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Politique

Décentralisation

300 demandes de nouvelles collectivités territoriales

lundi 22 septembre 2014 | Léa Ratsiazo

Le ministère de l’intérieur et de la décentralisation a reçu 300 demandes de nouvelles collectivités territoriales, notamment des nouvelles communes et régions, selon le ministre Olivier Mahafaly. Ce qui l’amène à expliquer qu’il va falloir demander une session extraordinaire de l’Assemblée nationale pour débattre de ces nouvelles collectivités. L’acceptation ou le rejet d’une nouvelle collectivité territoriale est fonction de deux critères : le nombre de la population et la superficie du territoire. Actuellement on dénombre 1549 communes et 22 régions réparties dans toute l’île. Le ministère de l’intérieur va donc soumettre à l’Assemblée nationale la proposition de loi portant création de nouvelles collectivités territoriales pendant cette session extraordinaire, en principe après la session ordinaire du mois d’octobre où les députés vont débattre la loi des finances initiale 2015.

En ce qui concerne le statut particulier de trois villes, à savoir Antananarivo Renivohitra, Sainte Marie et Nosy Be. Comme ce sont les députés qui ont mis de côté le projet de loi en raison de la polémique sur le sort de la capitale, il leur appartient de soumettre une contre-proposition au gouvernement selon le ministre. Le gouvernement à travers le ministère de l’intérieur réfute ainsi l’accusation de la société civile qui soupçonne les autorités de sciemment reporter la tenue des élections territoriales pour des raisons politiciennes.

Or, après la polémique entraînant le « rejet » du projet de loi sur le sort de la capitale, il a été convenu que les concernés, c’est-à-dire la population, seront consultés. On ignore encore la forme de cette consultation mais jusqu’ici on ne voit rien venir, du moins dans la capitale. Certains partis politiques et notamment le MMM (Malagasy miara-miainga) affirment qu’ils ne sont point contre une vraie décentralisation de la capitale mais refusent la méthode du choix du maire par les grands électeurs, ce qui est prévu dans le projet de loi rejeté. Les maires doivent être élus par suffrage universel direct, propose le MMM. Certains ne comprennent pas le refus de la capitale de ce découpage de la ville qui relève en plus de « la vraie décentralisation », multiplier par 6 le budget de la commune d’Antananarivo à travers les 6 nouvelles communes. L’absence d’explication préalable et surtout ce sentiment qu’on impose quelque chose expliquent surtout cette crispation d’Antananarivo sur le découpage de la capitale, notent les observateurs.

2 commentaires

Vos commentaires

  • 22 septembre 2014 à 11:56 | tiagasy (#6521)

    MADAGASCAR , MAL ...
    DESSINE

    Depuis l’indépendance, Madagascar était mal répartit territorialement. Les premières tracées étaient l’œuvre du pays colonisateur, en l’occurrence la France pour diviser chaque ethnie qui composé les hauts sphères étatiques pour bien …régner.

    En 1960, Madagascar était divisé en 6 provinces. (Diego-Suarez, Majunga, Tamatave, Tananarive, Fianarantsoa et Tuléar). Chaque province était composée de deux ou trois préfectures. Toutes ces fragmentations territoriales étaient bien réfléchies, par le pays colonisateur afin de bien diviser des ethnies pour éviter des contestations populaires et …régionales.

    Essayer de démontrer les divisions nuisibles qui ne faisaient qu’affaiblir notre pays. Malheureusement, depuis l’indépendance, les présidents et les gouvernements qui se sont succédés, ont utilisé ces méthodes de … fractions et d’isolement pour se maintenir le plus longtemps possible au pouvoir.
    Depuis, l’état malgache avait délibérément oublié que le peuple est le premier moteur économique du développement socio-économique et culturel d’un pays. Cette pratique a été le premier facteur du déclin de notre pays.

    L’état et le peuple doivent être des collaborateurs pour les développements économiques, culturels et sociaux. Ils doivent être les principaux composants des coordonnées du moteur pour l’essor de notre pays.

    Actuellement, Madagascar est un pays composé de régions (Voir la carte).

