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Economie

Madagascar Oil

Lancement de la vente test à Tsimiroro

mardi 17 juin 2014 |  3758 visites  | 30 commentaires 

Madagascar Oil va procéder ce mercredi 18 juin 2014 officiellement à Tsimiroro, au lancement de la vente test sur le marché local du pétrole brut de Tsimiroro. Madagascar Oil avoue que cette étape est franchie grâce à une fructueuse collaboration avec le gouvernement malgache, à travers l’OMNIS et le ministère auprès de la Présidence chargé des Ressources Stratégiques. Encore en phase d’exploration, le code pétrolier ne prévoit en effet aucune production ni vente de produits et il a fallu que Madagascar Oil demande l’autorisation de l’État pour pouvoir continuer ses travaux relatifs à ce pétrole non conventionnel. Avec l’approbation du gouvernement, Madagascar Oil S.A. se trouve actuellement sur le point de lancer une vente test de l’huile lourde obtenue à partir du projet pilote d’injection de vapeur (SFP) de Tsimiroro. Ce test s’étaleRA sur une période de six mois durant lesquels 55 000 à 73 000 barils d’huile lourde du périmètre contractuel Tsimiroro - Bloc 3104 seront écoulés sur le marché local.

Après avoir déposé la déclaration de commercialité, la compagnie pétrolière est en train d’élaborer son plan de développement pour pouvoir le remettre dans le délai imparti de 180 jours à partir du 9 mai dernier et obtenir enfin son titre minier ou son permis d’exploitation qui couvrira une période de 25 ans tel que stipulé dans le contrat de partage de production (CPP).

On admettra que, malgré le chemin encore à parcourir et les étapes à franchir, cette journée du mercredi 18 juin marquera une nouvelle ère dans l’histoire de l’exploration pétrolière, de l’industrie et du développement économique à Madagascar. Plus d’uns souhaitent vivement que la JIRAMA qui est le gros client acheteur présumé, soit en mesure de réduire ses coûts de production et ainsi réduire ses tarifs, grâce à l’huile lourde de Tsimiroro. Au moment de la déclaration de commercialité en tout cas, Gordon Stein, membre du Conseil d’Administration et Chief Financial Officer de Madagascar Oil Limited espère « obtenir l’approbation du plan de développement à grande échelle avant la fin de 2014, entamer de nouveaux forages et moderniser nos installations en 2015. Les ventes test du pétrole brut de Tsimiroro dans un proche avenir permettraient de générer de la trésorerie pour le Groupe. Elles permettraient également d’intégrer Madagascar à la liste des pays producteurs de pétrole qui sera une étape importante pour Madagascar. La société est ravie de faire partie de cette nouvelle phase dans le développement économique du pays. »

Les populations de la région Bongolava, Melaky et Menabe, sont impatientes de voir concrètement les retombées de l’exploitation. Les transporteurs qui desservent la route nationale 1bis pour leur part sont mitigés comme certains opérateurs qui craignent la concurrence avec le désenclavement assuré de ces régions.

Quant aux techniciens du pétrole, ils sont optimistes car les perspectives de développement de l’exploitation sont prometteuses. Une société sud-africaine dispose et utilise une technologie capable de raffiner le pétrole lourd pour en extraire de l’essence.

Recueilli par Valis

30 commentaires

Vos commentaires

  • 17 juin 2014 à 08:22 | Eloim (#8244)

    « Madagascar Oil va procéder ce mercredi 18 juin 2014 officiellement à Tsimiroro, au lancement de la vente test sur le marché local du pétrole brut de Tsimiroro ». Tant mieux et très enviable cette étape que franchit ce Groupe Pétrolier ;
    Quoiqu’il en soit, pour que tous soit clair et net et pour faire dissiper toute sorte d’embarras concernant ces exploitations, il faut et il suffit de rectifier (amender ou changer ou modifier, ...) certaines articles dans notre CODE PETROLIER, car dans sa forme et dans son fond actuel, il entretient des suspens e transgresse en fait la transparence concernant toutes les étapes que suivent ces exploitations jusqu’à la mise en vente que ce soit sur le marché local qu’international.

