La France était représentée au Groupe international de contact sur Madagascar par Alain Joyandet, Secrétaire d’Etat à la coopération et à la Francophonie. Cette participation active traduit l’engagement de la France en faveur d’une solution équilibrée, correspondant aux attentes du peuple malgache.
La France salue le travail réalisé par le G.I.C qui n’a pas ménagé ses efforts pour relancer le processus de sortie de crise.
Le G.I.C a réaffirmé la primauté absolue du dialogue sur toute autre alternative, ainsi que la nécessité de mettre en place une transition consensuelle et inclusive qui doit permettre d’organiser des élections libres, crédibles et indépendantes, afin de sortir durablement de la crise actuelle.
La communauté internationale a également rappelé sa détermination à poursuivre les efforts internationaux en cours, conduits par l’Union Africaine, qui visent à favoriser l’émergence rapide, entre Malgaches, d’un processus de sortie de crise.
La France salue l’initiative de Jean Ping de se rendre à Madagascar d’ici le 25 janvier pour présenter aux malgaches les propositions de compromis de la communauté internationale sur les questions laissées en suspens.
Avec la communauté internationale, nous appelons les parties à poursuivre les négociations dans le même esprit de compromis et avec le même sens des responsabilités nationales que ceux qui ont permis les avancées récentes à « Maputo I » (8-9 août 2009) et à Addis Abeba (4-7 novembre 2009).
Vos commentaires
Il faut être sourd, et aveugle depuis 1 an pour ne pas voir le jeu de l’ Etranger dans cette histoire. Que le xéno-type politique ne se déclare pas seulement, mais aussi se conduise humainement « OUT » des affaires malgacho-malgaches de Madagascar, et vous verrez les humanités refaire surface sur les parvenus de Madagascar.
La question aujourd’hui est l’interprétation de la grande immobilité militaro-civile. Le monde a malgré lui tendance aujourd’hui à penser que ce régime est ... populaire. Il est donné suffisament de signaux au peuple, mais la mécanique ne répond pas, ou plus.
La meilleure voie vers le meilleur avenir populaire est la démocratie créée par un partage du pouvoir équitablement entre les 4. C’est la seule voie. Si le malgache pensera encore dans une génération, il regrettera d’avoir laissé une minorité intéressée faire semblant de faire de la politique nationale.
Pour y arriver, s’il faut des victimes, (il y a tendance à dire :) SOIT !
Monsieur le porte-parole,
Monsieur,
Comme vous le savez , ce conflit reste toujours en actualité.Pourquoi ?
Parceque un des 4 mouvances ne veut plus ou pas travailler avec les autres ,
Combien de fois, on lui demande, pour le bien du pays ,de revenir à la table de négociation ? Mais sa volonté de diriger seul le pays est plus fort que l’avenir de tout un peuple .
Le refus des accords et signatures des 4 nous mènent dans le CHAOS total...(chomage,famine,vandalisme et j’en passe)
La démocratie,La liberté d’expression qu’il avait crié sur tous les médias du monde en janvier09 n’existent plus dans ce pays:on nous emprisonne,on nous baillonne,ce sont les bottes et les fusils qui ont le droit
Nous savons tous ,que si vous vous interessez à notre problème c’est surtout pour l’avenir des Français ,mais pensez aussi aux peuples Malagasy qui souffrent en ce moment...
Qu’est-ce qui vous empêche de dire et de condamner haut et fort ces quelques personnes irresponsables qui bloquent le pays entier ?
Si c’était en France ,accepteriez-vous de telle chose ???
Monsieur le Porte-parole,
J’ai encore en tête, un beau matin du mois de mars 2009, l’annonce par RFI (Radio France Internationale) concernant la « mise sous la protection de l’ONU » du jeune putschiste et de sa clique, après avoir trouvé refuge auprès de l’Ambassade de France.