    La « main » du monde politique malgache avait définit afin de bien diviser pour « mieux » rester (et d’essayer d’y revenir) au pouvoir le plus longtemps possible.

    Maintenant prenons cette carte ethnique malgache.

    Beaucoup de politicien ont entravé les sérieux travaux des professionnels afin de savoir notre identité afin pour mieux masquer leurs pratiques. Ces hommes politiques ont même sortis des cartes dessinées par leurs paires afin de réaliser leurs projets personnels.

    Malgré le sérieux travail du l’ethnologue, concepteur de notre carte relatant les limites géographiques des ethnies de Madagascar, il y a quelques précisions à ajouter.

    Commençons par le Nord. Il y a la présence de quatre ethnies.
    L’ Antakarana : La « région » des antakarana débute au nord, aux environs d’Ambodimanga ( à 15 km de Diego), à l’est, à Vohémar. L’Iharana (région de Vohémar) est Antakarana. Puis elle longe la côte nord-ouest jusqu’à Analalava.
    Le Sakalava : Les parents des Antakarana. D’après l’histoire, il y avait une mésentente entre la famille royale et une partie était partie plus au nord pour composer les Antakarana.
    Le territoire des sakalava du « nord » se délimite à partir de la région de Beramanja .Au sud, aux environs de Jangoa en passant par Ambanja et aux premiers reliefs de Tsaratanàna.
    Le Betsimisaraka : C’est la deuxième ethnie malgache en nombre après le sakalava.
    Le territoire betsimiraka commence aux alentours de Sambava jusqu’au sud de Mahanoro.
    Les Tsimihety : C’est une des ethnies qui a été délibérément divisée, par la France, par crainte d’un grand rassemblement autour du Président TSIRANANA (qui était tsimihety). Leur territoire était « répartit » dans trois provinces. Andapa est une ville Tsimihety. La plupart de malgaches croit que Andapa, Sambava et Antalaha sont des villes « betsimisaraka ».

    A l’Ouest, sans discussion, cette région est … Sakalava. Le territoire Sakalava est le plus important de Madagascar. Il se limite au nord de Morombe jusqu’à Vohémar. Cette étendue de terre est due surtout aux différends des composants des familles royales. Les éléments qui étaient en discorde avec les instances royales, prenaient la …route du Nord (jusqu’à Vohémar).
    La France avait divisé l’Ouest en deux (Boina et Menabe) et avait placé le pays des tsimihety au milieu. La limitation entre le Boina et le Menabe a été bien « conçue », pour éviter un soulèvement populaire. Morondava était introduite dans la province de Tuléar et Maintirano dans celle de Majunga alors que les deux cités sont historiquement d’une même « région ».

    L’étendue de la côte orientale peut se diviser en deux ou trois parties. Le Pays des Betsimiraka (De Sambava au sud de Mahanoro), et le SUD-EST (Au nord de Mahanoro à Fort-Dauphin).
    Le pays des Betsimiraka débute, au nord, à Sambava jusqu’au sud de Mahanoro, en suivant le littoral. A l’intérieur de terre malgache, il se termine par les premiers reliefs montagneux qui composent le centre de l’île. Le pays betsimiraka a été divisé en trois parties.
    La France a placé Sambava et Antalaha au nord. Cette action est sans doute due aux conséquences des évènements de 1947. Le Nord-Est était très impliqué dans cette révolte populaire. Antalaha et Maroantsetra ont subi le même sort que Morondava et Maintirano.
    Puis les régions de Betsimisaka avaratra (de Maroantsetra à Tamatave) et Betsimisaraka atsimo (de Tamatave à Mahanoro) « entre-coupées » par la ville de Tamatave.
    Pour bien peaufiner la stratégie de dominer, la France avait choisi de placer les territoires Sihanaka et Bezanozano dans la province de Tamatave.
    Puis vint, plus au sud, nous abordons le SUD-EST. Il débute de la région de Mananjary jusqu’à Fort-Dauphin. C’est la région qui abrite le plus d’ethnies à Madagascar. Il y a les Antaisaka, les Antaimoro, les Antanosy, les Tanala, les Antaifasy, les Antambahoaka…
    Les Antanosy et la région de Fort-Dauphin ont été « transféré » dans la province de Tuléar pour diviser le « Sud-Est ».
    La délimitation des territoires a été mal conçue par les historiens et les géographes.
    D’après des témoignages, le pays colonisateur avait fait déplacer, de force, quelques éléments qui composaient quelques éléments du Sud Est et ceux de l’ Androy. (A SUIVRE)

