teinté d’un fihavanana déculotté a déja montré son vrai visage. Même l’ingérence ne surprend plus personne, l’étranger peut donner et ressasser la leçon, ça n’offusque plus grand monde !
Il serait sain et salvateur d’entrer dans une réelle phase d’ouverture, quoique ce mot soit incompris de la totalité de nos politricards de service. Je mets une petite contribution de mes incartades dans les différentes entités du moment, les périodes pré et post st-sylvestrennes étant propices au rapprochement(volontaire ou non) et aux bonnes prédispositions d’usage, il m’a été donné de rencontrer tout un tas de gens diverses. Le résultat est subjuguant : nos compatriotes n’ont aucune idée, pour la plupart, de ce que sera demain le plus proche. Ne parlons même pas du moyen terme et du reste. Le présent est vécu comme un sursis, et l’avenir en point d’interrogation ou en pointillés.
Un délabrement général de la mentalité ambiante me préoccupe et devrait alerter les plus sages. Il est admis qu’il en est de tel en ce qui concerne les hommes et femmes politiques : le plus blessant, c’est qu’ils assument pleinement cette attitude. Ca dépasse carrément l’entendement ! Alors une énième passe de mr Ping ou d’un autre Chissano, à part nous montrer son engagement(pourquoi d’ailleurs ?), je ne vois pas de quel remède il est porteur. On verra sûrement les Fetison, Zafy ou Mangalaza se rebiffer et reprendre du poil de la bête, mais cette même bête sera piégée par les incontournables lances caudines et les postures défiantes de nos safarimen de la HAT. S’en suivront les déclarations acides diverses, attendues et soupesées, et nous iront tout droit vers le sempiternel empêchement de voter en rond, je vous le dis comme ça, un goût de déja vu en sorte.
Le Mada boîtant et touché n’émeut que les esprits au-delà des frontières, la hat ne s’en émeut guère, Andry en premier. On ne voit dans son attitude aucun soupçon de préoccupation de quoi que ce soit de la vie de ses compatriotes ( s’il les considère encore en tant que tel). Les mages en place ne se soucient que de leur présent à eux, de leur position et de leur porte-feuille. Ils savent que faire durer la transition profitera à leur situation, après ce temps, rien ne sera plus aussi sûr. Bien des attitudes sont indignantes, l’arrogance est de mise et la défiance une seconde nature. Décapant et bien réel.
1-Ny fahasalamana ny voalohan-karena
2-Raha tsy mazoto manao medicine intsony
ny tanora Malagasy dia tsy maintsy hiantso Medecin vahiny isika - ohatrinona ny
karamana medecin vahiny ?
Ary aza harirarina @ resaka accouchement gratuit
ny resaka ry vice PM - ianao koa ange mahazo tombotsoa raha tanteraka io
nouvelle grille indiciaire io eH !
Izaho tsy dokotera fa raha mba mijery ny
niveau de vie anareo dokotera aho dia ontsa - ny mpiandry gadra aza be karama no
ianareo, mihoatra lavitra an’izany ny any magistrat sy ny miaramila sy
police.
Farany raha tsy azonareo @ zao transition izao, zay zavatra
takinareo dia tsy ho azonareo intsony, ny antony dia rehefa hanome aide
budgétaire antsika ny fmi - banque mondiale - ny UE sns dia tsy maintsy izy no
mibaiko
Marina io resahinao io. Za dokotera ary mba nande nanohy fianarana tany ampita. Mifanontany ny karama ny mpianatra de gaga be zareo maheno fa zany no karama aty mada. Tena anisan’ny firenena manana karama ambany fa indrindra ny dokotera i Mada. Any ny manala nify iray de 400 $. Tamin’izany de moins de 100 $ ny karama ny dokotera teto mada.
