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lundi 16 juin 2025
Antananarivo | 14h22
 

Agriculture

Transformation agricole

L’Etat prône une agriculture intensive

vendredi 24 janvier | Mandimbisoa R. |  2026 visites  | 92 commentaires 

Le coup d’envoi des Journées nationales de réflexion sur la transformation agricole a été lancé hier au Centre de conférences international à Ivato (CCI). Révolutionner le secteur agricole et garantir la souveraineté alimentaire sont les maîtres mots de cet évènement.

Dans un monde touché de plus en plus par le changement climatique, les problèmes environnementaux, le besoin d’aller vers une agriculture plus intensive pour faire face aux défis de la faim se fait de plus en plus pressante pour l’Etat. Grâce au riz hybride, le pays vise une hausse significative de sa production et ambitionne de redevenir un acteur clé du marché rizicole en Afrique et dans l’océan Indien. Andry Rajoelina, dans son discours hier à Ivato a exprimé son ambition d’augmenter la production rizicole de 25% cette année, soit une hausse de 1 million de tonnes de paddy.

Selon le plan gouvernemental, l’objectif est d’atteindre un rendement de 7 à 10 tonnes de riz par hectare grâce à la modernisation des équipements, la distribution de semences hybrides, la promotion d’engrais locaux et des partenariats public-privé. Un investissement de 122,7 millions de dollars USD, prévu dans le projet de loi de finance 2025 améliorer le secteur rizicole dans le pays.

Inspiré par le modèle chinois, le gouvernement a inscrit la culture du riz hybride au cœur de son Plan Émergence Madagascar (PEM). Certains techniciens agricoles émettent pourtant des réserves sur les semences importés que l’Etat compte distribuer aux paysans, ils parlent de leur inadéquation à la qualité du sol malgache. Le Chef de l’Etat martèle de son côté que les essais sur ses semences se sont avérés concluants.

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92 commentaires

Vos commentaires

  • 24 janvier à 10:32 | citoyendumonde (#4292)

    Iza moa ilay niteny hoe mambole ianareo artemesia fa tsy vary ? Firy taona moa vao voakatra ny vary ? roa taona moa izy izay. Dia ity indray ny riz hybride no atao malaza. Tena manam-pahaizana mihintsy ireto olona ireto

  • 24 janvier à 10:48 | Isandra (#7070)

    Quelle détermination ! On veut finir une fois pour toute avec cette pauvreté, il faut commencer par avancer la majorité, le monde rural. Il a raison le Président, quand la vie de nos ruraux s’améliore, Madagascar se développe.

    En tout cas, on constate la révolution dans ce monde rural, ces dernières années, couvert par les panneaux solaires, le téléphone, l’internet, l’audiovisuel,...etc

    • 24 janvier à 11:05 | MALIBUC (#9345) répond à Isandra

      On voit que vous êtes en France les foza vous ne connaissez pas la ruralite.
      Allez donc faire un tour dans le sud ou bien dans le sud est et vous verrez si les gens ont internet et le téléphone, si les chefs fokontany ont adopté le numérique.
      Vous racontez n’importe quoi du moment que vous sucez votre Cedric Vazaha.

    • 24 janvier à 13:06 | Isambilo (#4541) répond à Isandra

      Triple débile !
      On te dit que le riz hybride n’est pas bon. Tu deviens prisonnier des fournisseurs. Et c’est du riz qui ne vaudra jamais le tsipala.
      La structure de rizières terrasses : tu fais comment pour intensifier la production ? Tu as l’argent pour acheter les Kubota et le carburant ? C’est toi qui vas déplacer l’appareil à chaque fois qu’on change de courbe de niveau ?
      Le Betsimitatra, tu vas l’aménager pour que les tracteurs puissent y être utlisés ? et les tatatra , tu vas les changer en tuyaux de chez le Karana du coin ?
      Fais dodo et passes à autre chose. Une autoroute sans station d’essence par exemple.

    • 24 janvier à 13:31 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Hihi
      « Il a raison le prezida » (???????????????)
      « Madagascar se développe »
      Toujours avec son expression flagorneuse et digne de l’academie foza quant au style...

      On peut dire que boloky est un :
      « MATORIANDRO MAMONOFY.... » dans le langage vilain detracteur ???

    • 24 janvier à 15:43 | lé kopé (#10607) répond à Isandra

      Vous n’ êtes qu’au stade de réflexion , alors que les autres Pays sont à l’Exportation .

  • 24 janvier à 11:09 | François poumarat (#11708)

    Tant que dédouaner des tracteurs à un prix raisonnable soit libéraliser l espace de la pampa malgache ne sera pas à l ordre du jour...no futur Isandra
    Et équipés des gendarmes vaovao avec eux aussi un tracteur pour être reconnaisables et montrer patte blanche (hihihi) équipés d une 12-7 c est une grosse mitraillette qui decoupe les voitures de bandits quels qu ils soient et comme ils ne manqueraient pas sortir de derrière les baobabs...

    • 24 janvier à 13:09 | Isambilo (#4541) répond à François poumarat

      La Pampa est un espace plan. Revoyer la géographie et n’hésitez pas à utiliser un langage habituel aux êtres humains assez nombreux sur la planète.

    • 24 janvier à 13:48 | bekily (#9403) répond à François poumarat

      Tous ces MILITAIRES PARASITES devraient accomplir un SERVICE CIVIQUE au moins utile pour le pays ( RURALITE ET TRAVAUX PUBLICS)

      Gallieni était diplômé de polytechnique et su des le départ en quoi investir pour développer : route, fer, eau et électricité
      Et c’était au XIX* siècle !

      Je ne rends oas hommage à Gallieni car il le FIT PAR OBLIGATION :
       DÉVELOPPER UN PAYS CONQUIS POUR MIEUX L’EXPLOITER !

      Les Chinois font de même en Afgique du Sud en finançant largement le chemin de fer international...pour mieux transporter les minerais qu’ils exploitent !

      J’aimerais mettre l’accent sur le coût exorbitant
      que les fozas paient pour une ARMEE PARASITE CORROMPUE INUTILE....

      Alors qu’ils peuvent aider au developpement du pays dans le cadre d’un :

       SERVICE CIVIQUE (pour la ruralite, les travaux publics et pourquoi pas enseigner en brousse)
      AU LIEU
       D’UN SERVICE MILITAIRE.

    • 24 janvier à 13:49 | bekily (#9403) répond à François poumarat

      Et sut et non su

  • 24 janvier à 11:37 | NTMO (#10005)

    Calculons un peu : (en arrondissant les nombres pour simplifier)

    Un million d’hectare de riziculture pour lesquels il faut 10 kg de semences hybrides importées chacun minimum.

    10 millions de kg de semences soit 10 000 tonnes de semences hybrides.

    Sachant que Madagascar n’en produit pas (ou bien d’un façon anecdotique), il faudrait donc importer 10 000 tonnes de semences hybrides.

    Tous les ans, car les semences hybrides ne se ressèment pas d’une récolte sur l’autre car elles ont perdu leurs caractéristiques.

    • 24 janvier à 13:18 | lé kopé (#10607) répond à NTMO

      Semences hybrides , comme les yeux des Asiatiques pour ...pleurer ?

    • 24 janvier à 15:19 | Jipo (#4988) répond à NTMO

      Les semences hybrides de type F1 sont stériles, sans gouts & annuelles, en plus d’ appauvrir les sols , gourmandes en eau quant à la qualité nutritive ... ?
      Ce qui me plait c ’est qu’ il sont tous là à déblatérer sur le sexe des anges bien calés dans des fauteuils à refaire le monde, avec l’ aide de « aussi branleurs qu’ eux », incapables de planter quoi que ce soit et n’ y connaissant rien à l’ agriculture ( ou l’ art de parler de ce que l’ on e connait pas !), en + de bouffer tous les budgets qui seraient constructifs et gratifiants s’ ils étaient utilisés par des hommes de l’ art pour ne pas dire de terrain ...
      Avec toujours cette tare d’ avoir les yeux plus gros que le ventre, la grenouille pour ne pas dire le crapaud qui voulait être plus gros que l’ hippopotame !
      Quant aux engrais locaux ça fait longtemps que les riziculteurs les attendent ...
      Pauvre Pays d’ être dirigé par des trisomiques pareils & ça veut faire comme les grands, avoir des portables, du numérique, du digital, du nucléaire , et pas capable d’ alimenter une ville en lumière, en eau ou en gaz n ’est-ce pas la fellatrice de service, mais tant qu’ l’ on pourra évaluer le développement à la quantité déféquée , on pourra se considérer comme sur la voie de l’ émergence & du développement , même si seulement 10% de parasites en profitent ...

