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Energie

Crise énérgétique

Accès à l’énérgie : la Banque mondiale appelle à libérer l’investissement privé

vendredi 21 février | Mandimbisoa R. |  1818 visites  | 32 commentaires 

Dans un communiqué publié hier, la Banque mondiale appelle à libérer l’investissement privé pour accroitre et améliorer l’accès à l’énergie dans pays.

L’Etat s’est fixé un objectif ambitieux d’atteindre 80 % d’accès à l’électricité d’ici 2030. Sans le soutien du secteur privé, atteindre cet objectif est impossible, déclare la Banque mondiale. Actuellement, seulement 36 % de la population bénéficie d’un accès à l’électricité, souvent de manière inconstante, rendant la situation critique tant pour les ménages que pour les entreprises. Pour répondre à ces défis énérgétiques, la Banque mondiale estime qu’il est impératif de mobiliser 7,2 milliards de dollars, dont 4,5 milliards provenant du secteur privé.

La participation du secteur privé est cruciale pour résoudre le crise énérgétique, rappelle la banque mondiale. Il est impératif de créer un climat de confiance et un cadre propice à l’investissement. Cela passe notamment par l’amélioration de la viabilité financière et opérationnelle de la Jirama et un environnement fiable où les investisseurs sont assurés de rentabiliser leur projets, poursuit-elle.

La Banque mondiale soutient que pour catalyser l’investissement privé et moderniser le secteur de l’énergie, les mesures à prendre sont claires : rénover les centrales existantes, encourager l’essor de nouvelles installations solaires et renforcer les réseaux de transport et de distribution. Ces changements pourraient permettre d’ajouter 130 MW à la capacité de production d’ici fin 2026, une avance nécessaire pour réduire les coupures d’électricité.

Des projets comme le LEAD (Least Cost Electricity Access Development), soutenant les entreprises privées en zones reculées, et le Fonds DECIM (Digital and Energy Connectivity for Inclusion in Madagascar), créé pour l’inclusion énergétique, montrent que la mobilisation du secteur privé est non seulement possible mais bénéfique, déclare la Banque mondiale.

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32 commentaires

Vos commentaires

  • 21 février à 10:22 | Isandra (#7070)

    Je pense que c’est une bonne chose, la preuve, la télécommunication, pour élargir rapidement la fourniture.

    Toutefois, comme c’est un secteur stratégique, dans un premier temps, il vaut mieux proceder par la voie de demonopolisation, l’ouverture large du secteur, mais, non pas par la privatisation en totalité de la Jirama.

    • 21 février à 11:05 | bekily (#9403) répond à Isandra

      appel à eavatomanga et aux foza karana à faire des INVESTISSEMENTS PRODUCTIFS A MADAGASCAR MEME ?????

    • 21 février à 13:43 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Voire « BLANCHIMENTS D’ARGENT SALE » ????comme l’indique Jipo.

    • 21 février à 13:46 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Privatiser en totalité le domaine énergétique ,
      serait vendre Madagascar au plus offrant, pieds et poings liés...
      Mais avec des mafieux veules et corrompus , il faut s’attendre à tout.

  • 21 février à 10:49 | Vohitra (#7654)

    Tiens, on dirait un publi-reportage, d’ailleurs, personne ne signe l’éditorial...

    7.2 milliards de dollar, c’était ce qu’avait annoncé le pacte énergétique d’un sucré du peuple...

    De prime abord, l’objectif de « libéralisation de l’investissement privé » ne pose aucun problème si et seulement si le jeu de la transparence est largement respecté d’une part, et d’autre part, toute idée de concession ou de cession d’actifs étatiques devra impérativement passer à travers l’approbation d’une majorité de deux tiers au niveau de la représentation nationale...

    Ensuite, étant donné que le secteur énergétique est vital pour la Nation et sa marche assumée vers le progrès humain, la libéralisation envisagée ainsi que le déploiement des initiatives privées et publiques à travers le pays devraient impérativement être associés avec une décentralisation effective politique et économique réelle sur l’ensemble du territoire de la République, et ne doivent jamais rester parmi les prérogatives du gouvernement centralisé et encore moins de la seule décision issue d’un décret unilatéral.