Raha ny filazana fa miompanana ny fitakiana fa 6 Milliards no ilaina, de manino ra zany no ahisy motivation ho an’ny dokotera. Matoa ny strategies ampiasana hatrizao mba hisian’ny fahasalamana ho an’ny vahoaka tsy mande na de tsara tefy aza de satria tsy motiver ny mpiasa ka tsy mifantoka tanteraka fa tsy maintsy mitady vola fanampiny mba hamenona ny karama. Hevero fotsiny fa raha trano na villa iray eto tana de 3 M a 5M ny hofany. Karama dokotera 1,5M /mois. Mbola aiza ny sakafo, fianaran’ny ankizy, ny jiro sy rano, frais de transports, ny fitafiana ? Maro ny promesses ataon’ireo zay te hahazo fitondrana hatramin’izay 20 taona izay na miotra fa tsy nisy nanao satria lazaina fa ny valala an-tanana hono tsy omen-jaza. Misy ihany ao fa aleo ho an’ny sasany. Ny fanjakana mihitsy aza no miteny ireny organisme international ireny raha mba te hanome ny mpiasa fahasalamana de lazaina fa aza zarina ratsy izany ireo. Ory havana manana foana. Ny mpiasa tsy mba misy zany indemnité de risque zany ary tsy maintsy manao assurance raha te hanana. Tsy misy indemnite de responsabilité : mitovy ihany ny vola azo na chef iaonao na exécutant. Ny indemnité de logement de mitovy amin’ny fonctionnaire rehetra. Rariny sy hitsiny raha mba mihetsika ireo ary fotoana mety izao satria araka lay volaza teo raha tsy azo zao de arirary eny ihany. Tsy afaka manaraka deontologie rehefa noana e ! La survie avant tout. Lazaina fa rehefa tsy hiasa izy ireo de soloina dokotera hafa satria mbola maro ny tsy an’asa. Zany ve de toa-tsaina olona mpitondra mitsinjo ny olona entiny ? Dokotera ianao miteny ary eo amin’ny fitondrana androany saingy tadidio fa tsy ho mandrakizay akory ny ho eo fa mbola hiala ihany. De ahoana ?
J’ai l’impression que le GIC n’a toujours pas compris à qui ils ont à faire. Des putchistes sans scrupule car les mots bon sens, consiences ou encore bonne foi, ne font pas parties de leurs vocabulaires. Comment peut-on discuter avec ce genre de personnes, vraiment j’admire la patience de GIC.
Malgré tout, cette proposition des éléctions législatives en même temps que la présidentielle est une bonne idée sur tous les plans(politiques, économiques et sociaux...). Mais ça m’étonnerait que la HAT accepterait car ils contestent tout sans raisons et arguments valable.
Bon courage au GIC !
J’aime beaucoup cet article de ReBems.. Voilà toutes les règles de diplomatie internationale appliquées exclusivement au cas Madagascar. Wait and see.
Bonjour Mbôty,
Pas d’accord avec vous. Pas de vote pour deux questions le 20 mars.
IL FAUT PERCER L ABCES !!!.
Le 20 mars une seule question :
« Etes vous d’accord pour que Mr Rajoelina dirige la Transition ?. »
Oui ou Non !!!.
P.S. C’est mon « point barre » à moi.
j ai la chance davoir connu ping tres jeune son pére forestier d origine chinoise a coté de port gentil gabon etait un homme admirable qui a bien eduquer ces enfants , lui méme est tres respectueux , tres cultivé , il a du apprecier les malgaches « en général » bien sur je vous en parle en dehord du contex polico malgache qui me regarde pas mais je voulais simplement qu il fait ce qu il peut noublier pas les contraintes qui le « guide » dans ces jugements jespére que le peuple malgache va enfin finir de souffrire est vivre comme il le merite en paix est dans le bien étre , car en ce moment comme depuis l indépendance ceux qui vive heureux est repus de nouriture est de luxure sont ceux qui ont mis le peuple dans cet etat avec leurs égo surdimenssio
ner l orgueuil est cela avec nimporte qu el pays france amerique ou autre l e gache est comme cela point barre nen deplaise a certains des repus veloma
Patrck A.