    • 17 juin 2014 à 11:56 | Rakotoasitera Fidy (#2760) répond à Eloim

      GO !!!!

      Qui ne risque rien n’a rien ... adage bien connu

  • 17 juin 2014 à 08:34 | RAMAHEFARISOA Basile (#6111)

    VIVA Tsimiroro !
    Basile RAMAHEFARISOA-1943
    b.ramahefarisoa@gmail.com

  • 17 juin 2014 à 09:12 | jaongaly (#6709)

    Bonjour,
    « ..injections de vapeur... » est ce que quelqu’un peut nous expliquer le détail du processus d’extraction ? Merci.

    • 17 juin 2014 à 11:34 | Jipo (#4988) répond à jaongaly

      Comme dirait l’ autre : si on vous demande, vous direz que vous ne savez pas .
      Vous pensez bien que moins on en dit mieux on se porte, pour plumer une poule, on ne fait pas appel au renard, particulièrement quand il a eu sa commission .

    • 17 juin 2014 à 12:04 | jaongaly (#6709) répond à Jipo

      je pense seulement à l’aspect chimique du processus : que devient la vapeur d’eau ?

    • 17 juin 2014 à 12:16 | Jipo (#4988) répond à jaongaly

      Je plaisantais bien sur , votre question est totalement légitime , et tout comme l’ extraction du gaz de schiste, vous pensez bien qu’ il ne vous présenteront jamais les effets négatifs du processus, en deux mots vous donner le bâton pour se faire fouetter .
      Cette vapeur d’ eau pourrait etre réutilisée de plusieurs manières, soit pour produire de l’ énergie, soit réutilisée , sauf bien sur et ce qui doit etre : contaminée, mais ça on ne risque pas de vous le dire, moins encore ou sera-t-elle évacuée ? .

    • 17 juin 2014 à 12:22 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à jaongaly

      Bonjour,

      De l’eau polluée en métaux lourds donc cancérigène sans les traitements adéquats d’où l’utilité de la validation des organismes de protection de l’environnement.

    • 17 juin 2014 à 12:31 | olivier (#7062) répond à jaongaly

      « Stimulation par injection cyclique de vapeur : La stimulation par injection cyclique de vapeur d’eau est une technique de récupération thermique, aussi appelée procédé CSS ou stimulation puits par puits. C’est une forme de stimulation des puits qui consiste à chauffer le gisement en injectant de la vapeur d’eau périodiquement dans un puits de production et à donner ensuite le temps au bitume de se liquéfier avant de l’extraire. L’injection de chaleur a pour effet de réduire la viscosité du bitume, ce qui permet de le pomper à la surface par des puits d’extraction. »

    • 17 juin 2014 à 12:50 | olivier (#7062) répond à olivier

      Source : http://www.memoireonline.com/09/10/3922/m_Problematique-environnementale-de-lexploitation-des-sables-bitumineux-en-Alberta-Canada13.html

      "4.2.2. Consommation d’eau et impacts sur les systèmes aquatiques

      L’utilisation de l’eau douce représente le deuxième plus grand défi de gestion environnemental du secteur pétrolier et gazier, après les gaz à effet de serre et les émissions associées. La nouvelle version de la stratégie provinciale encourage tous les secteurs à développer des plans d’amélioration de la conservation de l’eau et à renforcer les programmes d’évaluation et de surveillance des systèmes aquatiques,

      L’ampleur et la forte croissance des opérations minières et du développement in situ posent actuellement de graves problèmes d’utilisation et de gestion de l’eau. La demande en eau du secteur des sables bitumineux est énorme. Les volumes d’eau nécessaires sont puisés dans les nappes souterraines ou prélevés à partir des eaux de surface (cours d’eau, rivières, lacs). Avec 65% des prélèvements, les opérations minières sont les plus grands utilisateurs d’eau de la rivière Athabasca (Woynillowicz and Severson-Baker, 2006). La quantité d’eau réellement utilisée pour la récupération du pétrole est souvent moindre par rapport au volume alloué, mais les proportions varient entre les entreprises, leur âge ou le type de projet. Toutefois, 7% des allocations totales d’eau en Alberta pendant l’année 2004 étaient destinés à la production de pétrole et de gaz (Griffiths, 2006)."