  • 22 septembre 2014 à 12:00 | tiagasy (#6521)

    Le Grand SUD a été délaissé par la France à cause de climat sec. Il leur fallu un investissement énorme pour développer la région.
    Et surtout, le Grand SUD n’a jamais « accepté » la domination étrangère. La France n’était jamais pas en sécurité dans cette partie de l’île. La « Pacification » par la France, du Sud malgache n’a jamais été totale. Elle n’a jamais conquis totalement le GRAND SUD.
    Le Grand Sud est traversé par le deuxième Fleuve malgache ( Après Tsiribihina et Avant Mangoky ...au SUD aussi) ONILAHY en débit d’eau. Il est navigable toute l’année même pendant la saison ...sèche. Il ne demande qu’à être irrigué pour être le KERE qui ne devait pas exister si les pouvoirs malgaches ont vraiment opté à un vrai développement de notre pays.

    Les pouvoirs qui se sont succédés après l’indépendance ont continué dans ce sens.

    Enfin, le Centre de Madagascar. Il est composé de deux régions compactes qui sont l’Imerina et le pays Betsileo.
    L’Imerina est le centre de l’île. Il y a une seule ethnie qui la compose : le Merina. C’était la région qui était choisi par la France pour installer la Capitale : Tananarive. Cette région a été développée depuis la colonisation. Il y avait des travaux titanesques afin d’aménager Tana. Les différents « totobato » qui grimpent les collines afin de relier les tanimbary et les tsena qui étaient situés en contre-bas des reliefs avoisinants.
    Après l’indépendance, pour la France, il n’était guère question de donner le pouvoir à un Merina, qui était plus favorisé en matière de connaissances, ni à un Sakalava qui était plus nombreux en nombre, ni à un Betsimisaraka qui avait toujours la rébellion de 1947 en arrière pensée. Cela pourrait précipiter …la révolution.
    Le pays Betsileo se situe au sud d’Antsirabe, la capitale du vin. Le paysage est semblable à celui de l’Imerina. Le climat est typiquement montagnard.
    La France avait groupé en une même province le pays Betsileo et les régions du Sud-Est afin de mieux exploiter leurs richesses respectives.

    Le développement de Madagascar passe inéluctablement par une instauration d’une VRAIE CONSTITUTION qui protège le peuple mais pas le pouvoir des politiciens et l’objectivité du « découpage » des régions.
    L’implication des « autochtones » (ou des régionaux) aux besoins et aux développements de leur région respective doit être primordiale pour leur redonner confiance avec une assistance étatique. N’oublions pas que la peuple malgache est très psychologiquement atteint par les différentes crises qui ont secoué notre île. Cela ne veut pas dire qu’un Sakalava ne peut pas aller à l’Est. Les régionaux connaissent mieux les grands axes de développement que le pouvoir central. Un technicien (Sakalava, ou un merina, ou un antaimoro, …) peut prêter main forte à réaliser des projets de développement à un endroit quelconque en toute impunité et en respectant les coutumes des « tompon-tanàna ».
    Chaque région, doit mettre en évidence une loi traditionnelle qui sera cautionnée par une législation nationale. Le « FIHAVANANA » doit être introduit dans la Constitution.

    Voyons aux environs de Tuléar. Il y a la présence du fleuve « ONILAHY » (et le Mangoky). Le deuxième fleuve de l’île. Il n’y jamais eu un projet d’irrigation ou de barrage sur ce fleuve. Cela pourra bien aider cette région soi-disant sèche.