Il n’y a pas « QUINZE JOURS » d’attente.
Monsieur J.Ping a déjà la réponse de l’AUTORITE MALGACHE.
Souhaitons bon retour chez lui,à Monsieur J.P.Merci de sa visite inutile.
Basile RAMAHEFARISOA
Tiens tiens tiens, vous êtes fâché BASILE ?
JP n’a que faire de vos formules de politesse - Surtout n’oubliez pas de souhaiter un très « bon retour à la source » à la bouteille plastique (pas plastique mais métisse) d’eau vittal !
Vifs remerciements à l’eau pétillante - ce dont on a besoin c’est OLYMPIKO !
J’invite les forumistes à lire la déclaration de monsieur Karl Wycoff (sous secretaire d’état américain aux affaires étrangères)
(www.tananews.com)
Dans tous les cas, l’oncle Sam semble ne pas badiner avec les concepts de démocratie et de bonne gouvernance.
valable pour les Philippines ????????????????
Ne pas prendre les vessies pour des lanternes surtout quand il faut éclairer la démocratie malagasy
Bonjour,
Juste un petit mot sur l’éventuel programme des élections avancé dans cet édito :
Il paraît, en effet, pratique, judicieux et logique de la tenue d’un référendum ayant pour but de valider une nouvelle constitution, de se prononcer sur l’opportunité de la légitimité ou de la légalité des putschistes, de procéder à la présidentielle et enfin sur les parlementaires. Que tout celà soit fait dans un climat serein (sans précipitation aucune, i.e. il ne faut prendre de court les autres participants à ces élections), libre et transparent.
Si tout ce processus est accompli, aucun autre obstacle n’interviendrait dans un « retour à la normale » auquel lamajorité des Malagasy aspire. Même si l’avenir (social et économique) est encore sombre. Au moins on aura une « base » de départ (toujours mieux que le chaos actuel) et on pourra réflechir efficacement et effectivement sur les moyens et les méthodes de relancer le pays sur la voie de la démocratie et de la paix sociale.
’’À force de chercher à prendre de petits ascendants tactiques, ils semblent en perdre tout sens de la stratégie’’
Tout est dit dans cette phrase.
Au jeu d’échec ou à la guerre, la tactique consiste à faire face `une situation urgente ou désespérée, c’est à dire à courts termes. La stragtégie est plus à longs termes et demande à regarder vers l’issue (gagner de préférence).
Nos politiciens de tous bords n’ont aucune vision stratégique de leur position, d’où ces cahngements constants.
être fin tacticien ne vous amène point à la victoire, tout au plus, vous sortez d’une difficulté. Après, c’est du genre on verra au prochain coup.
En fait, tout le monde réagit plus que n’agit.
Si les putschistes avait un minimum de vision stratégique de leur mouvement, dès le départ, on n’en serait pas là.
Idem pour le camp Ravalomanana. Il a réagit plus que n’a agit lors de stroubles. Si il a avait une vraie stratégie pour répondre aux constestations de l’époque, on n’en serait pas là non plus
Rajoelina est jeune, à mon avis, il n’aurait jamais dû se lancer si jeune et sans stratégie, dans une bataille qui le dépasse personnellement. Si il s’entête à ne pas mettre sa place en jeu, tout son avenir politique, s’il en avait un, est cramé à tout jamais. Il sera catalogué comme celui qui a fait sombré le pays dans une crise durable et dont on aura du mal à se relever, quelle que soit l’issue.
il n’est pas encore tard pour lui d’admettre que c’est son poste qu’il faut qu’il mette en jeu.
Si il gagne, tant mieux pour lui, et on dira c’est celui qui a osé et a gagné
si il perd, on aura admiré son courage pour avoir voulu secouer le cocotier
Ça c’est de la stratégie
Hello, je vais râler à mon tour : stratégies à 2 balles !