    • 17 juin 2014 à 13:29 | Jipo (#4988) répond à olivier

      Merci pour ce lien qui nous en apprend un peu plus que ce que l’ on sait .
      Ce test éffectué par l’ entreprise est la carotte pour faire avancer l’ âne , appaté par le gain et argent facile, de par l’ abus de pouvoir qui leur est conféré, ou qu’ ils s’ octroient d’ office.
      Cette société profite de la crédulité de ses interlocuteurs et de leur manque de connaissance en la matière , pour ne pas dire leur ignorance totale .
      Dénigrer ce que fait cette société, génèrerait de suite une levée de bouclier , comme esprit colonialiste opposé à tout développement pour conserver une main mise sur le PMA .
      Cependant des antécédents avec études sérieuses et preuves édifiantes comme le demande la mère Girardin dans le style :
      « Mais il faut dire que ce plateau continental nécessite encore beaucoup d’études et des expertises qui valent des fortunes. »
      Avec compte rendu d’ exploitation, cahier des charges, photos à la fin d’ exploitation, & sondages d’ opinion des populations concernées, en plus des « zétudes sérieuses » examinées à la loupe par nos experts locaux , d’ autant plus au microscope , que ces « experts » sont de parfaits novices dans ces nouvelles technologies, inutile de parler du ministère des mines & forets dont la réputation n’ est plus à faire...
      Etant à présent piégés par leur participation, bien maigre il faut le souligner, le donnant donnant, c ’est pas encore : maintenant, si l’ exploitation l’ est .

    • 17 juin 2014 à 14:08 | Eloim (#8244) répond à jaongaly

      Dans les gisements d’exploitation d’huile lourde, on utilise la plupart de temps la technique par injection des vapeurs. Je peux vous résumer ainsi en quelques lignes ce procédé avec quelques illustrations dans d’autres pays :
      L’injection de vapeur est utilisée dans les gisements contenant des pétroles très visqueux, qui sont épais et s’écoulent lentement. Non seulement la vapeur fournit une source d’énergie permettant de déplacer le pétrole, mais elle entraîne également une réduction notoire de la viscosité (en augmentant la température du gisement). Le pétrole s’écoule alors plus rapidement, quel que soit le différentiel de pression. Cette méthode a été largement utilisée en Californie et au Venezuela, où se trouvent d’importants gisements contenant du pétrole visqueux. Des expériences sont également en cours pour tenter de valider ce procédé dans l’exploitation des vastes réserves de pétrole brut visqueux (bitumes) le long de la rivière Athabasca dans le nord de l’État d’Alberta, au Canada, et le long du fleuve Orénoque, à l’est du Venezuela. Si ces expériences rencontrent un franc succès, l’ère de la domination du pétrole pourrait être prolongée de quelques décennies.
      Je crois que vous pouvez utiliser tranquillement cette technique mais demande un peu de précaution.

    • 17 juin 2014 à 18:30 | RAMAHEFARISOA Basile (#6111) répond à Jipo

       "Barrez-vous..povr c..OM de jupe/jipo
      Basile RAMAHEFARISOA-1943
      b.ramahefarisoa@gmail.com

    • 17 juin 2014 à 21:05 | Jipo (#4988) répond à RAMAHEFARISOA Basile

      La vérité ne blesse que les kons, et vous en incarnez la Royauté !

    • 17 juin 2014 à 22:06 | jaongaly (#6709) répond à Jipo

      En effet, où cette eau polluée va aller ? dans les rivières ? Dans les rizières ? dans la nappe préatique ?......

    • 18 juin 2014 à 07:33 | jaongaly (#6709) répond à olivier

      Donc si j’ai bien compris, on a du pétrole et de l’eau chargée de métaux lourds cancérigènes. Le pétrole sera commercialisé tant mieux, mais l’eau ne posera-t-elle pas de problèmes pour l’environnement local ?
      Ça me fait penser à la région d’Alberta au Canada.