    • 24 janvier à 15:48 | lé kopé (#10607) répond à NTMO

      Le service Civique , qui s’occupait de l’élevage et de l’Agriculture existait déjà à avant la grève des Etudiants en 1972.
      Ils avaient même une section Sportive ,,avec des Athlètes de bon niveau qui faisaient les Compétitions Nationales ...

    • 24 janvier à 15:49 | lé kopé (#10607) répond à NTMO

      En réponse à l’ami Bekily ...

    • 24 janvier à 16:07 | bekily (#9403) répond à NTMO

      Oui le kope
      Tsiranana avait bien créé un service civique..

      A l’époque PAS DE CORRUPTION DE MILITAIRES ( surtout corruption de gendarmes) COMME.AUJOURD"HUI

      De VRAIS militaires sont aussi formés aux techniques de travaux publics...( connaissance indispensable de la science martiale)
      Ainsi produit Polytechnique , avec glissement facile vers les ponts et chaussées et les mines
      ..

  • 24 janvier à 12:05 | Isandra (#7070)

    « Selon le milieu de résidence, 78% de la population réside en milieu rural et 22% en milieu urbain. »

    De ce fait, si on arrive à améliorer les revenus de ce 78%, Madagascar sera pays émergent.

    Cette amélioration commence déjà, parce que les efforts pour lutter contre le dahalo commence se faire sentir, selon le résultat des enquêtes de l’Instat, « la pauvreté rurale a légèrement diminué au cours de la décennie ».

    • 24 janvier à 12:50 | lé kopé (#10607) répond à Isandra

      Tandis que les Pays développés se ruent dans la culture Bio , Madagascar change de cap et se tourne vers les Chinois avec leurs riz hybrides ( pas que leurs yeux).
      Ce n’est que maintenant , après quinze années de gabegie , que le Calife a pris conscience , qu’avec nos 8M de terres arables , Madagascar pourrait retrouver le Marché Mondial du riz , comme du temps de La Première République .
      Mais la tentation du gain facile et de la spéculation à outrance ont pris le dessus sur l’effort et le travail quotidiens .
      Le Calife n’a-t-il pas exhorté nos agriculteurs à cultiver de l’Artémésia , qui lui semblaient plus rentables que la culture du riz ? A force de changer de cap à tout moment , il n’est pas étonnant que nous soyons classé comme le Pays le plus pauvre du Monde ? Même pas honte .
      Le Général Bomba n’a-t-il pas affirmé à Moscou , que Madagascar n’est pas pauvre car il y a des embouteillages dans les grandes villes ( et des taxi Vélos ), mais que les supermarchés sont pleins à craquer ? Les petites mains du forum ont eu la même remarque en disant que les immondices de La Capitale sont une marque de fabrique qui démontrent que nos compatriotes consomment à outrance , et que tous les spectacles sont à guichets fermés les jours de fêtes ?
      C’est la nouvelle façon pour nos Dirigeants de « qualifier » l’Indice de Développement Humain ou IDH. On ne peut pas dire qu’ils ont inventé la poudre ?
      Et qu’en est il de la production du riz du Bas MANGOKY , des terres alloués aux Arabes qui ont défrayé la chronique .
      Pour moins que cela , le Laitier a été destitué de son trône , pour avoir « envisagé » de louer à DAEWO, une petite parcelle de nos terres . Quel gâchis !

    • 24 janvier à 13:12 | Isambilo (#4541) répond à Isandra

      Bien sûr ! Ceux qui n’ont pas de rizières émigrent vers les centres urbains. Le phénomène est connu depuis des décennies sur la planète. On appalle ça « exode rurale ».
      Fais dodo.

    • 24 janvier à 16:09 | bekily (#9403) répond à Isandra

      AG ouiiiiiii ???
      Ce sera emergent ??????
      Raisonnement académique fozaesque....
      Comme le développement sans eau ni électricité.....

  • 24 janvier à 12:09 | Isandra (#7070)

    ANDRY RAJOELINA, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE - “Nous devons cultiver une mentalité qui aime produire, bâtir et redresser”
    Pour le président de la République Andry Rajoelina, Madagascar se développera quand les paysans producteurs s’enrichiront grâce à l’agriculture et l’élevage. L’Etat indique vouloir faire le maximum pour soutenir les producteurs afin d’assurer la transformation agricole du pays. Mais il faut aussi, selon le chef de l’Etat, que les habitants, de leur côté, changent de mentalité et développent un “mindset” de bâtisseur et de producteur. Extrait de discours.

    • 24 janvier à 12:56 | lé kopé (#10607) répond à Isandra

      Ce n’est qu’après quinze années qu’il a pris conscience de cette situation ? Votre Calife est donc bien long à la détente ?
      Rappelez vous qu’il a incité nos Paysans à cultiver de l’Artemisia , plus rentable , car le riz ne produit qu’après deux années « d’Hibernage ». Quelle incompétence et quelle incurie ?

    • 24 janvier à 13:16 | Isambilo (#4541) répond à Isandra

      The « mindset » ist kaput depuis longtemps. Et pourquoi pas le reset après avoir sauvegardé ce qu’il lui reste d’intellingence dans une clé usb ? Lui qui voyage beaucoup.

  • 24 janvier à 12:12 | kartell (#8302)

    Plaine de l’Alaotra : 40% de la surface, détruite par la sécheresse !
    https://midi-madagasikara.mg/plaine-de-lalaotra-40-de-la-surface-detruite-par-la-secheresse/

    • 24 janvier à 18:21 | bekily (#9403) répond à kartell

      C’est un cri d’alarme !
      SÉCHERESSE par ci
      SÉCHERESSE par.là

      Et on s’évertue encore à mettre des emplatres sur des jambes de bois,

      Comme restaurer ou créer des barrages sur DES COURS D"EAU DONT LE DEBIT SE RAREFIE ....( voir Ikopa et montagne d’Ambre)
      Ou pipeline toujours à partir de cours d’eau à débit qui se raréfie....

      Le lac ALAOTRA est ( était) le poumon de la production rizicole.....sa mise à mort économique planifiée par incurie du pouvoir serait dramatique.

      Combien de temps encore aura t on PEUR DE CRÉER DES USINES DE DESSALEMENT d,"eau de mer....??????

      De nombreux Pays appelés à LUTTER CONTRE la DÉSERTIFICATION y ont recours, comme de nombreux PAYS AFRICAINS et MAGHRÉBINS.

      * Pour des COÛTS D’INVESTISSEMENT MAINTENANT ABORDABLES ( moins d"un million de dollar) variables selon la taille ( ex Sénégal Gaza, Israël, iles Canaries, Sicile et autres pays du Maghreb ou d’Afrique.)

      Le coût d’un Colisee ou d’un stade barea tous les deux constituent un GÂCHIS IMPRODUCTIF.
      Et nos RESSOURCES en MINERAIS RARES devraient COUVRIR largement les DÉPENSES( plus d’un 1MILIARD de DOLLARS PAR AN ..de surcroit sans PLUS value !!! Des ressources parfaitement perfectibles ( plus value multiplie par 20 pour L’INDONÉSIE depuis 2024 après ine guerre des métaux depuis 2020 !!!)

      * Le système par OSMOSE le plus efficace est
      ENERGIVORACE ,mais tous ces pays ont recours à L’ÉNERGIE SOLAIRE en grande majorité

      * le PROBLEME DE POLLUTION des dépôts de sel est réel, comme pour TOUTE IMPLANTATION D’USINE !
      Néanmoins toute construction d’usine doit comporter un volet de GESTION DES NUISANCES ...IL est aisé de prendre ISRAËL pour MODÈLE ou les petites îles Canaries...
      pour ne pas tomber dans le DÉSASTRE de POLLUTION comme en INDE OU AU NIGERIA pays ultra libéraux sans souci des IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX DANS LES CAHIERS DE CHARGES..

