Malgré son immense richesse en ressources naturelles, Madagascar peine à décoller économiquement. Une contradiction frappante : la prolifération de millionnaires et de milliardaires contrastant avec un PIB en croissance marginale et un État exsangue. La raison ? Potentiellement, une fuite massive des revenus, des taxes insignifiantes sur les multinationales et une économie souterraine qui dépasse largement les circuits formels.
Par un savant jeu de bilans consolidés et de filiales étrangères, une bonne partie des revenus générés à Madagascar échappe aux caisses de l’État. Les matières premières, quant à elles, s’évaporent dans une opacité quasi-totale, faute de contrôles efficaces. Entre flux financiers hors radar et absence de volonté politique, le pays continue de végéter dans une croissance anémique. Décryptage.
Une croissance du PIB en trompe-l’oeil
En 2023, le PIB de Madagascar s’élevait à 14,6 milliards d’euros. Voici sa répartition :
- Consommation intérieure : 9,49 milliards € (65 % du PIB)
- Consommation des ménages : 8,03 milliards € (55 %)
- Consommation des administrations publiques : 1,46 milliard € (10 %)
- Investissement (FBCF) : 2,19 milliards € (15 %)
- Exportations : 2,19 milliards € (15 %)
- Variation des stocks : 0,73 milliard € (5 %)
L’industrie et les services souffrent d’une dépendance excessive aux importations (6,5 milliards d’euros en 2023), un fardeau qui annihile la balance commerciale. Dans le même temps, 2,19 milliards d’euros d’exportations sont officiellement déclarés, mais ce chiffre sous-estime largement la réalité des flux sortants, notamment dans les secteurs minier et agricole. Cependant, ces chiffres masquent une réalité bien plus sombre : une large part des revenus générés par les exportations échappe à l’État malgache en raison de l’absence de contrôle sur les volumes réels exportés et des montages fiscaux offshore.
La ventilation des recettes de l’État
En 2023, les recettes fiscales de Madagascar s’élevaient à seulement 1,94 milliard d’euros, soit 12,8 % du PIB, l’un des taux de pression fiscale les plus faibles au monde [1].
Malgré cette progression, le taux de pression fiscale de Madagascar reste inférieur à la moyenne africaine, qui était de 16,0 % en 2022. Cette situation souligne la nécessité pour le pays de poursuivre ses efforts en matière de mobilisation des ressources fiscales afin de financer efficacement son développement [2].
Répartition des recettes fiscales :
- Taxes à l’import/export : 0,48 milliard € (3,3 % du PIB)
- TVA et impôts sur les entreprises : 0,42 milliard € (2,9 %)
- Autres impôts et taxes : 0,3 milliard € (2 %)
- À titre de comparaison, la RDC collecte 15 % de son PIB en impôts et la France 45 %.
Les failles du système fiscal malgache
- Exonérations fiscales massives pour les multinationales opérant dans les zones franches.
- Manque de transparence dans les contrats miniers, notamment avec Rio Tinto/QMM et Ambatovy.
- Corruption au sein de l’administration fiscale permettant des déclarations sous-évaluées.
- Faiblesse des contrôles douaniers et absence de traçabilité des volumes exportés.
L’opacité des revenus d’exportation
La richesse de Madagascar en ressources naturelles est incontestable. Pourtant, son potentiel est inexploité, voire détourné. Officiellement, le secteur minier représente 1,6 milliard d’euros d’exportations, avec une domination des grandes multinationales. Toutefois, les failles du contrôle étatique permettent aux compagnies minières de minimiser leur fiscalité en jouant sur des mécanismes d’optimisation à l’échelle internationale. Il n’est pas rare que des minerais précieux soient extraits et directement exportés, sans que leur valeur réelle ne soit déclarée à Madagascar.
L’absence de régulation stricte et de traçabilité empêche l’État de mesurer précisément l’ampleur de ces flux. Pire encore, l’or et les pierres précieuses quittent le pays via des circuits informels, contournant les douanes. Selon des estimations indépendantes, les exportations illégales d’or dépasseraient les 3 milliards d’euros par an [3], soit plus du double des chiffres officiels.
