@ FINENGO

Ceux qui croyaient au changement, les naïfs et les encartés, vont mesurer la réalité qui entoure un président et son entourage machiavéliques dans la juste lignée de ses « illustres »prédécesseurs !…
Mais, visiblement, comme dans les autres domaines, la pensée présidentielle subit un énorme décalage entre la volonté d’entreprendre, plus ou moins affichée, est une réalité de terrain, bien plus complexe et filandreuse qu’elle n’y paraît !….
Pourtant, l’homme de paille avait un profil idéal, et il aurait été facile, une fois, la commande exécutée de crier à l’ingérence inacceptable en dénonçant la « Mano de Dios » pour faire endosser au bouc-émissaire" de service, l’entière responsabilité des faits.
Qu’Arfa est été manipulé, dans un premier temps, semble évident, d’ailleurs son recrutement, « à la bonne franquette » par un président, n’avait-il, comme seul objectif, que de lui confier du sale boulot, « les yeux dans les yeux » ?….
Le refus d’Arfa d’entrer dans les combines présidentielles a scellé sa fin où l’alibi du tireur n’a été qu’une simple formalité pour un pouvoir qui affiche, ainsi, ses capacités de nuisances et d’expédients, tous azimuts qui l’ont nourris jusqu’à cette obésité, insolente, de fin de mandat ! ….
Dénigrer un homme en fuite n’a été que du pain béni pour un pouvoir, qui, roulé dans la farine, entrevoyait, ainsi, un subterfuge idéal pour éviter de regarder sous le tapis !….
Pour une fois, la corruption, entretenue et développée par ce pouvoir s’est retournée comme lui, dans un rocambolesque, « arroseur, arrosé » où cette prévarication d’état a permis au taulard de faire la belle et la nique à un pouvoir dans un magistral " tei est pris qui croyait prendre !….
Un soupçon de morale, dans un monde de brutes, pas vraiment, finasses !….