    • 18 juin 2014 à 07:37 | jaongaly (#6709) répond à Eloim

      Est ce que vous savez ce qui se passe dans l’état d’Alberta au Canada ?

    • 18 juin 2014 à 08:34 | Eloim (#8244) répond à jaongaly

      En tant que spécialiste en médecine exploratrice (nucléaire, imagerie médicale et médecine physique), l’ingestion des métaux lourds en particulier le plomb entraînent une maladie classée dans le tableau - en terme simple - de la CONTAMINATION de la famille de la contamination radioactive. Pour le plomb il y a ce qu’on appelle « maladie de plomb » qui affecte tout particulièrement le poumon et si le traitement est retardé ceci risque de se transformer en cancer de poumon ou d’autres formes de pneumopathie fugace.
      Pourquoi avoir peur ? Comme si on ne suit pas minutieusement tous les modes opératoires qui sont décrits dans les protocoles d’exploitation. A quoi sert le planificateur si toute exploitation risque d’engendrer des problèmes fatales ? A plus !

    • 18 juin 2014 à 09:02 | jaongaly (#6709) répond à Eloim

      « Pourquoi avoir peur ? Comme si on ne suis pas minutieusement tous les modes opératoires qui... »
      La peur peut-être pas mais par principe de précaution. Mieux vaut prévenir que guérir.
      C’est le « on » qui inquiète, c’est à la fois tout le monde et personne.

    • 18 juin 2014 à 09:04 | jaongaly (#6709) répond à jaongaly

      mille excuses : « suit » au lieu de « suis »

    • 18 juin 2014 à 18:05 | Jipo (#4988) répond à jaongaly

      les 3 Kapitaine !

    • 18 juin 2014 à 18:11 | Jipo (#4988) répond à jaongaly

      les métaux lourds particulièrement le plomb provoquent empoisonnement et saturnisme .
      L’ environnement est pollué, et il est du devoir des politiques de demander des garanties, des preuves d’ exploitations antérieures avec bilans, sur l’ écosystème après exploitation, le problème est que ces politiques pratiquent celle de donnes-moi le vola et pares fais ce que tu veux , le problème n’ est nulle part ailleurs , car ensuite ils se barrent avec l’ arzent, laissant comme tous leurs prédécesseurs leur kk à leurs compatriotes .

  • 17 juin 2014 à 12:40 | Rakotoasitera Fidy (#2760)

    Voilà quelques questions bien légitimes !!

    Et je m’étonne du silence des experts malagasy en la matière

    Le GO signifie et demande une action RESPONSABLE des acteurs surtout quant à la transparence , et aux inquiétudes

    Ce qui se passe dans les pays voisins africains doivent inciter (et je le répète)
    les experts malagasy à dialoguer librement

    Certes la prudence a été le maitre mot , mais ce n’est pas suffisant

    • 17 juin 2014 à 18:32 | RAMAHEFARISOA Basile (#6111) répond à Rakotoasitera Fidy

       « Nous porrons faire mieux que ceux d’en face ».Point barre !

  • 17 juin 2014 à 14:53 | Rahasimbery (#8396)

    Ici, il est question de pétrole, demain sera une affaire de cailloux et après demain, la lumière au bout...Il y a une logique implacable du traitement de l’information à la Malagasy : Une information révélée, son interprétation multiple et diverse, enfin, l’espoir aveugle qu’elle suscite. Logique religieuse ..Mais cependant la répétition marque la réalité de son sceau : la brutalité du quotidien...Néanmoins, il reste une expérience dont nous n’avons jamais goûté la saveur : la confiance ; en nous-même, entre nous...Ce « Nous » a-t-il encore un sens ?