L’exportation des matières premières est le pilier de l’économie malgache. Pourtant, une enquête menée par PWYP (Publish What You Pay) a révélé que Rio Tinto/QMM n’a versé que 8 millions de dollars en royalties à l’État malgache en 2021, alors que la production réelle d’ilménite aurait dû générer au moins 50 millions de dollars de taxes.
Mécanismes d’évasion fiscale :
- Sous-déclaration des volumes exportés
- Facturation interne entre filiales
- Transfert des bénéfices vers des holdings offshore (île Maurice, Dubaï, Bermudes)
- Falsification des déclarations douanières
Le cas d’Ambatovy
Le projet minier Ambatovy, l’un des plus grands investissements étrangers à Madagascar, est régulièrement accusé de manipulation des prix de transfert. Les bénéfices sont déclarés dans une filiale basée au Canada, tandis que Madagascar perçoit des redevances dérisoires [4].
Témoignage d’un ancien cadre du ministère des Mines
« Les volumes réels d’exportation d’ilménite et de cobalt sont largement sous-estimés. Les multinationales profitent de la faiblesse de notre système douanier pour transférer les bénéfices à l’étranger. »
Les mécanismes de corruption locale
Les multinationales opérant à Madagascar bénéficient souvent de la complicité de courtiers locaux, d’officiers douaniers corrompus et de responsables politiques qui facilitent l’évasion fiscale en échange de commissions occultes.
Exemple concret :
Les permis d’exploitation minière sont attribués sans appel d’offres transparent.
Des intermédiaires locaux perçoivent des commissions secrètes pour faciliter l’exportation.
Les données sur les volumes exportés sont falsifiées au niveau des ports.
Le réseau souterrain des convoyeurs de terres rares (RDC)
En République Démocratique du Congo, un système sophistiqué permet d’acheminer discrètement les terres rares extraites vers les navires sans aucun contrôle local. Les convoyeurs clandestins, souvent soutenus par des réseaux d’élites corrompues, transportent directement les minerais des sites miniers aux ports, où des cargos étrangers attendent pour l’exportation.
Ce modèle est désormais observé à Madagascar, notamment pour l’ilménite et le nickel.
Le rôle des banques offshore et des paradis fiscaux
Les recettes de l’État, qui s’élèvent à 4,5 milliards d’euros (TVA, impôts et taxes divers), ne reflètent en rien la richesse générée sur le territoire. Les entreprises, notamment dans le secteur minier et les zones franches, bénéficient d’un régime fiscal permissif. Alors que l’exploitation des ressources naturelles devrait être un levier de développement, Madagascar encaisse des miettes. Les taxes sur l’importation et l’exportation ne rapportent qu’un milliard d’euros, un montant dérisoire comparé aux volumes réels de transactions.
Une grande partie des profits fuit vers des holdings établies à Maurice, en Suisse ou aux Émirats arabes unis, où les régimes fiscaux sont plus cléments. Ces mécanismes de transfert de bénéfices, via la sous-facturation des exportations ou la surfacturation des importations, permettent aux entreprises étrangères de réduire artificiellement leur contribution fiscale à Madagascar. Pendant ce temps, l’État malgache se prive de milliards d’euros de recettes potentielles, alimentant un déficit chronique dans les services publics.
En 2021, Rio Tinto/QMM a déclaré un bénéfice net de seulement 25 millions d’euros à Madagascar, tandis que 150 millions d’euros ont été transférés vers des filiales aux Bermudes, selon PWYP.
Les principales destinations des capitaux détournés :
- Île Maurice
- Singapour
- Dubaï
- Bermudes
L’impasse des zones franches : un moteur de croissance… pour les investisseurs étrangers
Avec 2 milliards d’euros d’exportations issues des zones franches, notamment dans le textile et le BPO (business process outsourcing), ce secteur semble être une bouffée d’oxygène pour l’économie. En réalité, ces industries profitent d’exonérations fiscales massives, réduisant leur apport réel au PIB national. Les entreprises de la filière textile, par exemple, réinvestissent peu localement et rapatrient leurs bénéfices à l’étranger.