      UN STAGE DE FORMATION DE NOS INGENIEURS EN ISRAEL OU AU SENEGAL par exemple ’est faisable

      Le résultat miraculeux est que des pays semi desertiques comme ISRAEL ET LES CANARIES ESPAGNOLES deviennent des PAYS EXPORTATEURS DE PRODUITS AGRICOLES !!!

      Les CRÉATIONS futiles bling blig IMPRODUCTIVES AU TOTAL ONT CONSTITUES UNE CHARGE BUDGETAIRE PHARAONIQUE...IMPRODUCTIVE !

      MAIS QUESTION :
       ou va l’argent des minerais rares ?
       ces investissements improductifs ne servent-ils pas UNIQUEMENT LES INTERETS PARTICULIERS DE LA MAFIA , pour à ce point servir de priorité ????
       Le fin mot n’est il.pas toujours la CORRUPTION DU POUVOIR ?????

  • 24 janvier à 12:28 | Isandra (#7070)

    Il y a de projets qui sont déjà mis en place pour amélioration ce monde rural, tel Projet PADAP :

    "Rendements augmentés. De nombreuses réalisations de ce projet ont été énumérées à cette occasion. A titre d’illustration, 76 barrages hydro-agricoles ont été réhabilités et rénovés, 214 km de canaux ont été bétonnés. Ce qui a permis d’irriguer 3 315 ha de périmètres. En outre, 10 ponts ont été reconstruits et 77 km de pistes rurales ont été réhabilitées dans le but de faciliter la libre circulation des paysans et l’évacuation de leurs produits agricoles vers les marchés. Pour Marovoay, 7 300 ha de périmètres ont été aménagés. Dans le cadre de l’intensification de l’agriculture, des semences améliorées, des engrais et des intrants agricoles ont été distribués pour soutenir les agriculteurs à développer leur production. Le projet est également intervenu dans la promotion des techniques agricoles améliorées auprès des paysans. « Comme résultat, les rendements de productivité du riz ont augmenté entre 5 tonnes et 5,5 tonnes/ha dans nos régions d’intervention contre une moyenne entre 2,5 tonnes et 3 tonnes/ha avant le projet », d’après les explications du coordinateur technique du projet.

    Agro-écologie. Pour une pérennisation des actions, 289 paysans semenciers formés exploitent actuellement 191 ha et ont produit 198 tonnes de semences. En outre, 3 685 paysans adoptent la technique agro-écologie sur 976 ha. À part la dotation en matériels et équipements agricoles pour une mécanisation de l’agriculture, 60 comités de gestion des matériels agricoles sont actuellement opérationnels au niveau des 5 paysages d’intervention. Par ailleurs, le projet a misé sur le reboisement et la restauration forestière." Midi

    • 24 janvier à 12:41 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Aaaaaah !

      Les fozas font tellement de merveilles ...que le pays plonge comme PAYS LE PLUS PAUVRE DU MONDE ( selon BM 2024 ...ne pas confondre avec Bemolotra) sans guerre, ni catastrophe naturelle ...rien QU’AVEC LA CORRIPTION .

      Gesticulations et cache sexe divers ne peuvent masquer la seule réalité :
       PAUVRETE ET ECONOMIE DE SURVIE

    • 24 janvier à 12:47 | Vohitra (#7654) répond à Isandra

      Encore des copier/coller sans fin...

      Saviez-vous que ces projets et autres structures s’acquittent de paiement en numéraire afin de faire passer des articles sous forme de publi-reportage ?

      Mais dans la réalité, après évaluation a posteriori, rien comme résultat durable et significatif...

    • 24 janvier à 12:49 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Midi
      Autre chantre de la Pravda
      en parlant de reboisement..... .
      ......reste très peu loquace sur les FEUX DE BROUSSE INCOMPRESSIBLES !

      Les chers, trop chers militaires peuvent pourtant servir de sentinelles de prévention des feux de forêts ! ( PROBLEME DE SECURITE CIVILE)
      Ils sont trop occupés à contenir toutes tentatives de contestation du pouvoir !

      NE PAS OUBLIER QUE LES GENDARMES SONT AVANT TOUT DES MILITAIRES. En principe chargés de cette protection civile...

    • 24 janvier à 13:15 | lé kopé (#10607) répond à Isandra

      Avec quels résultats ? L’autosuffisance alimentaire ? Si au moins on pouvait y croire ?
      Ce serait trop beau ...

  • 24 janvier à 12:39 | Vohitra (#7654)

    Une secrétaire d’État pour la souveraineté alimentaire...

    Avant sa nomination, elle était la directrice commerciale de la société chinoise s’occupant de l’approvisionnement du pays en semences de riz hybride...

    L’objectif est clair, n’est-ce-pas ?

    Pour le reste, rien à espérer, si on apprécie la qualité et efficacité du developpement d’un pays par « le nombre de forum, de colloques, ateliers, sommets, conférences », il est indiscutable que le pays est déjà depuis longtemps classé dans la catégorie de ceux à revenu élevé ou faisant partie du G 20...

    Depuis son indépendance, le bond et développement du secteur agricole n’étaient au rendez-vous qu’au cours de deux périodes distinctes : de 1966 à 1970 et de 2003 à 2005. Des efforts publics concrets accompagnés d’un fort taux d’adoption de la part de la paysannerie avaient été observés.

    Le Calife est tellement friand de réunion de ce genre, ne serait-ce que pour montrer au public ses vassaux et acolytes...

    Mais le plus grand danger est là maintenant : cette semence de malheur... attention, c’est irréversible à jamais...

    La Chine a 1.400 millions de bouches à nourrir, notre pays a 30 millions...une différence à tenir compte.

    • 24 janvier à 13:05 | lé kopé (#10607) répond à Vohitra

      Merci de cette précision :
       De 1966 à 1970 , du temps de la Première République .
       De 2003 à 2005 du temps de Ravalomanana .
      Les autres Dirigeants n’ont rien fait d’exceptionnel à part les 1000 tracteurs importés de Chine par le Flibustier , mais qui n’étaient pas adaptés à la dénivellation du sol Malagasy , et qui sont devenus des « marmites » à Ambatolampy , comme les avions MIG Soviétiques ...Dommage !

    • 24 janvier à 13:08 | bekily (#9403) répond à Vohitra

      Cela s’appelle investissement captif.

      Pour ne pas dire exagérément à vocation esclavagiste.

      MAIS EST-CE LE PROBLÈME DES FOZAS ?

      Ex Ravatomanga qui kidnappe le marché de la vanille en néophyte , sans savoir faire( par rapport aux producteurs traditionnels) et qui fait plonger la vanille malgache leader du marché dans une concurrence destructrice,
      Depuis son fameux PRIX PLANCHER exorbitant qui provoqua une réaction mondiale biotechnologique et productrice ( même la BRETAGNE est capable depuis 2024 de produire de la vanille, après 5 années de travail ! )

      Pour les fozas à mentalité d’epicier : pourvu que le tiroir-caisse fonctionne , sans souci du reste ( conséquences économiques)

    • 24 janvier à 13:16 | bekily (#9403) répond à Vohitra

      Bonjour le kope
      Rappel encore deblubiecratsirakiste :
      L’encadrement par des « LIBYENS »« des paysans Malgaches de la Sakay à titre de » conseillers techniques" pour l’élevage des bœufs !!!!

      Les LIBYENS ,on le sait sont de « SI GRANDS agriculteurs » et grands ÉLEVEURS de...CHÈVRES dans un PAYS SEMI- DESERTIQUE !!!

    • 24 janvier à 13:59 | bekily (#9403) répond à Vohitra

      Avec leurs semences HYBRIDES de RIZ , les Chinois veulent assurer une DEPENDANCE IRREVERSIBLE d’importation de ces semences

      Tout comme le firent les Americains avec le MAÏS TRANSGENIQUE de MONSANTO.

    • 24 janvier à 14:06 | Isandra (#7070) répond à Vohitra

      Béquille,

      N’écrivez pas n’importe quoi, et tout ce qui passe par votre tête à la rafozandoza.

      « Les accords avec les chinois prévoient le développement de la culture du riz hybride à Madagascar mais surtout la production locale de semences. »

    • 24 janvier à 17:21 | bekily (#9403) répond à Vohitra

      Voyons voir.....
      Production locale de semences par définition modifiées génétiquement pour la non reproduction ???
      Comme le maïs monsanto américain ???

       avez vous fait L’ÉCOLE DU RIRE ????
       Ou bien les CHINOIS sont ils tombés sur la tête, VENDANT leur BREVET D’INVENTION aux Malgaches ????
       Je je les savaïs pas si généreux en affaire !
       A moins qu’il s’agisse de produire +++ pour
      L’exportation et NOURRIR LES CHINOIS ????

