Dis Diègo, ça vous dis quoi le transfert du siège de la HCC à Mantasoa en 2002, les dérives de quelques juges de la Cour Suprême le 22 février 2002 à Mahamasina, l’irresponsabilité manifeste de la HCC en 2009 de n’avoir pas eu le courage d’invalider le transfert illégal du pouvoir par Ravalomanana Marc à un Directoire Militaire, la magie et prestidigitation d’un ancien président de la HCC en produisant une lettre de transfert de pouvoir d’un Directoire militaire inconstitutionnel à un insurgé venant de la rue ?

Tant que les acteurs de tous ces actes de non droit ne sont pas traduits devant la barre, la crise politique à Madagascar ne s’achèvera jamais ; et cette déclaration impromptue de la dame garde des chiots ne fera qu’amplifier encore cet état de fait, inconsciemment, elle venait d’entrouvrir la porte et chemin d’exil pour l’acrobate sur scène...