    Par ailleurs, comment peut-on dans le contexte du moment assurer un la prévalence d’un climat de confiance et un cadre propice à l’investissement « étranger et direct, essentiellement privé », dans un pays qui s’éloigne à grandes enjambées des critères d’une gouvernance démocratique transparente et assumée avec une adhésion populaire ?

    • 21 février à 11:16 | Vohitra (#7654) répond à Vohitra

      Ensuite, le développement d’initiative visant la modernisation du secteur énergétique avec des étapes et procédures claires et transparentes reste un souhait partagé, largement admis et ne fait objet d’aucune contestation. Seulement, le doute s’agissant de la bonne volonté du régime politique promoteur pour s’y faire est tout à fait légitime... l’affaire Romy Voos avec Gemfields est tout à fait révélateur sur l’appréhension formulée. La corruption économique est un danger plus pire qu’un monopole d’État défaillant...

      Enfin, la mobilité du secteur privé dans le secteur est bénéfique, personne n’en doute compte tenu de la situation économique lamentable traversée par le pays, mais que cette situation ne se transforme pas en opportunités pour les vautours et autres pirates pour assurer une mainmise d’un secteur vital pour développer une monopole ou une oligarchie privée à travers de politiciens véreux et ennemis de la transparence démocratique...

  • 21 février à 12:01 | Vohitra (#7654)

    Un hors sujet...

    Une partie des remblayages réalisés dans le cadre de la construction de la nouvelle autoroute venait d’être emporté par la crue générée par la pluviométrie abondante de ces derniers temps...

    Des crédits, des dettes publiques, des rizières paysannes réquisitionnées de force... emportés et disparus à jamais...

    Tout ça, à cause d’un défaut de programmation, de l’absence d’étude d’impacts environnementaux et sociaux...et d’un ego surdimensionné inégalable...

    A ce rythme, un surcoût est prévisible...

    • 21 février à 12:42 | lé kopé (#10607) répond à Vohitra

      Hors sujet ,
      La culture du riz hybride , avec les semences et les engrais importés , rencontre des difficultés dans son exploitation.
      Là où le bât blesse , c’est que nos agriculteurs se sont engagés à rembourser les dettes liées à l’emploi des semences et des engrais .
      Comment pourraient ils trouver les moyens fiduciaires pour payer leurs dettes , alors que les productions seront aléatoires .
      Lors d’une émission de grande écoute sur TV Plus , ul Député d’Arivonimamo , Ingénieur agronome de Profession a déjà ptévenu sur l’inefficacité de cette méthode .
      Mais le Député d’Atsimondrano , célèbre pour avoir humilié un Enseignant d’EPS , pour avoir fait souffrir son rejeton ...essouflé, a traité son collègue plus bas que terre , en disant que si le Chef de l’Etat , qu’il vénère a décidé ainsi , c’est qu’il a raison ...
      Le chef a toujours raison , jusqu’à preuve du contraire .

    • 21 février à 12:44 | Jipo (#4988) répond à Vohitra

      Pensez aussi que les investissements « privés » à qui l’ on va dérouler le tapis mena et les bras ouverts risquent d’ être une porte ouverte aux blanchiments polymorphes, qui pour « vérifier » la provenance de ces fonds quand ils sont aussi nécessaires pour ne pas dire « capitaux » sans jeu de mot ? ...

    • 21 février à 13:54 | Zora (#10982) répond à Vohitra

      Ce n’était pourtant pas difficile à prévoir. Mais non, Cédric vazaha visionnaire n’a rien vu. Laissez les remblayages nus en pleine saison des pluies et de cyclones, c’est de l’inconscience. C’est encore la population déjà à genoux qui en pâtira. Il ne passe pas un jour où on annonce une catastrophe. La cocotte finira par exploser.

    • 21 février à 15:34 | Isandra (#7070) répond à Vohitra

      Lékopé,

      Comme d’hab, vous gobez tout ce que les détracteurs vous nourrissent.

