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Depuis le début du mois d’octobre, les entreprises en zone franche sont dans le doute. Elles ont exprimé de sérieuses inquiétudes quant à l’avenir du partenariat avec l’AGOA. Bien que des propos plus ou moins officiels laissaient entendre que rien n’est encore perdu si d’ici le mois de décembre le pays réussit à sortir de la crise, ces entreprises en zone franche qui vivent essentiellement de la production et du commerce offerts par l’AGOA ne sont pas rassurées. Actuellement, elles attendent avec impatience une mission japonaise de l’Institut developping economy qui pourrait se présenter comme une alternative ou une solution intermédiaire, c’est selon. En effet, les experts de cet institut seront bientôt dans le pays pour examiner et évaluer la situation des entreprises en zone franche si elles sont en mesure de répondre aux besoins ou aux critères requis par le marché japonais. Une lueur d’espoir se profile-t-elle à l’horizon pour ces « zones franches » ?
Recueilli par Valis
Vos commentaires
Dites moi Valis : personne chez les foza ne veut s’occuper de ce tres grave probleme ???
A part se pavaner devant les cameras ...
Et on dirait que meme rabri s’en fout ...
Ils ont raison de s’inquieter, l’ AGOA est le plus sûre que les autres, Il faut faire vite toutes les tractations pour retablir le plus vite possible ce partenariat, il faut en parler avec à Mme HILARY CLINTON s’il le faut , malheureusement nous n’ avons pas encore de premier ministre ou du moins on en a plusieurs, virtuel, de la rue, parachuté,etc.... J’ ai entendu que les americains sont prêt de nous aider puisque nous sommes sur la bonne voie de realiser les accords de Maputo, alors que tous les politiciens se(presque tous ) trouvent à PARIS pour demander des Conseils, pourquoi faire ??? est ce que MADAGASCAR est un departement français ???,,,