  • 24 janvier à 12:58 | Isandra (#7070)

    Une piste intéressante :

    (...) L’Éco austral :Vous avez créé Bionexx en 2004 et mis en place un réseau d’agriculteurs malgaches qui produisent de l’artemisia annua. Quel est le total de surfaces cultivées et quel est le volume de production ?

    Charles Giblain : Parler de surface, c’est assez difficile car nous traitons avec 16 000 paysans, ce qui représente 16 000 parcelles, et nous signons un contrat avec chacun d’entre eux. On fait plutôt des estimations par rapport à la distribution de 150 millions de plantules (jeunes pousses – NDLR) à ces paysans. Comme nous préconisons une certaine densité de repiquage par hectare, on peut estimer la surface totale cultivée en artemisia annua à 5 000 hectares. De quoi fournir 2 500 tonnes de matière sèche.

    Comment pouvez-vous vérifier que vos préconisations sont suivies ?

    Nous ne passons par aucune organisation intermédiaire. Comme je viens de le dire, nous signons en direct des contrats individuels avec les 16 000 paysans. Pour le suivi sur le terrain, nous avons une centaine de techniciens qui encadrent des paysans relais qui distribuent les plantules et encadrent les producteurs.

    Est-ce facile de convaincre les paysans malgaches d’opter pour cette culture ? Et avez-vous une marge de progression importante ?

    On ne peut pas dire que ça soit facile de convaincre les paysans, mais nous avons tenu nos engagements et avons une bonne réputation. De quoi rassurer. Quand un paysan plante du riz, il peut toujours le manger s’il ne le vend pas. Ce n’est pas le cas avec l’artemisia. […] Le paysan doit donc nous faire confiance. La marge de progression est importante car Madagascar reste un pays agricole à 80 % et l’artemisia annua est une bonne source de revenus pour les paysans face à d’autres cultures comme le tabac ou le houblon
    . Ce qui nous permet d’avoir l’ambition d’atteindre les 4 000 tonnes de matière sèche en 2020. Cela passe par l’augmentation du nombre de paysans, mais aussi par l’augmentation des rendements. L’artemisia annua est une plante qui réagit très bien aux attentions qu’on lui porte, notamment l’irrigation. On peut facilement tripler un rendement et notre centaine de techniciens est là pour faciliter les progrès. La difficulté est de s’adapter à des conditions différentes car les cultures s’étendent de Tananarive à Tuléar. II faut adapter les modes de culture. À Tuléar, où il fait plus chaud et où il y a de bonnes terres, ça pousse mieux, à condition d’avoir de l’eau.

    https://ecoaustral.com/production-d-artemisia-annua-et-dartemisinine-madagascar-joue-dans-la-cour-des-grands-2/

    • 24 janvier à 13:07 | lé kopé (#10607) répond à Isandra

      Copié-Collé comme Collé-Serré...

    • 24 janvier à 15:30 | Jipo (#4988) répond à Isandra

      ET QUAND IL N’ Y A PAS D’ EAU : C’ EST UNE MAUVAISE ANNEE certainement à cause de l ’ Ukraine à moins que se cache derrière RAVALOMANANA ?

    • 24 janvier à 15:49 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Mandrevy colle- serré

  • 24 janvier à 13:01 | pisokely (#9950)

    rien qu à voir la photo, une parterre de gens pour réfléchir comment optimiser l agriculture à mada ? alors que depuis des lustres, mada était et reste à vocation agricole ?? pensez vous que ce parterre de gens comprennent ce qu est l agriculture ? à mada ? comme isandra qui crie victoire alors même pas un grain de riz est semé ???

    • 24 janvier à 13:12 | lé kopé (#10607) répond à pisokely

      Pourrait on espérer rattraper les pertes provoquées avec la Sécheresse cette année , avec la tempête et le cyclone qui sévissent actuellement dans notre Pays ?
      Si au moins votre Calife avait retenu la leçon de « DAM » du Laitier , pour une rétention de l’eau , notre Pays aurait pu au moins ne pas en souffrir . Mais on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif ...

    • 24 janvier à 15:33 | Jipo (#4988) répond à pisokely

      Mais s’ il n’ y a pas d’ eau, plantez des acridiens, ça ne mange pas de pain ...

    • 24 janvier à 15:56 | bekily (#9403) répond à pisokely

      Cela fait « joli » de croire aux lubies de l’illumine immature....
      Omeo plasy ao Rajoelina ! Hoy.i MARC TATANDRAZA.
      Tsy lasa député
      Tsy lasa maire i Bekily
      Omeo ben’ny fokotany.hono !
      Ainsi fonctionnent les fozas ????

    • 24 janvier à 18:06 | lé dezertera (#11696) répond à pisokely

      Marina avokoa ny resakareo pisokely, lé kopé ary bekily.

      Resaka fampielezan-kevitra fotsiny ny an’io fitondrana io, asa angamba fifidianana foana ny andro iainany !

      Fifidianana satria tsy nanana programa matotra sy entitra ka manjary manao ilay antsoina hoe « improvisation ».
      Ary rehefa manao izany dia ilaina ISAN’ANDRO ny milaza izao atsanga tsy aman’orana rehetra izao ho entina ilazana fa manao zavatra.
      Kanefa inona ny vokatra avy teo ? Zero manatody.

      Izany no mahatonga ny famerenana sy fampatsiahivana eto foana ireo lazain-drainilainga ratandrametaka cedric vazaha 8cm fa « velirano » sy fampiesonana isak’izay masoandro mihiratra.

      Ny henatra aloha dia efa tsy ao anatin’ny voambolam-poza intsony e !

  • 24 janvier à 13:39 | Isandra (#7070)

    "Depuis 2008, Madagascar dispose d’un centre de recherche sur le riz hybride à Mahitsy, où des essais ont permis de produire environ 8,5 tonnes de riz par hectare, dépassant largement l’objectif de l’Etat malagasy qui vise à multiplier par trois la production rizicole. Cependant, le Président Andry RAJOELINA a insisté sur la nécessité de passer à une mise en œuvre à grande échelle sur tout le territoire, plutôt que de limiter ces expérimentations à de petites parcelles.

    « Ce que nous voulons, c’est une vulgarisation à grande échelle du riz hybride. Nous ne pouvons pas attendre cinq ans pour voir des résultats, nous devons agir immédiatement », a déclaré le Chef de l’Etat malagasy, soulignant la création d’un Secrétariat d’État en charge de la Souveraineté alimentaire pour accélérer ce processus.

    Dans cette optique, deux protocoles d’accord ont été signés entre le gouvernement malagasy, représenté par la secrétaire d’État auprès de la présidence de la République en charge de la Souveraineté alimentaire, Razanamahefa Tahin’ny Avo, et Yuan Dingan Longping, directeur général de Yuan’s seed, également petit-fils de l’inventeur du riz hybride. Ces accords prévoient le développement de la culture du riz hybride à Madagascar mais surtout la production locale de semences. Le premier projet de production de riz hybride sera lancé dans la commune de Betsipotika, dans le district de Morondava, sur une surface initiale de 2 000 hectares.

    Grâce à cette coopération, Madagascar pourra augmenter sa production rizicole de 2 tonnes par hectare sur une surface de 300 000 hectares, soit 600 000 millions tonnes additionnel, l’équivalent de ce que le pays importe encore à ce jour.

    Le Président Andry RAJOELINA a insisté sur l’importance de ces initiatives pour garantir une sécurité alimentaire durable à Madagascar car les semences produites localement seront distribuées dans toutes les régions du pays afin de permettre une vulgarisation rapide et à grande échelle du produit.