      Les paysans d’Ambatondrazaka satisfaits de cette semence et demandent la continuité du projet.

      https://actu.orange.mg/riz-hybride-les-paysans-dambatondrazaka-satisfaits-et-demandent-la-continuite-du-projet/?fbclid=IwY2xjawIlUPBleHRuA2FlbQIxMQABHRxYOAM_BSjxHyhCOZ2r0bJYlZOOoF5XGkrsmPzvJcixhLazd3x7_3MM5Q_aem_N8tbaLSEbIiEUM-SeAyPpg

  • 21 février à 12:51 | Jipo (#4988)

    Pour le riz hybride et tous les hybrides produits en majorité / Monsanto ont ruiné des milliers de Paysans Indiens sans parler de l’ Amérique du Sud : particulièrement avec le coton entre autres semences ...

  • 21 février à 14:21 | Vohitra (#7654)

    Ira-t-il à Casablanca ce jour ?

    C’est aujourd’hui je crois la remise de la distinction honorifique (sic)« african political leadership award »...

    Un show médiatique à prévoir, les experts et spécialistes de la lèche vont jubiler...

    Jipo et ses stocks de pneus pourraient un jour participer à la décoration avec des feux d’artifice pour la prochaine remise de trophées...

    • 21 février à 15:20 | Isandra (#7070) répond à Vohitra

      ITV,

      Comment rater telle consécration, c’est importante pour un politicien comme lui, la grande pub à l’échelle internationale. Ses adversaires auraient voulu être à sa place.

    • 21 février à 17:46 | Tsisdinika (#3548) répond à Vohitra

      D’après le site web de l’organisateur, cet obscur canard répondant au nom de African Leadership Magazine, notre célèbre leader y assistera ainsi que sa ministre des finances. Rappelons que le prix décerné est attribué par voting par sms du grand-public et il est facile de commanditer des votes par ce moyen à partir de machines à propagande équipées de simples téléphones.

      Le prix le plus connu et le seul qui compte vraiment est le prix Mo Ibrahim, décerné aux anciens présidents et chefs de gouvernement sur des critères de bonne gouvernance. Autant dire que l’autre n’a aucune chance, ni maintenant ni jamais.

  • 21 février à 14:41 | Isandra (#7070)

    Et le 3P s’applique déjà dans la realisation de certains projets dans secteur, toit en gardant la souveraineté nationale très chère de ce régime.

    "Le projet hydroélectrique de Volobe marque une avancée majeure avec le démarrage des étapes préalables aux travaux de construction. Avec une capacité installée de 120 MW et une production annuelle moyenne de 750 GWh, il s’impose comme une solution incontournable pour répondre aux besoins énergétiques croissants du pays.

    Volobe Amont contribuera à hauteur de 25 % à l’objectif national d’augmentation de l’accès à l’électricité et couvrira 35 % de la consommation électrique actuelle. Grâce à cette production stable et renouvelable, le projet réduira la dépendance aux énergies fossiles en limitant l’importation de fuel, un levier clé pour améliorer la balance des paiements de l’État et assainir les finances de la Jirama.

    L’injection de cette énergie verte et fiable dans le réseau permettra de stabiliser l’approvisionnement en électricité, d’éliminer progressivement le délestage et d’améliorer la qualité du courant pour les ménages comme pour les entreprises. Cette fiabilité renforcée est essentielle pour soutenir le développement industriel et économique du pays.

    Le soutien de la communauté internationale se concrétise dans cette phase stratégique. L’Ambassadeur de l’Union européenne à Madagascar, Roland Kobia, et l’Ambassadeur de France, Arnaud Guillois, ont visité le site du futur barrage ce 20 février .Ils ont réaffirmé l’appui de leurs pays respectifs à ce projet structurant, qui marque une avancée décisive vers l’indépendance énergétique de Madagascar."

  • 21 février à 15:12 | Isandra (#7070)

    Et l’Etat n’attend pas pour augmenter la production et atteindre les objectifs fixés.