    Le Betsiboka n’a jamais trop inquiété les pouvoirs à Madagascar. Mais un spécialiste fluvial, avec un simple regard élémentaire, dresse un constat plus qu’impressionnant. Sa « célèbre » couleur rouge explique que ce fleuve entraîne dans son sillage de la terre, en amont, qui n’est plus retenu par les arbres. L’érosion prend une dimension plus qu’alarmante.
    Le port de Majunga devient de plus en plus sablonneux provoqué par le phénomène Betsiboka. L’aménagement du port de Majunga devait coûter moins cher à l’état si l’entretien de Betsiboka serait effectué en aval.
    La Mahavavy subit un autre phénomène : l’osmose aquatique. Chaque année,
    le port

    De la SIRAMA (actuellement en cale …sèche) doit être « dé sablonné » pour
    éviter que la mer prenne le dessus et domine un plus la Mahavavy.
    Il y a eu des projets (vitaux) de développement ignorés (ou même jetés à la poubelle) par les différents gouvernements qui se sont succédés à Madagascar.
    Plus au nord, aux environs d’Andapa, le peuple a réussi à irriguer, avec l’aide de l’extérieur, des …ruisseaux pour « alimenter » des rizières. N’oublions pas que 85% de malgaches sont agriculteurs.
    Plusieurs cas de fleuves sont dans des cas similaires ou pires. Les conséquences, sans équivoques. Elles freinent le développement économique de Madagascar mais surtout font régresser les conditions de vies et de santé des malgaches.

    L’opposition prône la Réconciliation Nationale … politique.
    C’est Obsolète. Notre pays n’a jamais connu un « épisode honteux » ou d’une guerre civile.
    Les évènements de 1971 dans le Sud étaient compréhensibles. Leur région était ravagée par un cyclone. Les aides qui leur devaient avaient été détournées.
    Le 13 mai 1972 est une demande populaire pour un changement de régime et de sortir de la domination coloniale…

    Malheureusement tous ces évènements (2002, 2009, …) ont été utilisés par les hommes politiques (tenants du pouvoir et oppositions) en leur but personnel.

    La majorité des malgaches et la société civile souhaitent un grand colloque afin de faire plus de connaissance entre « malgache » afin de créer une cohésion entre malgaches.
    NOUS NE CONNAISSONS PAS … ENTRE NOUS
    La compréhension et le respect mutuel de chaque ethnie doivent sortir vainqueur de cette réunion. Ces différends subtils mais dangereux ont toujours été utilisés, du début de la colonisation jusqu’à présent, par tous les tenants du pouvoir pour s’y maintenir.

    LE PEUPLE EST LE MOTEUR ÉCONOMIQUE D’UN PAYS (La Chine, le Japon, et maintenant le Brésil).

    Le développement durable de notre pays doit absolument passer à l’objectivité du « découpage » des futures régions.

    La France avait le même souci. Elle a opté le système régional. Elle a soigneusement découpé les régions selon les … ethnies. Elle a nommé la plus part des régions de leurs identités de chaque tribu (La Normandie, L’Alsace, l’Auvergne, …).
    Il n’y a jamais eu de rivalité tribale ni de critiques acerbes entre les régions respectives.
    Avec ces états l’Allemagne avait toujours fonctionné de façon similaire,(La Bavière, …).
    La majorité du peuple malgache souhaite développer leurs régions respectives mais l’état ne leur donne pas les moyens de travailler. En vérité, le souci de chaque chef d’Etat qui se sont succéder, c’était de garder le pouvoir le plus longtemps possible ( Et de s’enrichir bien sur). Le développement du pays était toujours relégué en ... « tiers » position. Au peuple de prendre conscience que Madagascar appartient, avant tout, aux malgaches mais pas à un ou un groupe d’élément. Le bon découpage des régions sera le premier facteur de développement durable à Madagascar.
    Il ne faut pas qu’un « foko » soit réparti en deux (ou plus) régions différentes. Plusieurs foko peuvent être dans une même région sous un patronyme commun (le Nord ou le Grand Est, …).
    Pourquoi ne pas nommer les régions par « L’Imerina, Le Menabe, Le pays Vezo, …). Ce sera plus significatif et, à vraie dire, c’est nos identités qui seront mises en évidence.
    Prenons les exemples des pays africains, comme l’Afrique du Sud, qui ont opté cette voie. Ils s’en sortent plutôt bien et leurs développements économiques vont dans le bon sens et la corruption étatique régresse franchement.
    Les réflexions sordides, les outrages à nos coutumes, Les généralisations et Les préjugées néfastes se mettaient en évidence la démotivation des régionaux à coopérer avec l’Etat, pour l’essor de Madagascar.
    Les malgaches sont des régionalistes avant d’être …nationalistes
    C’est une bonne chose. Il faut axer l’essor du pays sur les compétences territoriales et leur souhait de développer leur …région avec la contribution et une action corrective, si c’est nécessaire, de l’État.