    • 24 janvier à 13:51 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      « A titre d’illustration, dans la région Atsimo-Atsinanana, une production de 900 000 kg est attendue, après la vulgarisation de 3 tonnes de semences servant à exploiter 150 ha"

      Calcul terre-terre-ment,... :

      Le prix de kilo de semence hybride est 15.000 Ariary. 20 kg/ha, coût : 300.000 Ariary/ha, selon cette expérimentation :
      => 900 T/150 ha, ce qui nous résulte, 6T/ha, contre 2T/ha en moyenne sans cette technique. => 4T supplémentaires, 4.000 kg*2000 ariary(prix de paddy aux producteurs) : 8 Millions supplémentaires pour les paysans, moins 300.000 Ar(Prix de semence)= 7.700.000 Ar, presque 650.000 ariary/mois supplémentaire.

    • 24 janvier à 14:02 | bekily (#9403) répond à Isandra

      GROSSE NAIVETE SANS FOND !!!!

      DEPENDANCE IRREVERSIBLE PROGRAMMÉE ENVERS A CHINE .

    • 24 janvier à 14:12 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      Béquille,

      C’est plutôt, votre parano à la rafozandoza qui vous rend bornée, emprisonne dans la petitesse d’esprit,...

      Ces accords avec les chinois sont gagnant-gagnant, surtout, ce seront les paysans qui gagneront au final,...un revenu de 650.000 ar /mois supplémentaire, grâce à une dépense de 300.000 ar/an.

    • 24 janvier à 14:37 | Vohitra (#7654) répond à Isandra

      Qu’est-ce que la vermine disait il y avait une semaine déjà ?

      « Les paysans se prélassent longtemps sous le soleil le matin avant d’aller aux champs, et encore y rester pour peu de temps... »

      Elle ne sait rien ni des habitudes des paysans et encore moins des itinéraires techniques pratiqués...

      Comment perdre du temps à expliquer à une enivrée pareille les postes de dépenses nécessaires et utiles depuis la mise en eau, en passant par les préparations du sol jusqu’à la mise en sac de la récolte ?

      Oui, avec un 16 + 3 = 18 comme raisonnement, ce sera un difficile parcours de combattant...

      Bref, avec la riziculture de riz hybride, le compte d’exploitation pourrait atteindre 3 millions d’Ariary à l’hectare, et qui augmente au fil des ans pour des raisons techniques...

      La production à l’unité de surface n’est pas la bonne variable à estimer quand il s’agit d’évaluer toutes les composantes du rendement en culture céréalière...et parler plus tard de la notion de « productivité économique »...

      Bref, la rizière ne ment jamais, pas comme le CVO...

    • 24 janvier à 15:25 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Boloky
      Cessez d’insulter si stupidement ,
      lorsque la naïveté et l’inconscience ( ou seulement la veulerie ) des fozas sont mises en evidence.

      VOUS IGNOREZ MANIFESTEMENT LE SCANDALE MONDIAL PROVOQUE PAR LA MISE SUR LE MARCHE DU MAÎS TRANSGENIQUE MONSANTO !!!
      Entraînant une dépendance totale envers les USA...Pour acheter les semences.

      Et les fozas matoriandro rêvent de produire des semences ?????
      Ce serait comme si la Chine se defaisait si facilement de brevet !!!!!

      C’est exactement le même phénomène se DEPENDANCE ABSOLUE ET IRREVERSIBLE ENVERS LA CHINE que programment les fozas avec ces semences génétiquement modifiées.

      Vous n’êtes capables que de voir LES RESULTATS IMMÉDIATS, en braves épiciers que vous êtes...

      MAIS
      SANS JAMAIS REFLECHIR A L"IMPACT DE DEPENDANCE ECONOMIQUE IRREVERSIBLE POUR L’AVENIR !!!!!

      Vohitra
      a explique clairement la situation scientifique et l’impact economique et agronomique IRREVERSIBLE :
       Veuillez relire , mais intelligemment .(???)

      Boloky ,
      contentez vous de votre fonction salariée de laudatrice flagorneuse des fozas.
      Car réfléchir vous ne savez pas.
      VOUS FONCTIONNEZ A L’AFFECT INDEFECTIBLE FOZA !!!!!

      On se demande même si vous êtes capable de réfléchir à ce que vous pensez...et pire à ce que vous dites.

      ECRIVEZ VOUS POUR LES BENETS DE LA TERRE ? POUR L’AUTOSATISFACTION BEATE
      ENTRE FOZAS ???
       SATISFACTION DU MOMENT PRESENT !
       RAISONNEMENT BRUT DE DECOFFRAGE EN PERMANENCE ...sans souci des conséquences irréversibles :
       le PAYSAN ne pourrait PLUS JAMAIS ENGRANGER SES PROPRES SEMENCES
       et SERA OBLIGE D’ACHETER CES SEMENCES !!! .En toute dépendance avec ses faibles moyens....

    • 24 janvier à 15:47 | bekily (#9403) répond à Isandra

      L’ INCAPACITÉ foza à raisonner au delà de leur petit esprit épicier est absolument LUNAIRE !
      Comme
      Leur
      16+2 = 19
      Il n’y a pas à se mettre sur la même longueur d’onde du rezimanta...strictement embrigade par la mafia.....

      A peine sorti des griffes françaises...
      nous voici donc prédestinés à subir les griffes chinoises ?

      Le paysan enrichi dans l’immédiat n’est pas encore conscient de SA DEPENDANCE FUTURE...pour s’approvisionner en semences modifiées et stériles.
      Le paysan bluffé aujourd’hui , se réveillera bien demain !
      en principe un paysan est lucide sur ses intérêts.

      Voyez le désarroi actuel des petits exploitants de la vanille ...il y a même crise d’embauche d’ouvriers spécialisés !
      C’est un tout économique que ne saisit pas le grand épicier mafieux !

    • 24 janvier à 16:29 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      ITV,

      Il est claire que les coûts de production sont plus élevés par rapport à la culture traditionnelle, quand on applique la culture intensive, quelle que soit, la technique choisie,...Ce projet intègre les engrais et l’assistance dans le process, afin qu’on obtienne le résultat satisfaisant,...dont une partie est à la charge de l’Etat.

      De ce fait, il faut le comparer avec la culture intensive de semence traditionnelle.

    • 24 janvier à 16:59 | Vohitra (#7654) répond à Isandra

      La bougresse...

      Ça ne se dit pas « culture intensive de semence traditionnelle »...

      C’est un langage Foza pur porc...

    • 25 janvier à 16:19 | bekily (#9403) répond à Isandra

      LOL
      De plus « ça » parle d’engrais !!!!
      80% de la population est agricole
      80,3% de la population est pauvre

      Le rezimanta fanfaronne D’ACHAT de semences , puis D’ENGRAIS ( encore de l’importation assurée par les copains fozas)

      BRAVOOOOOO POUR LA LOGIQUE !
       Le PAYSAN malgache est le plus pauvre du monde et peine déjà à se nourrir tous les jours ( FAIM ALARMANTE dit le FMI)
       ce même PAYSAN aurait les MOYENS D’ACHETER SEMENCES ET ENGRAIS ???
       dans ces tonnages de production. entonnés à tout vent ..
      **** ne serait ce encore pas un PRIVILÈGE accordé à quelque FOZA ( karana ? Ramanandraibe ? Rablue ? Ravahi .etc.? )qui a les moyens de verser dans L’AGRICULTURE INTENSIVE ????
      **** soit TRIPLE RENTREE FINANCIÈRE POUR LES COPAINS MAFIEUX : importation, vente et exploitation

    • 25 janvier à 16:55 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Imiter les grands propriétaires d’Amérique du sud , avec leur AGRICULTURE INTENSIVE DE PRODUITS A EXPORTER n’est pas une modèle pour lMadagascar , pays pauvre à faim alarmante.

      Mieux vaut commencer par des micro projets encadrés et conseilles par un réseau étatique de type kibboutz, voire kolkhoze ..pour faciliter l’acquisition de matériel agricole commun.
      En symbiose avec les fokonolona
      * pour que les paysans ne soient pas vampirises par les trusts et holdings de type Rablue
      * pour que le niveau de vie des paysans soit relevé de manière efficace et progressive.

      SANS LOL ANTI-TRUST on n’aboutira qu’ à accentuer davantage la fracture sociale avec risque de déstabilisation toujours néfaste pour l’économie.

      En tout cas l’agriculture ( plutôt DE TYPE MONOCULTURAL) INTENSIVE , dans sa conception industrielle NE REDUIRAIT EN
      RIEN LA PAUVRETE .

