« La première leçon à en tirer est, une fois de plus, le manque de transparence pour des opérations qui engagent les ressources naturelles du pays ». C’est la première conclusion des membres de l’Observatoire de la Vie Publique, SEFAFI, publiée hier dans les journaux Malgaches, suite à l’affaire « Daewoo à Madagascar ». La SEFAFI a procédé à un rappel des faits avant de donner leurs conclusions. Il y a un rappel de l’article paru dans Financial Time, le 18 et 20 novembre dernier, qui parle de la location pendant 99 ans par Daewoo, de 1,3 millions d’hectare de terres cultivables à Madagascar. Il y a aussi l’article de demi-page paru dans le Monde, le 21 novembre et qui parle de la même chose. À partir de ces faits, la SEFAFI lance un appel à la souveraineté nationale et plus précisément la souveraineté économique.
SEFAFI et l’affaire Deawoo
Appel à la transparence des affaires de la nation
vendredi 12 décembre 2008 |