    • 17 juin 2014 à 16:18 | Rahasimbery (#8396) répond à Rahasimbery

      Ici, il est question de pétrole, demain sera une affaire de cailloux et après demain, la lumière au bout...Il y a une logique implacable du traitement de l’information à la Malagasy : Une information révélée, son interprétation multiple et diverse, enfin, l’espoir aveugle qu’elle suscite. Logique religieuse ..Mais cependant la répétition marque la réalité de son sceau : la brutalité du quotidien... il reste néanmoins une expérience dont nous n’avons jamais goûté la saveur : la confiance ; en nous-même, entre nous...Ce « Nous » a-t-il encore un sens ?
       La confiance n’est pas un concept abstrait. Elle signifie, « même quand j’ai le dos tourné, je suis certain que, quoi qu’il advienne, tu me poignarderas jamais ». Pourquoi ? « Parce que nous sommes frères, sœurs, parents et que nos destins seront à jamais indissociables. » Il n’y a rien à attendre des politiques et d’une manière générale des institutions pour l’établir. J’ai bien écrit « établir » et non pas « rétablir. »
       En effet, si notre passé était aussi rassurant que certains osent le penser, nous aurions une Histoire qui, au delà même des notions telles que, ethnies, races, riches, pauvres, ignares, cultivés, fédère. Il y a une dimension créatrice de l’Histoire. Elle s’écrit dans le présent parce que ce dernier la considère comme nécessaire au bon fonctionnement de son métabolisme. Pour le moment, l’Histoire nous est indigeste parce que nous manquons de discernement.
       La confiance et le discernement ne sont pas des termes antagoniques. « Nous travaillons ensemble. Je te fais confiance, tu me fais confiance. Mais je peux aussi discerner tes meilleures propositions des médiocres voire des nuisibles et inversement. » La confiance est l’ennemie de la haine. La haine ne discerne pas, elle divise. D’un esprit malveillant, elle flatte, elle fomente, elle monte les uns contre les autres.
       Enfin, la liste n’est pas exhaustive, la confiance n’est pas un gage de vérité mais essentiellement d’expérience pratique. « Nous nous faisons confiance. Nous voulions construire un barrage, je me déclarais incompétent. J’ai suivi tes avis. le barrage a cédé. Nous nous sommes fâchés. Mais notre confiance demeure. » La réussite d’une expérience est contingente. En tout état de cause, ce qui est à retenir, c’est l’élan commun basé sur la confiance. Bien sûr, aucun de nous n’a souhaité la faillite du projet. Si tel est le cas, nous ne serons plus dans la relation de confiance mais perverse.

  • 17 juin 2014 à 19:32 | jansi (#6474)

    On rentre dans une période ou la technicité est de rigueur.
    Plusieurs domaines sont concernes :
     impacts environnementaux
     impacts économiques et sociaux
     gestion des finances publiques et fonds souverains pour éviter le syndrome hollandais des années pétrole en mer du nord.
     et beaucoup d’autres secteurs lies directement ou non au renouveau pétrolier.

    Cela écarte les spécialistes des improvisations et de l’intuition, les autodidactes, les DJ, et autres farfelus qui veulent gérer le pays.
    Le PRM HR est un intellectuel, un cartésien qui saura j’espère s’appuyer sur de vraies compétences locales ou étrangères. Fini l’ère des babakoto et des faces fessières.
    Au boulot ! Hauts les cœurs !

    • 18 juin 2014 à 18:16 | Jipo (#4988) répond à jansi

      Mr jansi !
      Avez-vous des spécialistes en eau lourde ?
      Spécialiste en exploitation et forage ?
      le ministère des hydrocarbures est-il à la hauteur et de taille à discuter d’ égal à égal avec ces prédateurs ?
      Permettez-moi d’ en douter ...

  • 19 juin 2014 à 02:36 | Radepy (#7163)

    C’est le fameux pétrole de Ratsiraka, il disait vrai mais le contexte économique ne permettait pas d’exploiter le gisement.
    Que ceux qui le traitaient de MENTEUR se ... !

    • 19 juin 2014 à 02:50 | Radepy (#7163) répond à Radepy

      Sincèrement, il lui manquait un seul dernier mandat, entre 2002 et 2006 pour changer l’histoire politique et économique du pays. Une croissance à deux chiffres ... Tantely Andrianarivo ne pouvait pas se tromper de ses prévisions ...

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