Depuis le déconfinement, le nombre de consultation et d’hospitalisation se multiplie dans les hôpitaux publics. Si entre le mois de mars et le mois d’aôut, il était difficile de se rendre chez les médecins spécialistes ou encore de se faire soigner pour d’autres pathologies que le coronavirus, la tendance revient à la normale. Au plus fort de la crise, beaucoup de services ont fermé dans les hôpitaux publics, tout était souvent centré sur la Covid-19. De même, par crainte d’être contaminé, les malades évitaient de se rendre en milieu hospitaliser sauf en cas d’urgence majeure.
Dans le service chirurgie infantile au Centre Hospitalier Universitaire d’Ampefiloha (HJRA), la liste des petits patients en attente de chirurgie est longue, ils sont environ une soixantaine souffrant de hernie en attente d’opération.
« Durant la crise sanitaire, peu de malades ont fréquenté notre service par crainte d’être contaminés par la Covid-19. Mais depuis le déconfinement, les patients affluent pour se faire soigner. Nous avons actuellement 17 enfants hospitalisés à notre service, qui sont atteints de différentes affections. Ils sont beaucoup plus nombreux qu’auparavant en période normale », affirme le Dr Romain Aristide Romain Raherison, chef clinique du service de la chirurgie infantile à l’HJRA. Ce service qui a une capacité de 37 lits accueillent actuellement 17 malades si lors du confinement les lits étaient quasiment vides ou recevaient au maximum 5 patients.
Vos commentaires
Les foza vont-ils encore prétendre qu’ils ont déniché une autre pisse-mémée pour guérir et prévenir toute maladie nécessitant une intervention chirurgicale ?
Et pour la pub’ le DJ bac-3 va faire semblant de glouglouter cette autre pisse-mémée devant les caméras de tv foza .