    "Madagascar mise sur les énergies renouvelables pour réduire les coûts de production d’énergie. La Grande île s’apprête à franchir un nouveau cap dans sa quête pour une production d’électricité plus durable et respectueuse de l’environnement. Jeudi dernier, le MEH a annoncé la mise en place prochaine de 78 centrales solaires à travers le pays, dès le début de l’année 2024. Cette initiative, qui devrait considérablement augmenter la capacité de production électrique, est sur le point de devenir une réalité palpable. Les panneaux solaires nécessaires pour concrétiser ce projet d’envergure sont attendus ce mois-ci au port de Toamasina, annonçant ainsi le début concret de cette transition énergétique.

    Les sites destinés à accueillir ces parcs solaires ont été préparés en amont, confirme le ministère en charge du dossier. En effet, cette préparation en amont témoigne de la volonté et de l’engagement de la Jirama et du MEH à embrasser pleinement les énergies renouvelables.

    Hybridation
    L’objectif principal de cette initiative est de réduire la dépendance aux énergies fossiles dans la production d’électricité, selon les déclarations du ministère. Actuellement, la Jirama dispose de 110 sites de production électrique à travers le pays, pour essayer de répondre aux besoins de ses clients. Les 78 nouvelles centrales solaires viendront renforcer ce réseau existant. La stratégie adoptée par la Jirama et le MEH repose sur l’hybridation des centrales de production d’électricité, en commençant par celles encore dépendantes du gasoil et du fioul lourd (HFO). Ce processus permettra graduellement de diminuer la dépendance aux énergies fossiles et d’accroître la part des énergies renouvelables, notamment l’énergie solaire, moins coûteuses.

    • 21 février à 15:15 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      L’Etat fait de gros effort, la majorité sont financé par son fond propre.

      Selon les informations officielles, le financement propre de l’État permettra l’installation de 46 centrales solaires, générant une capacité totale de 50 mégawatts (MW) d’électricité. Les 32 autres centrales seront installées dans le cadre du projet DECIM, en partenariat avec la Banque Mondiale, et auront une capacité de production de 27 MW. Au total, ces 78 centrales solaires devraient fournir jusqu’à 77 MW d’électricité, a expliqué le ministre de l’Énergie et des Hydrocarbures, Solo Andriamanampisoa, lors d’une rencontre avec les médias à Antanetibe Ilafy. Cette transition vers des énergies renouvelables représente un pas significatif pour Madagascar dans sa lutte contre le changement climatique et dans la construction d’un avenir énergétique plus durable. Cette initiative pourrait également ouvrir la voie à d’autres projets similaires, encourageant ainsi d’autres nations à suivre cet exemple vertueux pour la planète. Elle permettra surtout d’améliorer les opportunités socio-économiques, surtout en ce qui concerne la promotion des activités productives."

    • 21 février à 18:34 | bekily (#9403) répond à Isandra

      TARRRRRRAAAATATAAAA
      HOY NY SODINA GASY MIVALANA NY PROPAPANDY
      Bevava foana ry boloky isany
      kanefa tsy mahavita azy

      Inona ny vaon- dalana atraminy 2009 ???

      Gorodana foana atramn’izay !
      LASA TANY FARAN’IZAY MAHANTRA INDRIDRY ERAN’ IZAO TONYOLO IZAO
      hoy .ny BANQUE MONDIALE SY FMI
      ( desambra 2024 !!!)

      Babakoto faly vokisana teny fositra na ambasadaoro zatra mandoka sy mandainga
      ( langage diplomatique)
      Foza tsotsotra fa mahay mangalatra .

    • 21 février à 20:39 | Zora (#10982) répond à Isandra

      Ce n’est plus 400 MG comme promis il y a 5 ans... Et où sont les 1000 bus qui devaient arrivés en 2023 ?
      Nouzalon, nouzalon, nouzalon, nouzalon...

  • 21 février à 15:55 | Jacques (#434)

    HS :

    https://www.youtube.com/watch?v=BvXK63grwi4

    Le Sénégal aussi a eu son indépendance en 1960.

    • 21 février à 16:51 | Isandra (#7070) répond à Jacques

      Papy Jacques,

      Les résultats sont en fonction des investissements utilisés.

      Sachez que les dettes de Sénégal s’élèvent à 28 milliards d’euros, 99% du PIB, contre environ 7,5 milliards celles de Mada, 55% du PIB

      Et les coûts de la construction de ce métro seraient 1.200 Milliards CFA, 1,8 milliards d’euros, contre 260 millions d’euros, TLC.

