Bon gré mal gré, Madagascar reste écarté par rapport à l’application du système financier international (Sfi). Sfi qui décrit l’ensemble des opérations financières sur le plan mondial. C’est une structure financière permettant leur règlement. Ce système s’est fortement intégré depuis les années 80 mais apparemment, Madagascar ne l’aurait pas intégré. C’est du moins l’impression qui s’est dégagée de la rencontre d’hier à la Chambre de Commerce avec l’invité du CDE ou Club Développement et Ethique.
Un accord, comme l’aboutissement d’une réflexion depuis 1988, en découle et a connu le jour l’année dernière. Comme avantage, cet accord réduit la dépendance d’un pays aux fournisseurs de capitaux et incite les fonds privés à contribuer à l’abondance des capitaux. Il fructifie et assure une sécurité bancaire et une abondance de capitaux. Plusieurs pays à travers le monde l’ont appliqué depuis l’année dernière bien que ce soit à des rythmes différents. Il permet d’avoir une nouvelle vision. Il permet aussi de former de nouvelle puissance et de créer d’un nouveau circuit. Comme le cas de la Chine à l’heure actuelle.
Mais comme revers de la médaille, l’abondance des capitaux entraîne l’abondance de la monnaie qui circule et peut engendrer l’inflation. La surliquidité en tout cas fait perdre de valeur à la monnaie et fait donc l’inconvénient de ce système.