Si les investissements étrangers sont nécessaires, l’absence de contreparties fiscales et de transferts technologiques limite fortement l’impact de ces activités sur le développement du pays. Les travailleurs locaux, eux, restent confinés à des emplois faiblement rémunérés, tandis que les entreprises étrangères maximisent leurs marges.
Quelles réformes pour une redistribution équitable ?
Le problème de la faible captation des richesses par Madagascar n’est pas une fatalité. Plusieurs mesures pourraient permettre de récupérer une partie de ces milliards qui échappent aujourd’hui au pays :
- Renforcement du contrôle douanier et minier : Mettre en place un système de traçabilité des matières premières via une digitalisation des transactions et un contrôle systématique des exportations.
- Lutte contre l’évasion fiscale : Imposer une taxation plus stricte sur les profits réalisés localement par les entreprises étrangères, en s’inspirant du modèle des pays producteurs de pétrole ou de minerais.
- Négociation de contrats plus équitables : Renégocier les concessions minières et les accords avec les multinationales pour garantir une juste part des bénéfices au pays (Taxation plus juste des multinationales).
- Diversification de l’économie : Réduire la dépendance aux matières premières en développant des filières industrielles locales et des services à plus forte valeur ajoutée.
- Création d’une agence indépendante de lutte contre la corruption fiscale
- Imposition des grandes fortunes
- Intégration de Madagascar dans des alliances africaines pour la transparence fiscale (comme l’ITIE)
Madagascar a toutes les ressources nécessaires pour sortir du piège du sous-développement. Mais tant que l’opacité et l’inaction domineront, la grande île continuera d’être un paradis pour les investisseurs étrangers et un enfer pour ses finances publiques.
En conclusion, Madagascar est pris au piège d’un système économique capturé par des élites locales et des multinationales étrangères, utilisant des mécanismes d’évasion fiscale sophistiqués pour siphonner les richesses du pays.
Sources :
- Global Financial Integrity, 2022
- Transparency International, Rapport 2021
- Publish What You Pay (PWYP), Analyse 2023
- Banque mondiale, Rapport sur la gouvernance fiscale 2023
- Ministère malgache des Finances, données fiscales 2023
- Rapport fiscal de la RDC, 2022
- Insee France, 2023
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Vos commentaires
Bonjour à tous,
Poisson d’ avril ?
https://actutana.com/depeche/il-est-peut-etre-a-larticle-de-la-mort/
Cordialement
On attend le briefing de Gérard PERCEAU , Be Molotra et Rainilainga pour envoyer par la suite sur ce site INANDRA BOLOKY MPISOLELAKA VOAVIDY VOLA HIRAKIRAKA !
Le PIB comprend aussi L’ARGENT DE LA MAFIA,
Donc SANS PERTINENCE par rapport à L’IDH ( indice de développement humain)
Le niveau de vie de Râvatomanga n’a aucun rapport avec celui d’un Antandroy , ni du malheureux d’Andavamamba .
La Chine ( 2* puissance financière et économique mondiale ) est classée PAYS EN DÉVELOPPEMENT( soit émergent sorti de la pauvreté).. en .réclamant ainsi les avantages .
Le niveau de vie des villes n’a rien à voir avec le niveau arriêré de la campagne....
– ce que les USA contestent.
Salama djiaby .
Merci pour cette analyse impartiale et réaliste (non signée)
Il manque plusieurs facteurs aux dirigeants Malagasy, à commencer par la volonté , puis la compétence, tant que ces derniers se contenteront de : « après moi le déluge », et amasser le plus de commissions pour ne pas dire bakchichs que leurs offrent leurs statuts, l’ appât du gain de plus gros poissons pour ne pas dire requins sera toujours « magnétisé » par ces carences que chacun connait sans pour autant avoir la volonté de s’ y attaquer, et hélas ce n’ est pas un usurpateur amateur de fake , de « dan » & d’ évènementiel qui s’ y attèlera, pour plusieurs raisons à commencer par : son incompétence polymorphe et son avidité qui l’ exonère de réfléchir et pire : en être capable !