    Depuis l’indépendance, les politiciens malgaches promettaient la « lune » à tous les malgaches par l’intermédiaire des fausses partitions et par des paroles divines perpétrées des pêchés inavoués et flagrants. En général, leurs dires étaient relayés et confirmés par leurs missionnaires sur le terrain moyennant leurs services (nominations, argent, …).

    Cette méthode risque encore de faire les « beaux jours » des pratiquants de la politique politicienne sauf si un « sujet » qui prouvera sa sincérité au devoir de développement son pays et d’aider tous les malgaches à sortir de leur chaotique vie quotidienne. Il doit être plus proche et à l’écoute de son peuple.

    L’Etat d’un pays doit servir de « Ray aman-dreny » afin de redonner confiance aux malgaches à se relever. Les « opportunistes » ne doivent plus avoir leur place pour diriger les affaires de la Nation.
    Cela pourra éviter une crise « sournoise » (entres nous) que les malgaches vivent actuellement et quotidiennement tourne à une guerre civile. Nous n’avons pas besoin d’un autre souci majeur. La priorité actuelle est la cohésion de tous les malgaches, sans distinctions ethniques ou régionales pour pouvoir vivre et développer notre pays …ensemble.

    Les malgaches commencent à perdre leur dignité dans une misère sans précédente. L’abysse séparant le « club des riches » (Une infime minorité) et le « monde misérable » (En grande majorité, des agriculteurs) se creuse de plus en plus.

    Un proverbe africain dit : « Là où les vautours virevoltent, c’est qu’il y a une carcasse ».
    C’est le sentiment du peuple malgache vis-à-vis des politiciens. Il ne croit plus aux groupes ou aux couleurs politiques qui ont déçu plus d’un. Il attend qu’un élément qui proposera un contrat d’une collaboration « ETAT-PEUPLE » pour signer.

    La pauvreté des malgaches est généralisée au point de nuire sa dignité.
    Le monde politique craint une « anarchie populaire » qui n’est guère une solution mais ce sera inévitablement une étape s’il ne trouve pas une solution à proposer. Cela est palpable aux différentes gesticulations des hommes politiques de toutes tendances.

    Le père CEYRAC disait après son longue vie en Inde auprès de la misère indienne et des Intouchables :
    « LA PAUVRETÉ PEUT ÊTRE GRANDE ET BELLE MAIS C’EST LA MISÈRE QUI EST A CRAINDRE PARCE QU’ELLE ENLÈVE TOUTE DIGNITÉ HUMAINE ».

    Mais si la crise, qui a tellement duré, continue, un soulèvement n’est pas à écarter, à tout moment, que personne (même le monde politique) pourra mesurer son ampleur et ses conséquences.

    UN DES PLUS GÉNOCIDE DE L’HUMANITÉ C’EST PASSÉ A MADAGASCAR. IL FAUT ASSUMER. NOUS AVIONS « ÉRADIQUÉ » ETHNIE SURNOMMÉ « VAZIMBA » PAR LEUR PETITE TAILLE.

    IL FAUT RENDRE AUX MALGACHES LEUR DIGNITÉ BAFOUÉE ET RESPECTER LEUR RAISON D’ÊTRE SUR LA TERRE DE LEURS ANCÊTRES.

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