      Imaginez si on avait investi ne serait que 25 milliards à Madagascar, ce pays frolerait le seuil de l’émergence.

    • 21 février à 17:20 | Vohitra (#7654) répond à Jacques

      Malheureusement, c’est « le deuil » de l’émergence qui a sonné...

      Comme la promesse de construction de 50.000 logements durant le quinquennat mentionné en 2018...

      En 2025, à peine 3.200 achevés...

      C’est la faute au micro bien sûr...

      Le Calife Rainilaingarivony n’a rien à se reprocher du tout...

    • 21 février à 18:07 | Isandra (#7070) répond à Jacques

      ITV,

      He izany izy en 2018, où personne n’avait prévu l’arrivée de COVID-19, qui a rendu plusieurs bailleurs privés et investisseurs frileux et exigeants,..

      Sans Covid(des années blanches), tous ces projets seraient réalisés.

    • 21 février à 19:04 | Vohitra (#7654) répond à Jacques

      O ry kaondrana tsy mitampoka !

      Tamin ny 2018 dia nambara mazava ho ren ny vahoaka fa efa vonona ny vola, efa eo ary misy...

      Koa inona no hidiran ny Covid amin izany aty amin ny 2020.?

      Bolongana be botrandainga fotsiny ianao ry nandra...

  • 21 février à 17:19 | RN13 (#11689)

    Metro de Dakar : ouvert depuis 2021, 115.000 passagers par jour
    Telepherique de Tana : 0 passagers jusqu’a present

    • 21 février à 17:30 | Isandra (#7070) répond à RN13

      RN13(qui sera sûrement inaugurée cette année).

      Comme le TLC, ce projet avait suscité de polémique :

      « Le lancement des travaux du Train Express Régional (Ter), en 2016, par le président de la République, Macky Sall, avait suscité beaucoup de débats sur la pertinence du projet et sa rentabilité, au vu de son coût estimé à plus de 800 milliards, selon le gouvernement, et plus de 1000 milliards, selon des chiffres annoncés par l’opposition. Aujourd’hui, un an après sa mise en service et son exploitation, la polémique sur la rentabilité de l’infrastructure refait encore surface, avec la publication de l’article du journal français Le Fiagaro, qui soutient que le Ter est une propriété exclusivement française. »

  • 21 février à 18:14 | RN13 (#11689)

    Mais au moins ce Metro est fait et il fonctionne. Ici il n’y a que des paroles et des promesses depuis des annees :
    https://web.archive.org/web/20130501154142/http://www.lexpressmada.com/infrastructure-madagascar/42866-la-rn-13-prend-un-enjeu-politique.html

    • 21 février à 18:57 | bekily (#9403) répond à RN13

      Des promesses
      Des prétentions
      Des usines à gaz
      Taratata sans fin depuis 2009
      Pour finir
      ’ PAYS LE PLUS PAUVRE DU MONDE
      SELON LE FMI ET LA BANQUE MONDUALE
      Décembre 2024

      BALIVERNES !!!!
      DÉLIVREZ NOUS DE CES DANDYS DES TROPIQUES !
      DU BALAI !!!!!

  • 21 février à 18:53 | Jipo (#4988)

    Grace au Chinois et Allemands et comme toujours la gestion sera octroyée ou réservée aux lumières qui dirigent ce Pays , n’ ont-ils pas fait leur preuves avec la zirama, Air mad, la Sotema et autres euthanasiés ?
    De répéter que des qu’ une société se monte à Madagascar les morpions parasites de l’ aristocratie se jettent dessus comme des sangsues en ramadan depuis leur existence !
    Ne donnant pas cher de sa longévité ...

    • 21 février à 19:06 | bekily (#9403) répond à Jipo

      Grand bien nous fasse , de savoir combien d’investisseur étranger se sont établis à Mada depuis 2009 ???

      Je parle d’entreprise productive qui crée DES emplois et paient des impôts conséquents.

      et non d’etablissement bouibouille qui se tate en « investissant son RSA » en gargotte par exemple...dans les coins touristiques perdus.

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