L’ appel aux investisseurs toujours très Inn restera dans les programmes des futurs candidats, ne serait-ce que pour sensibiliser quelques bonnes âmes avides de BA , moyennant quelques commissions ou rétrocessions également polymorphes .
Occultant volontiers que : « la main qui donne est toujours au dessus de celle qui reçoit » ...
Cette mentalité qui doit également changer bien que toujours tentante par facilité .
Ce constat serait-il le début d’ un réveil , prise de conscience ou simplement futur programme pour un futur leader digne de ce nom ?
Chacun sait ce qu’ il reste à faire, mais sans volonté politique sérieuse, pour ne pas dire déterminée, les rapaces seront toujours attirés par ces lacunes et désinvoltures affligeantes qui leurs tendent les bras, avec les ponts d’ or mirobolants qui restent aux hôtes pour les attirer,
La mariée n’ est jamais trop belle et ce n’ est pas avec du vinaigre que vous allez les attirer ;
Une situation qui, sans être pessimiste : ressemble à celle du serpent qui se bouffe la queue ...
ça fait toujours mal au coeur de le lire, même si, ce constat, nous le connaissons déjà tous.
Merci pour cette très belle rédaction qui rappelle à tous pourquoi le pays sombre tandis que des profiteurs de tout bords s’enrichissent, en devenant des multimilliardaires avec leurs villas et 4x4, au détriment du peuple qui peine à trouver 2$ par jour pour vivre.
La question qu’on doit se poser : Y-a-t-il un pilote dans l’avion ? Le pays est-il gouverné par des gens qui cherchent et qui défendent l’intérêt de la nation ou les leurs ?
Je l’ai dit et je le répète : Ce Président est certainement mal conseillé et n’est entouré que des hyènes dévorant vivant Madagascar comme une proie. Quand est-ce qu’il en sera conscient ???
Parce que vous pensez sérieusement qu’ il n’ en est pas conscient ???
C ’est le premier à se gaver !
Bonjour ,
Vous affirmez que le Calife est mal conseillé ?
Nous tenons à vous signaler que le Président du Syndicat des Administrateurs civils , présente les mêmes constats que vous , mais lui a des visées pour être nommé ...comme Ministre .
Nous sommes persuadés que vous êtes à mille lieues des considérations de ce Monsieur .
Tout cela pour vous dire que ce ne sont pas les Conseillers du Calife qui sont responasbless de ses bévues , mais lui même en personne , avec ses envolées lyriques...NOUS ALLONS !
Je pars du principe que les Présidents successifs ont tous eu des bonnes intentions mais ils ont été tous, sans le savoir et aveuglés par la courbure d’échine, dupés par leurs entourages proches et par les gens qui ont financés leurs campagnes qui ne sont là que pour leurs propres intérêts.
Je suis persuadé que tous les Présidents qui étaient là avaient tous une intime conviction de vouloir faire avancer les choses. Sauf que, les gens qui profitent du système savent très bien comment enfermer les décideurs dans une bulle et pour ne jamais en sortir qu’une fois ils ne sont plus au pouvoir. Un président ou même ministre, en raison d’un agenda très chargé, ne raisonne et ne fonctionne que selon les briefings et des infos distillées à longueur de journée par son cabinet.
Je ne crois pas que Tsiranana ou Ratsiraka ou Ravalomanana ou même Rajaonarimampianina soient tous foncièrement mauvais. Je suis persuadés qu"’ils voulaient tous faire du bien, laisser une trace ou une empreinte historique de leur passage.
Impossible qu’ils n’aient pas la moindre pensée ou le moindre amour profond pour le pays et pour le peuple qu’ils dirigent.
Ils sont peut-être, à degré variable, incompétents ou ont fait des mauvais choix, mais je ne crois pas qu’ils ont mauvais fond.