      Faire croire que le paysan eleverait son niveau de vie serait :
       UNE VUE DE L’ESPRIT
       SINON DE LA PROPAGANDE MENSONGERE. qui ne coûte rien...
       et tous les paysans,(80% de la population) ne s’adonnent pas forcément à la culture du riz ( ex les pays bara ,antandroy , betsimisaraka, tsimihety)

      Les grandes plantations sud américaines d’avocat , soja , banane, mangues etc...entretiennent toujours la HORDE DE PAYSANS PAUVRES SUD AMERICAINS.
      ....LOS CAMPEONES que personne n’envie le sort....une .sorte d’esclave qui vit sous perfusion , évidemment PRIVES D’INSTRUCTION !

      Le riz est la base de l’alimentation malgache, mais justement
      il faut pousser à la POLYCULTURE pour pousser à une ALIMENTATION ÉQUILIBRÉE...et mettre fin à la MAL- NUTRITION.

    • 25 janvier à 16:58 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Campeones dont personne n’envie le sort l

  • 24 janvier à 14:20 | rakotobe (#7825)

    « l’Etat prône une agriculture intensive »

    RIEN QUE ÇA !.....

    Et surtout ,on vit dans un pays foncièrement agricole !

    Et si on s’amusait à dresser une liste exhaustive
    de toutes les grandes volontés d’intentions depuis la déclaration de ce fameux PEM, et mettre en face l’état des lieux ...

    Mais quelle dinguerie !!!

  • 24 janvier à 14:57 | Vohitra (#7654)

    Une agriculture intensive...

    Une mécanisation de l’ ensemble des travaux, usage de forte quantité d’intrants, semences traitées, contrôle chimique des ennemis de la culture, maîtrise d’eau optimale, strict respect du calendrier cultural, évaluation systématique des conditions culturales.

    Même en 2100, le quart de la paysannerie ne pourra satisfaire ces conditions...

    Mais le pays a la chance d’avoir un Calife à la fois :
     médecin
     mathématicien
     electro-mecanicien
     industriel
     spécialiste ponts et chaussées
     agro-economiste

    Sans oublier que c’est aussi un cas ratés K, grand leader éclairé...

    • 24 janvier à 18:12 | lé dezertera (#11696) répond à Vohitra

      Vohitra,

      Avez-vous oublié qu’il a travaillé pendant 3 ans avec « GENERAL ELECTRIC ». Et avec quel résultat ?

  • 24 janvier à 15:17 | pisokely (#9950)

    rien qu à voir la photo, ça en dit long sur les résultats...

    pourquoi ? ils vont faire des projets, soumettent les projets au bailleurs, puis Ohé Ohé.. les bailleurs ont confiance en nous et le TGV va démarrer.. et puis... oups... c est la faute à ra8, covid, Ukraine.. et j ai des doutes que très très bientôt ce sera la faute à Trump et Elon Musk...
    comme d habitude, je pose la question, on fait le pari ???? car tout ce que j ai dit malheureusement s est révélé exact !!!! on fait le pari encore cette fois ci ??? isandra ????
    nb : on a parlé du covid et CVO, de la fameuse transformateur andekalek, des pétroliers et les fameux paiement par bon de tresor, du stade barea,

    • 24 janvier à 15:50 | Jipo (#4988) répond à pisokely

      Vous oubliez le plus important : le réchauffement climatique !
      Mais avec l’ « émergence » de la société bientôt cotée en bourse de : la distribution des kits scolaires, meme les zébus seront prochainement équipés de portables avec GPS pour communiquer entre eux et se déplacer sur les prairies plus vertes selon l’ application météo qui fusionnera avec le GPS ...

  • 24 janvier à 15:19 | pisokely (#9950)

    et maintenant vous parlez des projets mirobolant alors que vous n avez aucun moyen.. rien... même pas d étude fiable sur la faisabilité, ni évaluation ou état des lieux de qu on a.. et surtout le budget... très probablement encore la mendicité auprès des bailleurs ??? et après l argent va disparaître ???

    • 24 janvier à 18:58 | bekily (#9403) répond à pisokely

      Pisokely

      Plus exactement, les moyens sont détournés de leur usage....

      Ce que reflète la société anachronique et BARBARE de miséreux d’une part et de richissimes arrivistes d’autres part.

      Ces arrivistes font leur ’« tourisme » parfois à voir les NDATY dans leurs RÉSERVES DU SUD...
       Que c"est beau l’allée de baobabs
       Que c’est mignon.les lemuriens chez DE Haulme..

      A AUCUN MOMENT :
       ILS N’AURAIENT A L’ESPRIT QUE CES. N’DATY DENUDES ET DECHARNES SONT
       DES « MPIRAITANINDRAZANA !!! »
       QUE LEUR MISERE DERIVE D’UN REGIME POLITIQUE CORROMPU, VEULE, ARRIVISTE ET BARBARE QUI IGNORE
      *** LA REDISTRIBUTION DES RESSOURCES A TOUT LE PEUPLE !!!

      Un démocrate primaire ne saurait qu’eprouver du dégoût à l’egard des fozas..

  • 24 janvier à 15:21 | Vohitra (#7654)

    Il faudra faire la part des choses entre « risques » et « danger »...

    Pour la riziculture faisant usage de semences hybrides, on peut enoncer :

    * Les risques : conditions climatiques, conditions économiques des exploitations, dépendance inévitable aux fournisseurs d’intrants

    * Les dangers : perte de biodiversité culturale, destruction du complexe argilo-humique progressive, contamination de la couche exploitable, toxicité chimique, usage limité des rizières

    Bref, une problématique d’ordre moral et éthique emerge avec acuité pour l’avenir de la civilisation rizicole du pays.

    Qui va en assumer la responsabilité plus tard ?

    Est-ce le citoyen français qui décide ?

    • 24 janvier à 18:15 | lé dezertera (#11696) répond à Vohitra

      Ny fanadiadiana toa itony no tokony ho valin’ny rezimanta zinandra raha tena olona mikasa ny ahasoa an’i Madagasikara marina ny foza.
      Saingy mihaotra ny loha sy ny ati-doha keliny indrisy ...

    • 24 janvier à 18:42 | bekily (#9403) répond à Vohitra

      Qu’attendre d,’une bestiole completement.inculte et complètement inconsciente de tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à du fitiavana tanindrazana....

      Tout est artificiel chez cette bestiole immature « PAS FINI » ....même son intelligence.

  • 24 janvier à 15:26 | pisokely (#9950)

    isandra critique les andafy.. par jalousie car isandra est nul...

    nous, eh ben nous faisons des micro projet, minuscule, mais à taille humaine, faisable sans grand financement, discret mais efficace.. oui, efficace avec des résultats palpable, sans publicité... nous ne cherchons pas de retour sur investissement... le sourire et le mot merci suffisent amplement... qu est ce qu on gagne ?? nos compatriotes à la campagne gagnent leur dignité... ne mendient plus... ils savent que nous sommes là et nous ne manquions pas à l appel... les médicaments ? je m en charge..les petits matériels agricoles ? nous l envoyons petit à petits... c est mieux que le stade barea, téléphérique

  • 24 janvier à 15:31 | Isandra (#7070)

    HISTOIRE DE RIZ HYBRIDE A MADAGASCAR.

    ANTANANARIVO, 30 mai (Xinhua) — Madagascar, grande île de l’océan Indien, entre en ce mois de mai dans l’automne austral. Hu Yuefang, un expert chinois du riz hybride, se précipite pour récolter avec des agriculteurs locaux le dernier lot de la moisson dans un champ du sous-centre africain du Centre national chinois de recherches et de développement sur le riz hybride, à Mahitsy, une localité à 35km au nord-ouest de la capitale malgache, Antananarivo.

    « Il y a eu beaucoup de pluie et les températures sont très basses ces derniers jours, la moisson doit donc se faire rapidement », explique cet homme de 65 ans.

    La culture rizicole est la principale activité agricole à Madagascar. Selon des statistiques officielles, plus de la moitié des superficies agricoles sont consacrées à la riziculture et plus de deux tiers des ménages malgaches pratiquent la riziculture. Cependant, soumise à de multiples facteurs tels que la qualité des semences, les techniques agricoles et les infrastructures, la production de riz à Madagascar n’est pas en mesure de répondre pleinement aux besoins alimentaires de sa population, ce qui l’oblige à recourir aux importations.

