Cinq gosses poussés aux aveux

Histoire dégueulasse et horripilante ! L’affaire qui remonte au mois passé sera déférée au parquet ce jour. Deux frères, dont le cadet d’à peine 7 ans, ont accompli un acte pédérastique dans une charrette près de leur domicile. A ce moment-là, cinq autres camarades ont surgi et ont vu la chose. Alors, l’aîné les a tous incité à y participer avec lui, c’est-à-dire à violer son propre petit frère. D’après les enquêtes menées par le service central de la police des mœurs et de la protection des mineurs, « les cinq amis invités au viol cummun n’ont guère touché à un seul cheveu de ce gamin ». Ils étaient donc poussés à cet aveu malgré eux et par peur des grands qui ont fait pression sur eux. En réalité, les deux frères sodomites sont déjà très habitués à faire ce type d’acte méritant la punition malgré leur jeune âge. Il est à préciser que tous ces gamins sont des élèves d’un établissement scolaire d’Ampefiloha Ambodirano. Pour en revenir aux raisons qui ont poussé la maman à dénoncer les camarades de ses fils, c’est que la victime a parlé de ses violeurs présumés à sa maîtresse d’école. Le gamin s’est surtout plaint de douleur ou autres supplices physiques causés par l’acte infâme. Mise au courant, celle-ci a avisé la mère du petit garçon, qui à son tour a immédiatement porté plainte auprès de la police. Actuellement, les examens médicaux ont prouvé que l’enfant violé ne souffre d’aucun mal, du moins grave. Du coup, la mère a dû retirer sa plainte, surtout après avoir compris qu’elle n’aura pas gain de cause. Pire, c’est la famille du violeur (et du violé) qui encourira même le risque de supporter les coûts de tous les soins médicaux. Et encore, si l’affaire s’arrête à ce stade. Autrement, ce sera une autre affaire, d’ailleurs à suivre toujours de près !