Pour le cas de Base Toliara, par exemple, si on a présenté à Rajoelina tous les risques radioactifs (exploitation, transport et stockage) avérés de ce projet fou, je suis sûr qu’il aurait mis son véto. Le problème c’est que Rajoelina se fie aux études très bâclées de l’INSTN qu’on lui a présentées. INSTN pourtant composé que des incompétents , sans références internationales et inconnues des experts du monde de la physique nucléaire, et que je soupçonne de vendus achetés par Base Ressources ou intimidés par les haut-placés ayant des intérêts personnels sur ce projet.
Je combats le régime de Rajoelina car il ne sait pas s’affranchir des mauvaises personnes qui ne cherchent que leurs propres intérêts, en devenant de plus en plus milliardaires, au détriment des millions de malagasy de plus en plus pauvres.
La différence que j’ai avec l’Administrateur civil ? Mon anonymat. Tout comme Pisokely, je préfère agir, en toute discrétion, autour de moi via des actes de bienfaisances, tout en dénonçant incognito les dérives du système et les mensonges des hommes politiques pour :
1- leur dire stop, le temps a changé, les gens ne sont plus dupes et que tout se vérifie facilement maintenant
2. éveiller les consciences des gens face à l’obscurantisme.
Depuis 1960
Pour bien faire respecter les ACCORDS DE COOPERATION BILATERALE EXCLUSIVE FRANCO MALGACHE
Madagascar à toujours été CHAPERONNE par un conseiller privilégié français à la présidence.
C’est la méthode mafieuse francafricaine à
l’honneur
Avec LE COLON3L BOCCHINO sous Tsiranana
Gérard Percezu avec Rajoelina.
Mais s’agissant de MAFIA FRANCO MALGACHE KARANA ...Mamy Ravatomanga.assure bien le tôle de parrain
Je dirais même que l’élève dépasse le maîtrise en saloperies et duperie de tout genre !
Ah ces MALGACHES TRAITRES A LEUR PATRIE !
Sous Ravalomanana...il y a du avoir une page blanche.
Bonsoir Base to Top,
Du moment qu’on accepte de recevoir un financement de campagne électorale, une contrepartie est toujours exigée par les donateurs. Toujours et sans exception.
Et parmi les donateurs, des voyous de la pire espèce sont prêts a donner suite a leurs exigences. Et le récipiendaire est devenu dès lors le premier responsable de ses actes et liens politiques.
Du moment qu’on est prêt a recevoir des fonds de campagne d’origine et de source douteuses, l’intention est déjà consommée et effective.
Bref, la ligne de démarcation est très fine entre un putschiste candidat et un voyou candidat...et le pire, le candidat est connu comme étant un criminel sans scrupules auparavant !
Bekily a raison : la faute à reny malala ! L’article est très explicite à ce sujet. Pour si oserait encore en douter !
GERARD PERCEAU
« Une Nation spoliée » !
Tout est là, une réalité simple et claire sans détour.
Qui sont les premiers responsables de cette spoliation ?
La réponse n’est ni complexe ni difficile encore a rechercher.
Les responsables politiques et détenteurs d’autorité décisionnelle, a des degré divers selon la République et les époques post indépendance. Les multinationales n’ont fait que profiter de cet état de faits...
Les célèbres « tsy maty manota »...
Il faudra les mettre hors d’état de nuire a tout prix, par tous les moyens...
Pourquoi débattre ?
Les intervenions ne sont plus affichées.
Conclusion
ABSENCE D’ÉTAT DE DROIT
Et CORRUPTION CONJUGEE
Bonjour à tous,
HS quoique :
https://actutana.com/depeche/base-toliara-oueee-super-lajout-de-monazite-en-catimini/
Sans commentaire
Cordialement
Bonjour à tous,
HS quoique :
https://actutana.com/depeche/base-toliara-oueee-super-lajout-de-monazite-en-catimini/
Sans commentaire
Cordialement
Désolé pour le duplicata,
J’ ai cru que mon post n’ était pas publié mais supprimé.
Le pays est dans une situation invraisemblable, vous prenez une machine à laver le linge et elle tourne à plein régime pour laver et essorer le linge. La machine est bien roder pour lessiver et blanchir le linge.
Vous vous écarter d’une rédaction académique/universitaire : c’est la case prison assurée.