    L’introduction du riz hybride avec un rendement plus élevé par surface cultivée a donné de l’espoir à Madagascar d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. En effet, depuis 2007, le pays coopère avec la Chine dans le développement du riz hybride.

    En 2008, Hu Yuefang a quitté sa ville natale, Yiyang, dans la province chinoise du Hunan (sud), pour se rendre sur cette île africaine en tant qu’expert en technologie du riz hybride. Dès lors, il a commencé à étudier des variétés de riz hybride adaptées aux conditions naturelles locales et a aidé les populations autochtones à trouver la meilleure façon d’accroître leur production.

    Peu de temps après son arrivée, Hu Yuefang s’est rendu compte que l’environnement naturel ici était très différent de celui de la Chine et qu’il était irréaliste d’appliquer directement l’expérience des recherches menées dans son pays.

    Les conditions climatiques à Madagascar sont complexes et variées. Avec une superficie d’environ 600.000 kilomètres carrés, l’île offre une variété de climats, mêlant forêt tropicale humide, savane, plateau tropical et zone semi-aride. Les différentes conditions de température et de précipitations à basse, moyenne et haute altitude posent également de sérieux problèmes à l’étude de l’adaptabilité locale du riz hybride.

    Afin de trouver les variétés les mieux adaptées, Hu Yuefang et son équipe ont sillonné la quasi-totalité des zones rizicoles de l’île. Leurs recherches exigent une présence tout au long de l’année dans des zones rurales isolées. Ils ont vécu dans les paillotes des agriculteurs, recueilli l’eau de pluie coulant des toits en tôle pour pouvoir boire et se sont rendus à pied sur des marchés situés à plus de dix kilomètres pour acheter du bois de chauffage pour faire la cuisine.

    • 24 janvier à 15:31 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      En 2010, Hu Yuefang et son équipe ont sélectionné avec succès trois variétés de riz hybride capables d’atteindre des rendements élevés dans les zones locales de haute, moyenne et basse altitude, recevant la validation technique du ministère malgache de l’Agriculture pour qu’elles soient promues et plantées dans l’ensemble du pays. « Le rendement à l’hectare de ces trois variétés de riz hybride est de trois à quatre fois supérieur à celui du riz traditionnel malgache », a noté M. Hu.

      Comparé au riz conventionnel, le riz hybride a un rendement plus élevé. Cependant, la culture du riz hybride relève aussi d’un travail technique. « Auparavant, les agriculteurs locaux n’étaient pas habitués à l’agriculture intensive », a-t-il remarqué.

      Durant la dernière décennie, en plus de former des centaines de techniciens et cultivateurs locaux, Hu Yuefang a été disponible à tout moment pour donner d’innombrables conseils techniques. « Parfois, les agriculteurs rencontrent temporairement des problèmes techniques délicats. S’ils habitent à proximité, j’y vais à moto. S’ils habitent loin et que je ne peux pas me rendre sur le terrain, je communique à distance par téléphone pour donner des conseils », a-t-il raconté.

      Grâce aux efforts conjoints de Hu Yuefang et d’autres experts chinois, la superficie cumulée de la culture du riz hybride chinois à Madagascar a dépassé les 50.000 hectares, avec un rendement moyen d’environ 7,5 tonnes par hectare. Dans cette optique, Madagascar a fait un grand pas vers l’autosuffisance alimentaire.

      Or, l’expert a souligné que la recherche sur l’adaptabilité locale du riz hybride ne s’arrêtait pas là. D’autres experts chinois continueront à mener des recherches minutieuses à Madagascar pour trouver des variétés de riz hybride avec une plus grande adaptabilité et un rendement plus élevé, en utilisant moins d’engrais et offrant une meilleure qualité.

      En mai 2019, le sous-centre africain du Centre national chinois de recherches et de développement sur le riz hybride a officiellement été inauguré à Madagascar. Selon Zhang Lijun, son directeur exécutif, l’institution « espère s’appuyer sur la technologie chinoise de riz hybride pour aider toute l’Afrique à atteindre l’objectif d’éradication de la faim et de sécurité alimentaire dans les meilleurs délais ».

    • 24 janvier à 16:34 | Vohitra (#7654) répond à Isandra

      Xinhua, n’est-ce-pas un organe d’information contrôlé par l’État chinois ?

      Il ne peut que se vanter et faire valoir le produit de la création chinoise...

      De prime abord, il faudra faire la différence entre la nature des semences :

       la semence traditionnelle
       la semence améliorée (issue de sélection variétale, issue de croisement de divers degrés)
       la semence à haute productivité (issue de la biotechnologie et des manipulations génétiques, création technologique)

      C est le troisième type que la Chine est en train de promouvoir ici, les deux premiers peuvent être mené avec facilité par le FOFIFA sans avoir recours à de l’importation. La recherche menée par les chinois de l’époque avait pour but essentiel d’isoler les caractéristiques génétiques de nos richesses variétales...

      Par ailleurs, dans la démarche entamée par la Chine au pays, de nombreuses qualités de nos variétés vont disparaitre progressivement jusqu’à ce que les critères criblés en laboratoire se maintiennent notamment en termes de rendement et de résistance intrinsèque...et là, c’est trop tard pour nous...

      De plus, ils vont nous offrir plus tard des hybrides selon la topographie du milieu (altitude, colluvionaire, bas-fonds, plaines alluvionnaires) avec des coûts différents, et qui va accélérer la vitesse des pertes en biodiversité chez nous ici...et étendre la dépendance alimentaire du pays à toutes les zones constituant auparavant des niches de productivité.

      Bref, le danger est déjà là comme je l’ai dit supra...

      Les propagandistes et les Foza peuvent dire et baragouiner comme ils veulent...mais la responsabilité du danger, je le répète encore, qui va l’assumer ?

    • 24 janvier à 16:43 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      ITV,

      ET FAO ?

      "La riziculture hybride est rentable

      La culture du riz hybride nécessite de suivre un itinéraire technique bien établi, ce qui entraîne un niveau d’activités et des coûts d’intrants plus élevés que la culture traditionnelle. Cependant, le riz hybride offre un grand potentiel de rendement. Un hectare de terre irriguée et cultivée selon la norme établie nécessite un budget d’environ 950 USD (coût total des activités et intrants) et rapportera au producteur, sur la base d’une productivité moyenne de 10 tonnes par hectare et d’une vente de paddy prix de 0,2 USD - par kilogramme, environ 1650 USD.

      Il est à noter que le projet traite également de la composante agroalimentaire pour achever ses interventions tout au long de la chaîne de valeur. « Plusieurs domaines d’expertise ont été mobilisés, pour n’en citer qu’un, par exemple des spécialistes post-récolte qui renforceront les capacités nationales de réduction des pertes post-récoltes, qui constituent encore aujourd’hui 10 à 15% de la production. La FAO facilite la coopération en favorisant l’échange d’expériences et de connaissances techniques. L’échange de solutions contribuera grandement à améliorer la sécurité alimentaire, à réduire la pauvreté et à promouvoir la gestion durable des ressources naturelles », a déclaré M. Patrice Talla Takoukam, Représentant de la FAO."

      https://www.fao.org/madagascar/actualites/detail-events/ru/c/1273511/

    • 24 janvier à 16:46 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      ITV,

      Comme d’hab, opposition et critique systématique avec comme ingrédient la conspirk...

    • 24 janvier à 16:53 | Vohitra (#7654) répond à Isandra

      Depuis quand la FAO est présente au pays, pour quel résultat au juste ?

      Retenez bien ceci : quand la FAO et le PAM sont présents dans un pays, l’insuffisance alimentaire sera là, dans un horizon durable...

      Des touristes onusiens et onusiennes justifiant la présence africaine en matière de coopération...

    • 24 janvier à 17:08 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      ITV,

      Bien sur, bien sur,...On a l’habitude de vous, vous tirez sur les ambulances, quand vous êtes au court d’argument.