En tant que juriste, féru de droit international public, je me suis longtemps posé la question suivante : En application de quel droit la France a-t-elle hebergé et accueilli un putschiste (ayant semé le désordre et la mort - il est à l’origine de la journée noire du 26 janvier 2009) ? En vertu de quelles dispositions du droit international public, l’asile lui a été accordée, ne donnant ainsi aucune marge de manoeuvre au pouvoir en place à l’arrestation des fauteurs de trouble (le droit malagasy comportant, bien entendu, des dispositions pénales concernant les auteurs de trouble à l’ordre public (actuellement appliquées à tort et à travers par ces putschistes pour mettre en taule les opposants ou simplement ceux qui manifestent leurs opinions), les auteurs des atteintes à la sûreté de l’Etat et autres joyeusetés visant à renverser un pouvoir en place.
N’avez-vous pas condamné (ou fait semblant de condamner) le coup d’Etat en Mauritanie et accepté par la suite la tenue unilatérale d’élections faussées ? N’avez-vous pas condamné les auteurs du putsch de Conakry en Guinnée ? Pourquoi n’avez-vous pas condamné aussi fermement les auteurs du coup d’Etat à M/car ? Le Niger (de Tandja qui a fait fi de tout principe démocratique), je le mets à l’écart, vu qu’Areva exploite déjà à fond son uranium !
Pourquoi avez-vous pris ce putschiste sous votre aile ? En était-il autrement s’il ne détenait pas la double nationalité ? En serait-il autrement si les intérêts de votre pays ne sont pas mis dans la balance ? Voir les contrats déjà accordés illégalement et illégitimement aux entreprises de l’Hexagone.
Lorsque les considérations géopolitiques et stratégiques tant sur le plan économique que sur le plan purement politique motivent vos actions, il n’est point besoin de se fendre d’un communiqué servant à semer le doute sur vos véritables intentions. D’ailleurs, en tant que membre « simple » du GIC, ne deviez-vous pas vous limiter à agir de façon collégiale et collective avec les autres membres, au lieu de « se la jouer en solo » ?
Malheureusement, nombre de mes compatriotes sont naïfs et crédules, voire ignorants et incultes. Mais de grâce, ne les méprisez pas pour autant !
Annie Remh !!
Dites-vous juriste,féru de droit international,il serait préférable pour vous de ne pas engager le « fer » contre la FRANCE.
Nous nous retrouverons sur le plan juridique « national » ou « international ».
Pour l’intérêt de MADAGASCAR,dégagez-vous,de cette discussion« diplomatique-stratégique-économique ».
Vous le voulez ou pas MADAGASCAR marchera la main dans la main avec la FRANCE (Commission de l’Océan Indien)
Basile RAMAHEFARISOA
Miarahaba ny rehetra,
M.Basile,
Ary aiza ilay PAYS DU DROITS DE L’HOMME ???
Ary aiza ilay DROITS DE L’HOMME ???
Sa rehefa ho an’ny frantsay sy ireo mpisolelaka azy dia misy izany fa ho an’ireo hafa dia MARCHE OU CREVE ?
Fandrahonanana sa inona no filazanao izao soratra ataonao izao,Ianao no tokony hipetraka tsara sy hangina any amizay misy anao any !!!
FA AIZA NY LIBERTE/ EGALITE/ FRATERNITE -anareo e !
ARY AIZA NY DEMOCRATIE ???
ary IANAO angaha no conseiller-an’io rangahy io sa izay tianao atao no tanterahin’ny frantsay ho eto amin’ny firenena ???
Raha tsy mitsabaka amin’ny raharaha an-tokan-tranontsika ny frantsay dia tena firenena feno fahendrena tokoa ka azo henoina, saingy .......efa haintsika ny « mantra » lava averimberin-dry mpitondra teny sy ny forongony !
Alefaso aty i jauni halliday hanao rindran-kira ....
’Ne pas engager le fer contre la France’
Venant de quelqu’un qui a ’renié’ son identité pour s’exhiler en France , bientot
50 ans , n’est point une surprise
Mais se poser en donneur de leçons pour ce quelqu’un qui n’a plus aucune affinité avec les réalités malagasy ..... Il ne faut point s’étonner s’il se fait traiter de tous les noms d’oiseau