A part avoir écouter et appliquer les consignes des griots et autres mages, il n’y a plus aucunes autres stratégies, à part celle du statu quo et autre « on regarde et on gère ( enfin on essaie !) »
On patauge et noie le malagasy dans soit des considérations à ras-les-paquerettes ou des intimidations d’un age révolu. Le malagasy est tantôt poisson qu’on noie dans le flou, tantôt dindon qu’on farci sans embages de fadaises et autres foutaises pour détourner l’attention.
Je n’attends rien de bon du DJ et de sa cour, il faut qu’il s’éloigne du paysage, il fait plus que tache, il nous a assez saoûler avec son mix à base de musette qui a fait valser toutes bonnes considérations et sa techno aux accents militaires.
Je persiste.
Il faut savoir qu’actuellement, les nations impérialistes (USA, France, GB, Belgique, etc.) mènent une guerre idéologiques pour renforcer ne néo-colonialisme, pour avoir la mainmise sur les matières premières précieuses, et qui se font de plus en plus rares.
Pour Madagascar, les conflits d’intérêts sont entre USA et France. Ces mêmes puissances voient d’un mauvais œil l’incursion de la Chine et de la Corée dans les pays africains.
Il faut donc s’attendre à ce que la CI ne lâche pas les accords de Maputo, et voient déjà une immense bourde de la Communauté internationale.
Pour conclure des affaires à M/car, il faut au moins que soit établi un semblant de démocratie, mais avant tout une puissance publique qui sache mener d’une main de fer le pays, pour "la circulation des personnes et des biens, et pour le strict respect des accords bilatéraux.
A ce jour, le GVT Andry Rajoelina n’est pas capable d’atteindre ces objectifs, car il entre dans une logique de dictature, sous peine d’être lâché par les ténors de l’armée qui le protègent.
Le retour à un gouvernement provisoire consensuel et donc inévitable, malgré l’appui de la France pour la HAT.
Les accords de Maputo restent le compromis viable.
Citons en exemple la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre)
Après l’assassinat de Jean Désiré Kabila le 16 janvier 2001 par son garde du corps, les notables du pays ont désigné son fils, Joseph Kabila pour assurer la transition du pays. Le Congo étant en guerre entre factions à l’intérieurs du pays, mais aussi avec d’autres pays (six états africains impliqués dans les conflits internes !) et ethnies de pays voisins (hutus, tutsi).
Malgré ces troubles extrêmement graves, les belligérants nationaux ont conclu un accord à Pretoria. Il en est sorti la mise en place d’un gouvernement de transition, dont le président fut Joseph Kabila, et chaque dirigeant de mouvances politiques furent désignés vice-présidents (en 2003).
Un référendum constituant fut accepté par le peuple. Les constituants différentes sensibilités politiques, purent travailler ensemble pendant 3 ans. En attendant, Joseph Kabila et les vice-présidents purent assurer la continuité de l’état, même si la mise sur pied de la futures Constitution était sujette à des conflits et palabres houleux, mais sans blocage irréversible.
La 3ème phase donna lieu à l’élection d’une assemblée Constituante, qui mit sur place la 3ème République de Congo.
Sous la surveillance d’observateurs internationaux, mais aussi d’une commission de contrôle électorale indépendante (cette commission n’était pas politisée, et son budget de fonctionnement, ainsi que leur rémunération ne dépendait pas de l’état. Il n’y avait pas non plus une quelconque subordination)
De cette Nouvelle constitution a été élu le Jeune Joseph Kabila, qui est le premier président élu démocratiquement au Congo (le 27/11/2006). DE même, la réconciliation nationale de cette immense pays (environ 4 fois M/car) a connu un vif succès, s’i l’on considère que peu de temps avant, il eut des guerres fratricides très violents.
Serions-nous malagasy, assez inconscients pour ne pas pourvoir émuler un tel exploit ???
Ou préférons-nous ressasser : nous ne sommes pas un peuple comme les autres
El Che