  • 24 janvier à 15:50 | pisokely (#9950)

    isandra..
    allez un peu à la campagne et surtout soyez fier(e) de vos ancêtres, d être malagasy..

    vitany ny hafa ré tompoko dia vitantsika e... voly vary ve tompoko dia handanian andro sy hanaovana propagande ??? dia efa tena tsy mahay mamboly vary intsony ve ? dia efa tsy mahay manasoa sy mampitombo ny vokatra intsony ve no dia hiantso havia sy havanana ? aoriana kely ao koa, dia hiantso manampahaizana hampianatra ny vezo hamoy lakana ??? MBA mahaiza ré mijoro hoe, malagasy aho... sa dia efa tena dondrona ka tsy misy intsony ny atidoha handalinana ny zava misy ?? ny vary anie efa misy e.. ny tany efa misy ary ny fahaizana mamboly vary efa hay... fa ny fahantrana no mavesatra loatra ka lasa ratsy saina ny olona e... potehina ny lakan drano, angalarina ny voly, mifamono... ny lalana moa dia tsy lazaina intsony...raha afaka mamboly tsy misy tahotra fotsiny anie ny tantsaha dia miakartra ho azy ny vokatra e... sarotra ve ny misaina sy manatanteraka an izany ???

    • 24 janvier à 18:21 | lé dezertera (#11696) répond à pisokely

      Zava-misy sy marina izany
      Maninona ary raha amboarina ...

      Ny an’ny foza dia ilay antsoin’ny tanora ankehitrio hoe « DEDADEDAK-ISATION » ...
      Satria izay no heveriny fa fomba fiainana sy politikam-pampandrosoana.
      Aiza hoy aho ery ambony ny vokatra mba azo tamin’ny fidedadedahan’i cedric vazaha 8cm rainilainga NOUZALON hatramin’izay 2009 no mankaty ?

  • 24 janvier à 15:59 | Jipo (#4988)

    Ah oui ??? et depuis 2019 soit 6 ANS !!!
    C’est quoi le bilan, le RESULTAT ???
    Un autre « sous » centre est à l’ étude ???
    Un autre coup d’ envoie ???
    Un nouveau PEM bis pour venir en aide au 1er et tripler la nullité de résultat de ce dernier ???
    Comme disait l’ autre : « vous faisiez quoi avant d’ être kon », vous le faites exprès ou c’est génétique ???

  • 24 janvier à 16:10 | pisokely (#9950)

    jipo.

    sidérant la nullité du pouvoir actuel.. oser dire qu il vont lutter contre la dénutrition, avec projet d agriculture intensive.. alors que les paysans n arrivent même pas à cultiver leur terre et à jouir de leur récolte, du fait de l insécurité !!!! la terre malagasy est fertile.. il suffit d une bonne adduction d eau et de sécurité !.. demandez au villageois ce qui leur manque ? ne serait-ce que planter du maïs en inter saison peut suppler la période de soudure ?

    l agriculture intensive pour moi c est encore une arnaque.. ils vont confisquer les terrains, et vont cultiver pour les agro industriels... comme au Brésil.. avocat, banane,.... et les paysans n auront plus rien pour survivre et deviennent tous des ouvriers dans leur fermes...

    • 24 janvier à 16:43 | Vohitra (#7654) répond à pisokely

      Bonjour pisokely,

      Un des objectifs des Émiratis ici dans le pays, c’est la recherche et l’accaparement de terre fertile pour la production de leurs besoins...donc à vocation pour l’exportation mais non pas pour la consommation locale...

      Il en est de même pour la cession d’une grande partie des plaines du Bas Mangoky avec les quatari..

    • 24 janvier à 17:46 | Jipo (#4988) répond à pisokely

      Vous prechez un « con-vaincu » je connais le Pays depuis 1960 (avant j’ étais un peu jeune) pour savoir et adorer le vary gasy, le vrai ! (mena compris avec le rano ampango)) que j’ ai un jour surpris en vente à un salon à Monaco, il y a de ça une dizaine d’ années et tenez-vous bien ils le vendaient aux alentour de 10 € le kg !!!.
      Vous devinerez que ce ne sont pas les vezo, les tandroy, ou les bestimisaraka ...
      Mais bon il suffit de redonner aux agriculteurs de la terre pour qu’ ils la rentabilisent, j’ ai souvenir de déplacement chez l’ habitant à l’ époque ou ils avaient supprimé histoire /geo et remplacé par les sciences sociales du temps glorieux ou St Michel était le fleuron de l’ enseignement même devant l’esca qui était un ramassis de fils à papa style fraise, Delorme, sport club & C/° ...
      J’ adorais, nous partions avec nos hôtes dans les rizières vers 6h00 après un bon vary amin anana et un café maison ou di té , le bon temps hélas révolu mais tatoué à jamais dans mes gènes marna mafy !
      Comment ensuite ne pas aimer Dago quand on a su et connu cela je me levais souvent pour aller en manger / le zoma avec Parata dimy le morceau de viande supplémentaire : que de souvenir, on dirait presque du Le clézio, manque juste les frangipaniers ...

    • 24 janvier à 18:24 | lé dezertera (#11696) répond à pisokely

      Merci pour ce rappel de la vie d’antan Jipo ...

  • 24 janvier à 17:02 | #tsimahafotsy (#11508)

    « le gouvernement a inscrit la culture du riz hybride au cœur de son Plan Émergence Madagascar (PEM). Certains techniciens agricoles émettent pourtant des réserves sur les semences importés que l’Etat compte distribuer aux paysans, ils parlent de leur inadéquation à la qualité du sol malgache. Le Chef de l’Etat martèle de son côté que les essais sur ses semences se sont avérés concluants. » sic.

    Ce prezida inculte, comme je l’ai dit hier veut accélérer la disparition totale de la paysannerie malagasy. Le riz hybride est un piège à cons mis en place par les grands groupes agro-industriels.
    Dans les années 1960, l’Inde décide de moderniser et d’intensifier son agriculture par la Révolution Verte.
    Cette politique agricole a bénéficié aux grands groupes industriels et a favorisé l’utilisation de semences hybrides et OGM. 
    La population agricole, majoritairement rurale et pauvre, s’est pliée à cette pratique, remplaçant l’utilisation des semences locales traditionnelles dans l’espoir de gagner en rendement.
    Cette décision politique a créé un véritable cercle vicieux, rendant les petits paysans dépendants des grandes firmes internationales (les graines OGM et hybrides étant non reproductibles) et accélérant la perte des pratiques traditionnelles de conservation des semences tout en augmentant l’endettement des paysans.

  • 24 janvier à 17:08 | bekily (#9403)

    Tsimahafotsy
    Je ne pense pas le rezimanta capable de comprendre un raisonnement macro économique, en dehors d,’une logique foza d,’épicier
    APRES MOI LE DELUGE

  • 24 janvier à 17:25 | pisokely (#9950)

    juste promouvoir le vary gasy.. un label AOC vary gasy !!!
    il fut un temps le madrigal... mais ça, c était il y a 60 ans...

    • 24 janvier à 17:34 | Vohitra (#7654) répond à pisokely

      La variete locale Rojomena s exporte a 4 USD le kilo... On n en trouve plus que dans quelques zones reduites...

    • 24 janvier à 18:33 | bekily (#9403) répond à pisokely

      Il.y a 2 ou 3 ans...on trouvait encore du vary mena gasy dans des épiceries spécialisées Afrique, Asie....

      Maintenant on ne trouve plus que du riz rouge vietnamien ...INFECT !!!

  • 24 janvier à 17:52 | Jipo (#4988)

    Et azafady quand on voit le premier participant de cette journée de : « réflexion » avachi sur son fauteuil et vous croyez que c’ est avec ça que vous allez résoudre les problèmes des agriculteurs, je le les foutrais 10 h sous le soleil avec une angady et sans chapeau et lui dire tant que tu n’ as pas retourné tes 1000M2 de rizière tu resteras dedans, ensuite on verra si tu a gagné ton sakafo avec henakisoa, manioc ou maïs et si tu as bien travaillé ( en gros si tu es capable de manger sans lumière avec les ampoules que tu auras dans les mains , tu auras droit à 1/2 capoaka de vary !

  • 24 janvier à 18:39 | Jacques (#434)

    Après les 1000 bus invisibles jusqu’à ce jour, voici les 1000 tracteurs et les foza tout entiers applaudissent.

    https://actutana.com/depeche/nouzalon-distribuer-1000-tracteurs/

    • 24 janvier à 23:38 | Zora (#10982) répond à Jacques

      1000 bus, 1000 tracteurs... Cédric nouzalon et les 1000 voleurs continuent les promesses irréalisables et le pillage de Mada.

  • 24 janvier à 20:12 | Zora (#10982)